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Next report L’Éclair - Sunday, April 7, 1895

A L’ETRANGER
LES SCANDALES DE LONDRES
Un procès passionnant. — Les amitiés de M. Oscar Wilde. — Singulières façons. — Etrange incident. — M. Rosebery mis en cause
(DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER)

Londres, 4 avril. — On ne s’occupe maintenant, à Londres, que du procès scandaleux dont les débats ont commencé hier devant la cour d’assises.

LONDRES, 5 avril. - On ne s'occupe maintenant, à Londres, que du procès scandaleux dont les débats ont commencé avant hier devant la cour d'assises.
Ou ne s'occupe maintenant, à Londres, que du procès scandaleux dont les débats ont commencé hier devant la cour d’assises.
On ne s’occupe maintenant, à Londres, que du procès scandaleux dont les débats ont commencé devant la cour d’assises.
On ne s’occupe que du procès scandaleux dont les débats ont commencé hier devant la cour d'assises.

Il s’ait du procès en diffamation intenté par M. Oscar Wilde, dramaturge et littérateur connu, au marquis de Queensbury.

Il s’agit du procès en diffamation intenté par M. Oscar Wilde, dramaturge et littérateur connu, au marquis de Queensbury.
Il s’agit du procès en diffamation intenté par M. Oscar Wilde, dramaturge et littérateur connu, au marquis de Queensbury.
Il s’agit du procès an diffamation intenté par M. Oscar Wilde, dramaturge et littérateur connu, au marquis de Queensbury.
Il s'agit du procès en diffamation intenté par M. Oscar Wilde, dramaturge et littérateur connu, au marquis de Queensberry.
Avant-hier ont commencé devant la cour d'assises de Londres les débats du scandaleux procès en diffamation intenté par M. Oscar Wilde, dramaturge et littérateur connu au marquis de Queensbury.

Voici en quelques mots l’origine de cette affaire qui, par suite des piquantes révélations qui ont eu lieu à l’audience d’aujourd’hui, pourrait bien avoir des conséquences considérables.

Voici en quelques mots l’origine de cette affaire qui, par suite des piquantes révélations qui ont eu lieu à l'audience d’aujourd’hui, pourrait bien avoir des conséquences considérables.
Voici en quelques mots l'origine de cette affaire qui, par suite des piquantes révéla- tions qui ont eu lieu à l'audience d'aujourd'hui, pourrait bien avoir des conséquences considérables.
Voici en quelques mots l’origine de cette affaire qui, par suite des révélations qui ont eu lieu à l’audience d’hier, pourrait bien avoir des conséquences considérables.
Voici en quelques mots l'origine de celte affaire qui, par suite des révélations qui ont eu lieu à l'audience, pourrait bien avoir des conséquences considérables.

Le marquis de Queensbury, très ennuyé de voir son fils, le jeune lord Douglas, devenir le compagnon de tous les instants de M. Oscar Wilde, fit surveiller ce dernier. Il paraîtrait que le marquis n’aurait pas tardé à acquérir la conviction que M. Wilde avait corrompu lord Douglas et que des relations d’une nature fort délicate existaient entre eux.

Le marquis de Queensbury, très ennuyé de voir son fils, le jeune lord Douglas, devenir le compagnon de tous les instants de M. Oscar Wilde, fit surveiller ce dernier. Il paraîtrait que le marquis n'aurait pas tardé a acquérir la conviction que M. Wilde avait corrompu lord Douglas, et que des relations d'une nature fort délicate existaient entre eux.
Le marquis de Queensbury, très ennuyé de voir son fils, le jeune lord Douglas, devenir le compagnon de tous les instants de M. Oscar Wilde, fit surveiller ce dernier. Il paraîtrait que le marquis n'aurait pas tardé a acquérir la conviction que M. Wilde avait corrompu lord Douglas, et que des relations d'une nature fort délicate existaient entre eux.
Le marquis de Qeensbury, très ennuyé de vois son fils, le jeune lord Douglas, devenir le compagnon de tous les instants de M. Oscar Wilde, fit surveiller ce dernier. Il paraîtrait que le marquis n’aurait pas tardé à acquérir la conviction que M. Wild avait corrompu lord Douglas et que des relations d’une nature fort délicate existaient entre eux.

Aussitôt le marquis notifia à M. Oscar Wilde d’avoir à cesser de fréquenter lord Douglas. Mais invitation resta sans effet. Furieux de cet échec, le marquis envoya au cercle fréquenté par M. Oscar Wilde une carte qui portait les accusations les plus outrageantes contre ce dernier.

