Le "HARD LABOUR"

La peine du hard labour à laquelle a été condamné Oscar Wilde, avec Alfred Taylor, qui fut son complice dans le premier procès, n'a aucun équivalent dans la loi française. Ce n'est pas la peine des travaux forcés qui est dite en Angleterre « servitude pénale » et qui entraîne, selon sa durée, une réclusion avec travaux sur le territoire de la Grande Bretagne, ou la déportation dans un bagne colonial. Le condamné à la servitude pénale est dit convict. Tel est le cas présentement pour les complices déjà jugés de l'ex-député Jabez Spencer Balfour: Hobbs et Whrigt sont condamnés à douze ans de servitude pénale; ils sont des forçats et n'ont pas à faire un seul jour de « travail dur ». Cette dernière peine est un supplice, et un supplice tel que la loi interdit au juge de la prononcer pour plus de deux ans, parce qu'il est peu d'exemples de condamnés y ayant survécu passé ce délai.

La peine du hard labour à laquelle a été condamné hier Oscar Wilde, avec Alfred Taylor, qui fut son complice dans le premier procès, n'a aucun équivalent dans la loi française. Ce n'est pas la peine des travaux forcés qui est dite en Angleterre « servitude pénale » et qui entraîne, selon sa durée, une réclusion avec travaux sur le territoire de la Grande-Bretagne, ou la déportation dans un bagne colonial. Le condamné à la servitude pénale est dit convict. Tel est le cas présentement pour les complices déjà jugés de l'ex-député Jabez Spencer Balfour : Hobbs et Whrigt sont condamnés à douze ans de servitude pénale ; ils sont des forçats et n'ont pas à faire un seul jour de « travail dur ». Cette dernière peine est un supplice, et un supplice tel que la loi interdit au juge de la prononcer pour plus de deux ans, parce qu'il est peu d'exemples de condamnés y ayant survécu passé ce délai.
La peine du hard labour à laquelle vient d'être condamné Oscar Wilde, avec Alfred TayJor, qui fut son complice dans le premier procès, n'a aucun équivalent, dit le Temps, dans la loi française. Ce n'est pas la peine des travaux forces, qui est dite en Angleterre « servitude pénale » et qui entraîne, selon sa durée, une réclusion avec travaux sur le territoire de la Grande-Bretagne, ou la déportation dans un bagne colonial. Le condamné à la servitude pénale est dit convict. Tel est le cas présentement pour les complices déjà jugés de l'ex-député Jabez Spencer Balfour : Hobbs et Whrigt sont condamnés à douze ans de servitude pénale , ils sont des forçats et n'ont pas à faire un seul jour-de « travail dur ». Cette dernière peine est un supplice, et un supplice tel que la loi interdit au juge de la prononcer pour plus de deux ans, parce qu'il est peu d'exemples de condamnés y ayant survécu passé ce délai.
La peine du « hard labor » n’a aucun équivalent dans nos lois. Ce n’est pas la peine des travaux forcés qui est dite en Angleterre « penal servitude », et qui entraîne, selon sa durée, une réclusion avec travaux sur le territoire de la Grande-Bretagne, ou la déportation dans un bagne colonial. Le condamné à la servitude pénale est dit « convict ». Tel est le cas présentement pour les complices déjà jugés de l’ex-député Jabez Spencer Balfour ; Hobbs et Wright sont condamnés à douze ans de servitude pénale ; ils sont des forçats et n’ont pas à faire un seul jour de « travail dur ». Cette dernière peine est un supplice, et un supplice tel que la loi interdit au juge de la prononcer pour plus de deux ans, parce qu’il est peu d’exemples de condamnés y ayant survécu passé ce délai.
Deux Anglais d’un certain renom, Oscar Wilde et Alfred Taylor, ont été condamnés récemment à deux ans de prison avec travaux forcés, pour des faits exceptionnels d’immoralité. Cette peine est désignée dans le pays sous le nom de « hard labour ». Elle n’a pas d’équivalent dans la loi française. Ce n’est pas la peine des travaux forcés qui est dite en Angleterre « servitude pénale » et qui entraîne, selon sa durée, une réclusion avec travaux sur le territoire de la Grande-Bretagne, ou la déportation dans un bagne colonial. Le condamné à la servitude pénale est dit convict. Tel est le cas présentement pour les complice déjà jugés de le député Jabez Spencer Balfour : Hobbs et Whrigt sont condamnés à douze ans de servitude pénale ; ils sont des forçats et n’ont pas à faire un seul jour de travail dur. Cette dernière peine est un suppice, et un supplice tel que la loi interdit au juge de la prononcer pour plus de deux ans, parce qu’il est peu d'exemples de condamnés y ayant survécu passé ce délai.

