TOUR DU MONDE

Londres, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.

Londres, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
Londres, 27 avril. — L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
LONDRES. — 27 avril. — L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la Cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
Londres, 27 avril. --L'affaire Oscar Wilde et Taylord est reprise ce matin devant la Cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peut moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et T ylov est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor a été reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public était un peu moins nombreux qu'hier.
LONDRES, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Londres.-- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.

Sir Eward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.

Sir Eward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Eward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, intêrroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoins Alfred Wood.
Sir Edward Clarté, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.

Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.

Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui lit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 39 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence dp 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrençe de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Doublas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 à 35 livres esterlins en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood, celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoins Alfred Wood. Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood. Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’où concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood, qui fit chanter Oscar Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling, en lui vendant des lettres écrites par l'accusé à lord Alfred Douglas.

Atkins, un autre témoin, dit avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.

Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins. un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent diner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde, au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre, témoin. dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent diner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé ; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent diner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présente à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on lit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté a Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on lit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté é Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café du Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autres témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présente à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde an café de Florence. Là, on lit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde.

C'est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s'empressa de désobéir.

C’est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s’empressa de désobéir.
C'est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s'empressa de désobéir.
C’est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défenuit d’aller au Moulin-Rouge ; mais Atkins s’empressa de désobéir.
C’est Atkins que Wilde emmena ù Paris. Wilde lui défendit d’aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s’empressa de désobéir.
Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge, mais Atkins s'empressa de désobéir.

«N'allez pas dans cet endroit: les femmes vous perdront», avait coutume de lui dire Oscar Wilde.

« N’allez pas dans ces endroits; les femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
« N'allez pas dans ces endroits; les femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
«N’allez pas dans ces endroits; les femmes vous perdront, » avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
« N’allez pas dans ces endroits ; les femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
« -- N'allez pas dans ces endroits; ces femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.

Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.

Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu’il l’avait emmené à Paris.
Plus tard Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l’avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu’il l’avait emmené à Paris.

Un autre témoin, Shelley, déclare qu'il n'a jamais reçu d'argent d'Oscar Wilde; l'avocat de ce dernier lui fait avouer le contraire.

L'affaire est renvoyée à lundi.

LOUIS ROZIER

WORLD TOUR

London, April 27. -- The Oscar Wilde and Taylor case is resumed this morning before the Assize Court. The public is a little less numerous than yesterday.

Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, examines witness Alfred Wood.

This witness is the one who blackmailed Wilde up to £30 or £35 by selling him letters written by Wilde to Lord Alfred Douglas.

Atkins, another witness, says he was introduced to Taylor by an unnamed gentleman; it was then Taylor who introduced him to Wilde at the cafe in Florence. There we had an excellent dinner.

It was Atkins whom Wilde took to Paris. Wilde forbade him to go to the Moulin Rouge; but Atkins hastened to disobey.

"Don't go to this place: the women will ruin you," Oscar Wilde used to tell her.

Later, Wilde advised him not to tell that he had taken him to Paris.

Another witness, Shelley, states that he never received any money from Oscar Wilde; the latter's lawyer makes him admit the opposite.

The case is adjourned to Monday.

LOUIS ROZIER

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