Aussitôt le marquis notifia à M. Oscar Wilde d’avoir à cesser de fréquenter lord Douglas. Mais cette invitation resta sans effet. Furieux de cet échec, le marquis envoya au cercle fréquenté par M. Oscar Wilde une carte qui portait les accusations les plus outrageantes contre ce dernier.
Aussitôt le marquis notifia à M. Oscar Wilde d'avoir à cesser de fréquenter lord Douglas. Mais cette invitation resta sans effet. Furieux de cet échec, le marquis envoya au cercle fréquenté par M. Oscar Wilde une carte qui portait les accusations les plus outrageantes contre ce dernier.
Aussitôt le marquis notifia à M. Oscar Wilde d'avoir à cesser de fréquenter lord Douglas. Mais cette invitation resta sans effet. Furieux de cet échec, le marquis envoya au cercle fréquenté par M. Oscar Wilde, une carte qui portait les accusations les plus outrageantes contre ce dernier.
Aussitôt le marquis notifia à M. Oscar Wilde d'avoir à cesser de fréquenter lord Douglas. Mais cette invitation resta sans effet. Furieux de cet échec, le marquis envoya au cercle fréquenté par M. Oscar Wilde, une carte qui portait les accusations les plus outrageantes contre ce dernier.
Aussitôt le marquis notifia à M. Oscar Wilde d’avoir à cesser de fréquenter lord Douglas. Mais cette invitation resta sans effet ; le marquis envoya au cercle fréquenté par M. Oscar Wilde une carte qui portait les accusations les plus outrageantes contre ce dernier.

C’est pour se laver des graves accusations dont il était l’objet que M. Oscar Wilde a intenté le procès en question au marquis de Quecnsbury.

C’est pour se laver des graves accusations dont il était l’objet que M. Oscar Wilde a intenté le procès en question au marquis de Queensbury.
C’est pour se laver des graves accusations dont il était l’objet que M. Oscar Wilde a intenté le procès en question au marquis de Queensbury.
C'est pour se laver des graves accusations dont il était l'objet que M. Oscar Wilde a intenté le procès en question au marquis de Queensbury.
C'est pour se laver des graves accusations dont il était l'objet que M. Oscar Wilde a intenté le procès en question au marquis de Queensbury.

Ce dernier affirme au contraire que ses accusations sont fondées.

Ce dernier affirme au contraire que ses accusations sont fondées.
Ce dernier affirme au contraire que ses accusations sont fondées.
Ce dernier affirme au contraire que ses accusations sont fondées.
Ce dernier affirme au contraire que ses accusations sont fondées.

Les débats ont tenu tout ce qu’ils promettaient. C’est ainsi que l’interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière des faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.

Les débats ont tenu tout ce qu'ils promettaient. C'est ainsi que l'interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière des faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d'un porte-cigare en argent.
Les débats ont tenu tout ce qu’ils promettaient. C’est ainsi que l'interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière des faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.
Les débats ont tenu tout ce qu’ils promettaient. C’est ainsi que l’interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière des faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.
Le débats ont tenu tout ce qu'ils promettaient. C'est ainsi que l'interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière dés faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d'un porte-cigare en argent.
Le débats ont tenu tout ce qu'ils promettaient. C'est ainsi que l'interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière dés faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d'un porte-cigare en argent.
Le débats ont tenu tout ce qu'ils promettaient. C'est ainsi que l'interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière dés faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d'un porte-cigare en argent.
Les débats ont tenu tout ce qu’ils promettaient. C’est ainsi que l’interrogatoire du plaignant, M. Oscar Wilde, a mis en lumière des faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui eu voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.
Les débats ont tenu tout ce qu’ils promettaient C’est ainsi que l’interroga toire du plaignant, M. Oscar Wilde, mis en lumière des faits vraiment scandaleux. On a appris que ce monsieur cherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.
Les débats ont montré de nouveau comment M. Oscar Wilde recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.
Les débats ont montré de nouveau comment M. Oscar Wilde recherchait la société de jeunes gens de vingt ans, en emmenait toujours avec lui en voyage, leur offrait à souper dans des cabinets particuliers et les gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent.

M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque stupéfiante, n’a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu’il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais, ajoute-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.

M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n'a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n’a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n’a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n’a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n’a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu’il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte repréhensible.
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n'a aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais, ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n'a aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais, ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.
M. Oscar Wilde, avec une désinvolture qui a paru quelque peu stupéfiante, n’a fait aucune difficulté pour avouer certaines fréquentations suspectes et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux, mais, ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.
M. Oscar Wilde, n'a fait aucune difficulté pour avouer tous ces faits et déclarer qu'il aimait la société des jeunes et détestait celle des vieux; mais, ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible

Tout à coup au milieu de l'audience un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le lissage suivant :

Tout à coup au milieu de l'audience un incident s'est produit. On a donné lecture d'une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or dans cette lettre se trouvait le passage suivant:
Tout à coup au milieu de l’audience un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Tout à coup au milieu de l'audience un incident s'est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Tout à coup au milieu de l'audience un incident s’est produit. On a donné lecture d'une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Tout à coup au milieu de l’audience un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Tout à coup au milieu de l’audience un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Tout à coup, au milieu de l'audience, un incident se produit. On a donné lecture d'une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant:
Tout à coup, au milieu de l'audience, un incident se produit. On a donné lecture d'une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant:
Tout à coup au milieu dé l’audience un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Quensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le pas sage suivant :
Au cours de l’audience, un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Au cours de l’audience, un incident s’est produit. On a donné lecture d’une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme. Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant :
Tout à coup, au milieu de l'audience, un incident se produit. On a donné lecture d'une lettre adressée par le marquis de Queensbury au père de sa première femme.