Voici, d'après le Temps, en quoi consiste cette peine:

Les condamnés Wilde et Taylor ont été conduits nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils ont été pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine. Il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils ont été dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.

Hier, à cinq heures du matin, les condamnés ont été conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils ont été pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils ont été dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviennent, pour leur part, les agents d’une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, a cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d’une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d’une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vetus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline, ils deviendront, pour leur part, les agents d'une forcée motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, il seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, il seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, il seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heure du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine. Il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de prison.
Lundi, a cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, […] et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d’une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, à cinq heures du matin, les condamnés ont été conduits nus et séparément dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils furent pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils furent dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline. Ils deviendront les agents d’une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
À cinq heures du matin, les condamnés sont conduits nus dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils sont pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de la peine ; il faut que le châtiment emporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils sont dirigés vers le « tread mill », le moulin de discipline. Ils deviendront pour leur part, les agents d’une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Lundi, a cinq heures du matin, les condamnés seront conduits, nus et séparément, dans une salle […] où, après les soins de propreté, ils seront pesés. Car il faut qu’ils maigrissent pendant la durée leur peine, il faut que le […] commence une déperdition de force […] Ensuite, vêtus, ils seront dirigés vers le treadmill, le moulin de discipline. Ils deviendront, pour leur part, les agents d'une force motrice distribuée dans les ateliers de la prison.
Hier, à cinq heures du matin, les condamnés ont été conduits, nus et séparément, dans une salle de bains où, après les soins de propreté, ils ont été pesés. Car il faut qu'ils maigrissent pendant la durée de leur peine, il faut que le châtiment comporte une déperdition de force et de vitalité. Ensuite, vêtus, ils ont été dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline.

maginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d'une aube, il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intêrieure. tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de « hard labour ». Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube, il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre métrés et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l’aube agit sur l'eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux nommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure ae la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre metres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules droites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres, et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard-labour. Dans la partie supérieure de la circonférence les palettes aboutissent à des cellules étroites, où elles figurent, eu passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la ciconférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en uertu d'une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètre et dont la ciconférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elle figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.
Imaginez une revue gigantesque dont les rayons atteignent quinze pieds et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le « tread mill » que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le « tread mill » reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de « hard labor. » Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre moins et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le trend mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la […] unique ment aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez, dit le Temps, à qui nous empruntons ces renseignements, une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marcher fuyantes d'un escalier.
Disons brièvement en quoi consiste cette véritable torture : Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l'aube agit sur leau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Hier, à cinq heures du matin, les condamnés ont été pesés nus. Il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine. Quand ensuite ils ont à nouveau endossé la livrée d’infamie, on les a dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline, c’est-à-dire une roue gigantesque, dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Hier, à cinq heures du matin, les condamnés ont été pesés nus. Il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine. Quand ensuite ils ont à nouveau endossé la livrée d’infamie, on les a dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline, c’est-à-dire une roue gigantesque, dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.
Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill (moulin de discipline), que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour.
Il y a cette différence entre l’aube et le tread mil1, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la dot uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules [étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s'il s'arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ».

Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tète, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s’il s'arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s'il s'arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds ; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tète et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s'il s'arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tète, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien place derrière lui peut lui appliquer uu coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds -, s’il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballotant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s'il s'arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds ; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballotant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballotant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s'il s'arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du «chat à neuf queues». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballotant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballotant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, sil s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau du premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement au pied; s’il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'apperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s'il arrête, la roue, dans son mouvement continue, l'atteint rudement aux pieds; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du "chat à neuf queues." Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'apperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s'il arrête, la roue, dans son mouvement continue, l'atteint rudement aux pieds; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du «chat à neuf queues.» Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
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Amené dans une des cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s'il s'arrête, la roue dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds ; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une des cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de celte grande roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s'il s'arrête, la roue dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds ; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf » queues . Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ces pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans sou mouvement continu, l’atteint rudement au pied; s'il trébuche, il s’expose à payer se défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du «chat à neuf queues». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le conlamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieas sur les palettes qui dédient, afin d'actionner le mouvement de ctte grands roue qu'il n'aperçoit même pas. S'il hésite, un gardien placé, derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s'il s arrête, la roue, dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds ; s il trébuche, il s'expose a payer sa défaillance d'une jambee cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet du « chat à nefuf qûeues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.
Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tète, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue dans son mouvement continu, t’atteint rudement aux pieds; s’il trébuche, ii s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.

Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour une heures et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heures et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du « tread mill » comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du « tread mill » il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après diner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.
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La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante, que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement rt cinq minutes de repos. Le condamné peine une heure et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure ; mais si l’on trouve qu’il ne maigrit pas suffisamment, on prolonge son supplice.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure ; mais si l’on trouve qu'il ne maigrit pas suffisamment, on prolonge son supplice.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure.
La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnes n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après-dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos.

On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle: ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de façon à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.

On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle : ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent ; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail ; les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de façon à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent à Londres des pavée marqués d'un trèfle ; ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contrecoup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail ; les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de façon à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d’un trèfle : ils ont été taillés en prison par les « convicts » et les « hard labourers ». A ces derniers retient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d’une journée, les doigts de l’ouvrier-condamné en souffrent ; la peau s’échauffe, s’attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l’homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l’avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail, les membres inférieurs par le « tread mill ». Le poids du condamné est contrôlé de façon à en assurer la diminution. On augmente la durée du « tread mill » pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d’un trèfle ; ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d’une journée, les doigts de l’ouvrier-condamné en souffrent: la peau s'échauffe, s’attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrice, on cautérise; on ramène l’homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt uu contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail ; les membres inferieurs, par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de façon à eu assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent, à Londres, des pavés marqués d'un trèfle : ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer on étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contrecoup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail, les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de manière à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle; ils ont été taillés en prison par les convicts et hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les échanger en étoupes, les vieux cordages de la marine goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrice, on cautérise; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail; les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de façon à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle; ils ont été taillés en prison par les convicts et hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les échanger en étoupes, les vieux cordages de la marine goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrice, on cautérise; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail; les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de façon à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle : ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent ; la peau s'échauffe, s'attendrit tombe et le sang coule. On cicatrice, on cautérise ; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisées par ce travail ; les membres inférieurs par le tread mill.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle: ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrice, on cautérise; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisées par ce travail; les membres inférieurs par le tread mill.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d’un trèfle : ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard laboureurs. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d’une journée, les doigts de l’ouvrier-condamné en souffrent ; la peau s’échauffe, s’attendrit tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l’homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fit poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, au métacarpe, du poignet et de l’avant-bras. Les membres antérieurs sont brisées par ce travail ; les membres inférieurs par le tread mill.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle : ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard labourers. A ces derniers revient notamment la dure corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point celte besogne rassemble à un martyre. Au bout d'une journée, les doigts de l’ouvrier-condamné en souffrent; la peau s’échauffe, s’attendrit tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise : on ramène l’homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, ou métacarpe, eu poignet et de l’avant-bras. Les membres antérieurs sont brisées par ce travail ; les membres inférieurs par le tread mill.
On voit souvent à Londres des pavés marqués d'un trèfle : ils ont été taillés en prison par les convicts et les hard laboureurs. A ces derniers revient notamment la dura corvée de détailler, pour les changer en étoupe, les vieux cordages de la marine, goudronnés ou non. Il faut avoir visité une prison anglaise pour comprendre à quel point cette besogne ressemble à un martyre. Au bout d’une journée, les doigts de l’ouvrier-condamné en souffrent ; la peau s’échauffe, s’attendrit tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l’homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fit poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles exerce bientôt un contre-coup sur les articulations des phalanges, au métacarpe, [...] et de l’avant-bras. Les membres [...] sont brisées par ce travail ; les membres inférieurs par le tread mill.
Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier-condamné en souffrent; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contrecoup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail, les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de manière à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.
Au bout d'une journée, les doigts de l'ouvrier condamné en souffrent ; la peau s'échauffe, s'attendrit, tombe et le sang coule. On cicatrise, on cautérise ; on ramène l'homme au plus tôt à la même corvée. La pression continue du doigt sur le fil poisseux, pression où se concentre sans cesse la force dynamique des muscles, exerce bientôt un contrecoup sur les articulations des phalanges, du métacarpe, du poignet et de l'avant-bras. Les membres antérieurs sont brisés par ce travail, les membres inférieurs par le tread mill. Le poids du condamné est contrôlé de manière à en assurer la diminution. On augmente la durée du tread mill pour les hommes qui y résistent trop aisément.

Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.

Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour, car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au « hard labour » soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine, le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l’objet d’une surveillance cruellement attentive qui s’exerce jusqu’au dernier jour, car il est extrêmement rare qu’un individu condamné au « hard labour » soit l’objet d’une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d’une remise d’un mois pour un an de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n’est appelé à jouir dès menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n’a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine, le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l’objet d’une surveillance cruellement attentive qui s’exerce jusqu’au dernier jour ; car il est extrêmement rare qu’un individu condamné au « hard labour » soit l’objet d’une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d’une remise d’un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n’est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n’a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine ; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour, car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au « hard labour » soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine, le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour ; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine ; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l’objet d’une surveillance cruellement attentive qui s’exerce jusqu’au dernier jour, car il est extrêmement rare qu’un individu condamné au « hard labour » soit l’objet d’une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d’une remise d’un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n’est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n’a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine, le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine ; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l’objet d’une surveillance cruellement attentive qui s’exerce jusqu’au dernier jour, car il est extrêmement rare qu’un individu condamné au « hard labour » soit l’objet d’une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d’une remise d’un mois pour uu an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n’est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n’a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine, le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive, qui s'exerce jusqu'au dernier jour; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de "masse," ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf en cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive, qui s'exerce jusqu'au dernier jour; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse, » ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf en cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour ; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au « hard labour » soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé-à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de masses, ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le-reste en pair, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour ; car il est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remisé partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé-à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masses », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le-reste en pair, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l’ojet d’une surveillance cruellement attentive qui s’exerce jusq’au dernier jour : car il est extrêmement rare qu’un individu condamné au hard labour soit l’objet d’une remise partielle importante,On cite des individus qui ont bénéficié diune remise d’un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n’est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n’a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est, l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour ; car il est est extrêmement rare qu'un individu condamné au hard labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les détenus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le reste en pain, eu graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.
Ce supplice est l'objet d'une surveillance cruellement attentive qui s'exerce jusqu'au dernier jour; car il est extrémement rare qu'un individu condamné au hal d labour soit l'objet d'une remise partielle importante. On cite des individus qui ont bénéficié d'une remise d'un mois pour un an, de six semaines pour quinze ou dix-huit mois. Enfin, à aucun moment, le condamné n'est appelé à jouir des menues faveurs accordées à presque tous les individus qui disposent de quelque argent. Il n'a pas de « masse », ne reçoit aucune somme du dehors, et il est astreint, sauf le cas de maladie, à la seule nourriture de la prison. Elle comporte une livre de viande par semaine; le reste en pain, en graisse et en légumes. Voilà pour le supplice physique.

Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.

Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n’écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six prémiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au réglement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n’écrit à personne et n’a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n’écrit à personne et n’a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n’écrit à personne et n’a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n’a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visilé à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n’écrit à personne et n’a de nouvelles da personne. Pendant les six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fuis le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n’écrit à personne et n’a de nouvelles de personne. Pendant les six premiers mois il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.
Le supplice moral consiste en une sorte de mort temporaire qui atteint à la fois le condamné et les siens. Pendant les trois premiers mois de la peine, il n'écrit à personne et n'a de nouvelles de personne. Pendant ies six premiers mois, il ne reçoit aucune visite. Plus tard, il est visité à jours fixes, conformément au règlement sur les convicts.

Aggravation: Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.

Aggravation: Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation: Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l’étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
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Aggravation : aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : aucun travail en commun. Cellule pour le « tread mill », cellule pour l’étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation: Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
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Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread'mill, cellule pour l'étoupe cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation: Aucun travail en commun. Cellule pour le tread'mill, cellule pour l'étoupe, cellule avec lit de planches pour la nuit.
Aggravation : aucun travail en commun. Cellule pour le tread mill, cellule por l’étoupe, cellule avec lit de planche pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail en commun. Cellule pour le tread’mill, cellule pour l’étoupe cellule avec lit de penches pour la nuit.
Aggravation : Aucun travail tin commun. Cellule pour le tread mill, celle pour l’étoupe cellule avec lit de penches pour la nuit.

Telle est cette peine du hard labour l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.

Telle est cette peine du hard labour — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour — l’effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu’elle châtie qu’on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du « hard labour » — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour, — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du « hard labour » - l’effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu’elle châtie qu’on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour l'effroi — la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour. — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits quelle châtie qu'on ne saurait hésiter â souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour--l'éffroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour--l'éffroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour--l'éffroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne saurait hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne sauraient hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour — l’effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu’on ne sauraient hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour - l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu'on ne sauraient hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour — l’effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu'elle châtie qu’on ne sauraient hésiter à souhaiter son abolition.
Telle est cette peine du hard labour — l’effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais. Elle accuse une telle disproportion entre la cruauté du châtiment et les délits qu’elle châtie qu’un ne sauraient hésiter à souhaiter son abolition.

