CHRONIQUE JUDICIAIRE
Le procès Oscar Wilde

On écrit de Londres:

Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d'assises d'Old Bailey, Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury dès vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.

Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d’assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury dès vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d'assises d'Old Bailey, Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury dès vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d'assises d'Old-Bailey, Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury dès vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. - Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d'assises d'Old Bailey, Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d’assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d'assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d’assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers déférés vendredi à la cour d’assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers détérés vendredi à la cour d'assises d'Old Bailey, Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers détérés vendredi à la cour d’assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtée que lundi.
Londres, 22 avril. — Il est possible que les prisonniers détérés vendredi a la cour d’assises d’Old Bailey. Oscar Wilde et Taylor, comparaissent devant le jury des vendredi prochain, mais la date ne sera définitivement arrêtés que lundi.

Les conseils d'Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l'audience d'hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui désigné pour diriger les débats de leur procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd'hui, prendre à l'égard des prisonniers telle mesure qu'il lui paraîtra convenable. Les conseils de l'écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.

Les conseils d'Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l'audience d'hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui désigné pour diriger les débats de leur procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd'hui, prendre à l'égard des prisonniers telle mesure qu'il lui paraîtra convenable. Les conseils de l'écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l’audience d’hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat ; mais bien de celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd’hui, prendre a l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de l’écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d'Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l'audience d'hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd'hui, prendre à l'égard des prisonniers telle mesure qu'il lui paraîtra convenable. Les conseils de l'écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l’audience d’hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd’hui, prendre a l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de l’écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l’audience d’hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd'hui, prendre a l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de l’écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d'Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l'audience d'hier par le juge, sur John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd'hui, prendre à l'égard des prisonniers telle mesure qu'il lui paraîtra convenable. Les conseils de l'écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l’audience d’hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relevant plus de ce magistrat, mais bien de celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd'hui, prendre a l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de l’écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar Wilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l’audience d’hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relevent plus de ce magistrat, mais bien du celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd’hui, prendre a l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de l’écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar tilde se montrent plus sérieusement inquiets de la santé de leur client et se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la lin de l'audience d’hier par le juge, sir John Bridge, qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relevant plus de ce magistrat, mais bien du celui-ci désigné pour diriger les débats de leurs procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd’hui, prendre a l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de l'écrivain ont délibéré ce matin sur ce point.
Les conseils d’Oscar Wilde prétextant la santé de leur client se proposent de faire de nouvelles démarches pour obtenir sa mise en liberté provisoire sous caution. Cette mesure pourrait leur être accordée nonobstant la décision prise à la fin de l’audience d’hier par le juge, sir John Bridge qui préside le tribunal de police de Bow Street. En effet, Wilde et Taylor ne relèvent plus de ce magistrat, mais bien de celui désigné pour diriger les débats de leur procès criminel, et ce dernier peut, dès aujourd’hui, prendre à l’égard des prisonniers telle mesure qu’il lui paraîtra convenable. Les conseils de Wilde ont délibéré sur ce point.

Qu'ils acceptent le débat pour vendredi ou qu'ils réclament, comme ils en ont le droit, l'ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d'ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.

Qu'ils acceptent le débat pour vendredi ou qu'ils réclament, comme ils en ont le droit, l'ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d'ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu’ils acceptent le débat pour vendredi ou qu’ils réclament, comme ils en ont le droit, l’ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu’ils acceptent le débat pour vendredi ou qu’ils réclament, comme ils en ont le droit, l’ajournement a la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu’ils acceptent le débat pour vendredi ou qu’ils réclament, comme ils en ont le droit, l’ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu’ils acceptent le débat pour vendredi ou qu’ils réclament, comme ils en ont le droit, l’ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu'ils acceptent le débat pour vendredi ou qu'ils réclament, comme ils en ont le droit, l'ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d'ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu’ils acceptent le débat pour vendredi ou qu’ils réclament, comme ils en ont le droit, l’ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu'ils acceptent le débat pour vendredi ou qu'ils réclament, comme ils en ont le droit, l'ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d'ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu'ils acceptent le débat pour vendredi ou qu’ils réclament, comme ils en ont le droit, l’ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. On regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.
Qu’ils acceptent le débat pour vendredi ou qu'ils récemment, comme ils en ont le droit, l'ajournement à la session prochaine, Wilde ne saurait être libéré que quarante-huit heures après la demande régulière, la justice se réservant toujours de faire procéder à une enquête sur la légitimité des motifs invoqués. Un regarde d’ailleurs comme peu probable que la caution soit admise.