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery ».
« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery.»
« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces miserables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosbery. »
« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un lâche et le dernier dé ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Il (Oscar Wilde) a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces miserables du type de Lord Rosebery.
« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un làche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Il (Oscar Wilde) a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »
« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un làcne et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery.
« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérable du type de lord Rosebery.
» Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier des misérables du type de lord Rosebcry »
Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant:
Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery.

La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.

La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l'auditoire l'effet d'un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l'auditoire l'effet d'un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l'auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l'auditoire l'effet d'un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l'effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.
La lecture de ce passage a produit sur l’auditoire l’effet d’un coup de foudre dans un ciel serein.

L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.

L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L'impression a été encore augmentée par la lecture d'une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L'impression a été encore augmentée par la lecture d'une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L'impression a été encore augmentée par la lecture d'une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d'une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais, dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d’une seconde lettre ou il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
L’impression a été encore augmentée par la lecture d'une seconde lettre où il était nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.
La lecture de ce passage a produit sur l'auditoire une grande impression qui a été encore augmentée par la lecture d'une seconde lettre où il était de nouveau question du premier ministre anglais dans le même sens.

L’incident est ce soir, l’objet de tous les commentaires. L’opinion publique est passionnée au plus haut point. On attend avec impatience la continuation des débats qui pourraient bien amener de nouvelles révélations.

L'incident est ce soir, l’objet de tous les commentaires. L’opinion publique est passionnée au plus haut point. On attend avec impatience la continuation des débats qui pourraient bien amener de nouvelles révélations.
L'incident est l'objet de tous les commentaires. L'opinion publique est passionnée au plus haut point. On croit que la continuation des débats pourrait bien amener de nouvelles révélations.
L’incident est l’objet de tous les commentaires. L’opinion publique est passionnée au plus haut point. On croit que la continuation des débats pourrait bien amener de nouvelles révélations.
L'incident est l’objet de tous les commentaires. L’opinion publique est passionnée au plus haut point. On croit que la continuation des débats pourrait bien amener de nouvelles révélations.
L’incident est l’objet de tous les commentaires. L’opinion publique est passionnée au plus haut point. On croit que la continuation des débats pourrait bien amener de nouvelles révélations.
L’incident est l'objet, de tous les commentaires. L’opinion publique est passionnée au plus haut point On croit que la continuation des débats pourrait bien amener de nouvelles révélations.
L'incident est l'obket de tous les commentaires. L'opinion publique est passionnée au plus haut point. On croit que la continuation des débats pourrait bien [...] de nouvelles révélations.

ABROAD
THE LONDON SCANDALS
An exciting trial. — The friendships of M. Oscar Wilde. — Strange ways. — Strange incident. — Mr. Rosebery implicated
(FROM OUR PARTICULAR CORRESPONDENT)

London, April 4. — They are now concerned only with the scandalous trial in London, the proceedings of which began yesterday before the Court of Assizes.

It relates to the action for libel brought by Mr. Oscar Wilde, a well-known playwright and writer, against the Marquess of Queensbury.

Here, in a few words, is the origin of this affair which, following the pungent revelations which took place at today's hearing, could well have considerable consequences.

The Marquess of Queensbury, very annoyed at seeing his son, the young Lord Douglas, become Mr. Oscar Wilde's constant companion, had the latter watched. It would appear that the Marquess was not long in acquiring the conviction that Mr. Wilde had corrupted Lord Douglas and that relations of a very delicate nature existed between them.

The marquis immediately notified Mr. Oscar Wilde that he must cease to associate with Lord Douglas. But the invitation had no effect. Furious at this failure, the marquis sent to the circle frequented by Mr. Oscar Wilde a card bearing the most outrageous accusations against the latter.

It was to clear himself of the serious accusations of which he was the object that Mr. Oscar Wilde brought the suit in question against the Marquis of Quecnsbury.

On the contrary, he asserts that his accusations are founded.

The debates kept everything they promised. This is how the interrogation of the plaintiff, Mr. Oscar Wilde, brought to light some truly scandalous facts. We have learned that this gentleman sought out the company of young people of twenty, always took them with him on trips, offered them supper in private rooms and then generally rewarded them with a silver cigar-case.

Mr. Oscar Wilde, with a casualness which seemed somewhat astonishing, made no difficulty in confessing all these facts and declaring that he loved the society of the young and hated that of the old, but, he adds, one cannot accuse him of any wrongdoing.

Suddenly in the middle of the hearing an incident occurred. A letter from the Marquess of Queensbury to the father of his first wife was read. However, in this letter was the following smoothing:

“Oscar Wilde has shown himself to be a coward and the last of those wretches of the type of Lord Rosebery. »

The reading of this passage produced on the audience the effect of a thunderbolt in a serene sky.

The impression was further increased by the reading of a second letter in which the English Prime Minister was again mentioned in the same sense.

The incident is tonight the object of all comments. Public opinion is passionate to the highest degree. We are impatiently awaiting the continuation of the debates which could well lead to new revelations.