"HARD LABOUR"

The penalty of hard labor to which Oscar Wilde was sentenced, along with Alfred Taylor, who was his accomplice in the first trial, has no equivalent in French law. It is not the penalty of forced labor which is said in England to be “penal servitude” and which entails, depending on its duration, imprisonment with work on the territory of Great Britain, or deportation to a colonial penal colony. A person sentenced to penal servitude is said to be a convict. Such is the case now for the already judged accomplices of the ex-MP Jabez Spencer Balfour: Hobbs and Whrigt are condemned to twelve years of penal servitude; they are convicts and do not have to do a single day of “hard work”. This last sentence is a torture, and a torture such as the law forbids the judge to pronounce it for more than two years, because there are few examples of condemned persons having survived it after this period.

Here is, according to Le Temps, what this penalty consists of:

The convicts Wilde and Taylor were led naked and separately to a bathroom where, after cleanliness, they were weighed. Because they have to lose weight for the duration of their sentence. The punishment must include a loss of strength and vitality. Then, dressed, they were directed to the tread mill, the mill of discipline. They will become, for their part, the agents of a driving force distributed in the workshops of the prison.

imagine a gigantic wheel whose spokes reach four meters and whose circumference is divided into paddles, much like the circumference of a steamer's wheel, of a dawn. There is this difference between the dawn and the tread mill, that the dawn acts on the water by virtue of an interior propulsion, while the tread mill receives its propulsion from without and owes it solely to men struck hard. ploughing. In the upper part of the circumference, the pallets lead to narrow cells where they represent, in passing, the receding steps of a staircase.

Brought into one of these cells, the condemned man is required to suspend himself with his two hands from two rings swinging above his head, and to press with all his weight with his feet on the passing pallets, in order to activate the movement of this big wheel that he doesn't even notice. If he hesitates, a guard behind him can whip him; if he stops, the wheel, in its continuous movement, strikes him roughly at the feet; if he stumbles, he runs the risk of paying for his failure with a broken leg. If he refuses, it is the disciplinary penalty of the whip, of the “nine-tailed cat”.

This weapon of thin braided leather takes away the skin on the first blow and digs into the raw wound on the second.

The operation of the treadmill involves such overwhelming fatigue that the condemned are subjected to it only for three hours a day, one and a half hours in the morning, and an hour and a half after dinner. Again the work is divided, for each period, into ten minutes of trampling and five minutes of rest. The condemned man spends sixty minutes and rests for half an hour. Apart from the treadmill he is subjected to the most arduous occupations.

One often sees in London cobblestones marked with a trefoil: they were cut in prison by convicts and hard labourers. To the latter falls in particular the hard chore of detailing, to change them into tow, the old ropes of the navy, tarred or not. You have to have visited an English prison to understand how much this task resembles martyrdom. At the end of a day, the fingers of the convict-worker suffer from it; the skin heats up, softens, falls and blood flows. We heal, we cauterize; the man is brought back to the same drudgery as soon as possible. The continuous pressure of the finger on the sticky thread, pressure where the dynamic force of the muscles is constantly concentrated, soon exerts a counter-stroke on the joints of the phalanges, the metacarpus, the wrist and the forearm. The fore limbs are broken by this work the lower limbs by the tread mill. The condemned person's weight is controlled in such a way as to ensure its reduction. The duration of the tread mill is increased for men who resist it too easily.

This torture is the object of a cruelly attentive surveillance which is exercised until the last day; for it is extremely rare for an individual condemned to hard labor to be the object of a substantial partial surrender. Individuals are quoted who have benefited from a discount of one month for a year, of six weeks for fifteen or eighteen months. Finally, at no time is the condemned called upon to enjoy the petty favors granted to almost all prisoners who have some money. He has no "mass", receives no money from outside, and he is compelled, except in the case of illness, to receive only food from the prison. It includes a pound of meat per week; the rest in bread, fat and vegetables. So much for the physical torture.

The moral torture consists of a sort of temporary death which affects both the condemned man and his family. During the first three months of the sentence, he does not write to anyone and does not hear from anyone. During the first six months, he receives no visitors. Later, he is visited on fixed days, in accordance with the regulations on convicts.

Aggravation: No joint work. Cell for the tread mill, cell for the tow, cell with bed of boards for the night.

Such is the pain of hard labor the dread, the terror of all English malefactors. It shows such a disproportion between the cruelty of the punishment and the offenses it punishes that one cannot hesitate to wish for its abolition.