Le jeune lord Alfred Douglas vient d'adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits:

Le jeune lord Alfred Douglas vient d'adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits:
Le jeune lord Alfred Douglas vient d’adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits :
Le jeune lord Alfred Douglas vient d’adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits :
Le jeune lord Alfred Douglas vient d'adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits :
Le jeune lord Alfred Douglas vient d'adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits:
Le jeune lord Alfred Douglas vient d'adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. En voici quelques extraits:
Le jeune lord Alfred Douglas vient d’adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement le défense de son ami. En voici quelques extraits :
Le jeune lord Alfred Douglas vient d’adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement la défense de son ami. Eu voici quelques extraits :
Le jeune lord Alfred Douglas vient d’adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement le défense de son ami. En voici quelques extraits :
Le jeune lord Alfred Douglas vient d’adresser aux journaux une lettre dans laquelle il prend vivement le défense de son ami. En voici quelques extraits :

« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c'est à dire suivant les évaluations de M. Carson (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis. »

«Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c'est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge qui-conque figure en cette affaire, c’est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry) Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c'est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis. »
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c’est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry) Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c’est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry). II va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde a sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu deme juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c’est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry) Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c’est-a-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry) Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine ; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c’est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson, (avocat de lord Queensberry) Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la lace après la déconfiture de ses amis.
« Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c’est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis un fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c'est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis un fils ingrat, lui qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à sa ruine; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c'est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis un fils ingrat, lui qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.
Je sais ce que je risque en élevant ma voix pour protester contre les hurlements de la meute qui pousse M. Wilde à la ruine; bien plus, je suis convaincu que le public a déjà résolu de me juger, moi, comme il juge quiconque figure en cette affaire, c'est-à-dire suivant les évaluations de M. Carson (avocat de lord Queensberry). Il va sans dire que je suis fils ingrat, qui dans sa folie et son arrogance a frappé son tendre et bon père et qui a aggravé sa faute en ne se frappant pas la face après la déconfiture de ses amis.

« Je n'ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre, c'est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l'être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d'où seront choisis les membres du jury et qu'il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace. »

«Je n'ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c'est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l'être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d'où seront choisis les membres du jury et qu'il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace.»
« Je n'ai nulle intention d’expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c’est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’où seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace. »
» Je n’ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c’est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’où seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings lies, à une lâche et brutale populace. »
« Je n’ai nulle intention d’expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c’est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’où seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace. »
« Je n'ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c'est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l'être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d'où seront choisis les membres du jury et qu'il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace. »
Je n'ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c'est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l'être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d'où seront choisis les membres du jury et qu'il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace.
« Je n’ai nulle intention d’expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c’est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’où seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace. »
Je n'ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c'est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l'être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d'où seront choisis les membres du jury et qu'il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace.
Je n'ai nulle intention d'expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c'est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l'être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d'où seront choisis les membres du jury et qu'il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche et brutale populace.
« Je n’ai nulle intention d’expliquer mon attitude ou de me défendre. Tout ce que je désire faire remarquer, c’est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’ou seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche brutale populace. »
« Je n'ai nulle intention d’expliquer mon attitude ou de me défendre.Tout ce que je désire faire remarquer, c’est que M. Oscar Wilde a été jugé par les journaxix avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’où seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche brutale populace. »
« Je mai nulle intention d’expliquer mon attitude ou de me défendre.Tout ce que je désire faire remarquer, c’est quo M. Oscar Wilde a été jugé par les journaux avant de l’être par un jury, que par conséquent un préjugé défavorable a été créé contre lui dans le public d’où seront choisis les membres du jury et qu’il est pratiquement livré, pieds et poings liés, à une lâche brutale populace. »

Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l'esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi:

Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l'esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi:
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l’esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l’esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l'esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire a l’esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l'esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire a l’esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge, concernant la nature des crime imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l'esprit comme à la lettre de la loi. Il conclut ainsi:
Lord Alfred Douglas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l’esprit comme à la lettre de la lui. Il conclut ainsi :
Lord Alfred Doublas discute ensuite une parole de sir John Bridge concernant la nature des crimes imputés à Oscar Wilde et la déclare contraire à l’esprit comme à l’esprit de la loi. Il conclut ainsi :

« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d'expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l'accusé, que peut-on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d'humour, les « pairs » de M. Wilde? »

« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d'expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l'accusé, que peut-on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d'humour, les « pairs » de M. Wilde ? »
Si un magistrat de police, ayant vingt ans d'expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l'accusé, que peut-on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d'humour, les «pairs» de M. Wilde?
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d'expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l'accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d'humour, les « pairs » de M. Wilde? »
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d’expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l’accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d’humour, les « pairs » de M. Wilde ? »
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d’expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l’accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d’humour, les « pairs » de M. Wilde ? »
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d’expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l’accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d’humour, les « pairs » de M. Wilde ? »
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d’expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l’accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d’humour, les « pairs » de M. Wilde ? »
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d’expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l'accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à. Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d’humour, les « pairs » de M Wilde ? »
Si un magistrat de police, ayant vingt ans d'expérience de la justice, se laisse aller à formuler des appréciations si préjudiciables à l'accusé, que peut-on attendre des hommes qui composeront, à Old-Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d'humour, les «pairs» de M. Wilde?
« Si un magistrat de police, ayant vingt ans d’expérience de la justice, se laisse aller à formu.er des appréciations si préjudiciables à 'accusé, que peut on attendre des hommes qui composeront, à Old Bailey, le jury de ce que la loi appelle, avec tant d’humour, les « pairs » de M. Wilde? »

JUDICIAL CHRONICLE
The Oscar Wilde Trial

We write from London:

It is possible that the prisoners brought to the Old Bailey Assize Court on Friday, Oscar Wilde and Taylor, will appear before the jury next Friday, but the date will not be definitively set until Monday.

Oscar Wilde's counsel are more seriously concerned about the health of their client and propose to take new steps to obtain his provisional release on bail. They may be granted this relief notwithstanding the decision taken at the end of yesterday's hearing by Judge Sir John Bridge, presiding at the Bow street Police Court. In fact, Wilde and Taylor no longer report to this magistrate, but to the one appointed to direct the proceedings of their criminal trial, and the latter can, from today, take such measures with regard to the prisoners as he will seem suitable. The writer's councils deliberated on this point this morning.

Whether they accept the debate for Friday or whether they demand, as they have the right, adjournment to the next session, Wilde cannot be released until forty-eight hours after the regular request, justice always reserving the right to have an inquiry carried out into the legitimacy of the grounds invoked. Moreover, it is considered unlikely that the surety will be admitted.

The young Lord Alfred Douglas has just sent a letter to the newspapers in which he strongly defends his friend. Here are some excerpts:

“I know what I'm risking by raising my voice in protest against the howls of the pack that are pushing Mr. Wilde to his ruin; nay more, I am convinced that the public has already resolved to judge me as they judge anyone who figures in this affair, that is to say according to the assessments of Mr. Carson (lawyer to Lord Queensberry). It goes without saying that I am an ungrateful son, who in his madness and his arrogance struck his tender and good father and who aggravated his fault by not striking his face after the discomfiture of his friends. »

“I have no intention of explaining my attitude or defending myself, it is that Mr. Oscar Wilde was judged by the newspapers before being judged by a jury, that consequently an unfavorable prejudice was created against him in the audience from which the members of the jury will be chosen and that he is practically handed over, bound hand and foot, to a cowardly and brutal populace. »

Lord Alfred Douglas then discusses a saying of Sir John Bridge concerning the nature of the crimes imputed to Oscar Wilde and declares it contrary to the spirit as well as to the letter of the law. He concludes thus:

"If a police magistrate, with twenty years' experience of justice, indulges in making assessments so prejudicial to the accused, what can be expected of the men who will compose the jury at the Old Bailey of what the law so humorously calls Mr. Wilde's "peers"? »