La France - Monday, April 29, 1895
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L’AFFAIRE OSCAR WILDE
Le procès continue. — Deuxième audience
On mande de Londres, 27 avril :
L’affaire Oscar Wilde et T ylov est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peut moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor a été reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public était un peu moins nombreux qu'hier.
Londres, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
Londres, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
Londres, 27 avril. — L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
LONDRES. — 27 avril. — L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la Cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
Londres, 27 avril. --L'affaire Oscar Wilde et Taylord est reprise ce matin devant la Cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise, ce matin, devant la cour d’assises ; le public qui se presse aux portes de la salle est moins nombreux.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise, ce matin, devant la cour d'assises; le public qui se presse aux portes de la salle est moins nombreux.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise ce matin, devant la cour d'assises; le public qui se presse aux portes de la salle est moins nombreux.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, intêrroge le témoin Alfred Wood.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoins Alfred Wood.
Sir Edward Clarté, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Eward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Eward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Sir Eward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood.
Ce témoin est celui qui lit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 39 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence dp 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrençe de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Doublas.
Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 à 35 livres esterlins en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood, celui qui fit chanter Wilde jusqu’à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoins Alfred Wood. Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood. Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu’où concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood, qui fit chanter Oscar Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling, en lui vendant des lettres écrites par l'accusé à lord Alfred Douglas.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c’est qu’il y a toujours des noms qu’on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c’est qu’il y a toujours des noms qu’on évite de mentionner.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c’est qu’il y a toujours des noms qu’on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on evite de mentionner.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu’il y a toujours des noms qu’on évite de mentionner.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c’est qu'il y a toujours des noms qu’on évite de mentionner.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c’est qu’il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu’il y a de curieux dans cette affaire, c’est qu’il y a toujours des noms qu’on évite de mentionner.
Ce qu'il y à de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours dea noms qu'on évite de mentionner.
Ce qu'il y a de curieux dans cette araire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
On remarque toujours que, dans cette affaire,il y a des noms qu'on évite de mentionner.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde parmi monsieur dont lu nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès, et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès, et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclara avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté â Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on le le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, ou ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur doat le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donna pas.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présente à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on lit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté a Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on lit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins. un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent diner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde, au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde an café de Florence. Là, on lit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre, témoin. dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent diner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé ; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent diner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté é Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café du Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autres témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présente à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner.
Atkins, un autre témoin, dit avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde.
C’est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s’empressa de désobéir.
C'est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s'empressa de désobéir.
C'est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s'empressa de désobéir.
C’est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défenuit d’aller au Moulin-Rouge ; mais Atkins s’empressa de désobéir.
C’est Atkins que Wilde emmena ù Paris. Wilde lui défendit d’aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s’empressa de désobéir.
Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge, mais Atkins s'empressa de désobéir.
« N’allez pas dans ces endroits; les femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
« N'allez pas dans ces endroits; les femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
«N’allez pas dans ces endroits; les femmes vous perdront, » avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
« N’allez pas dans ces endroits ; les femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
« -- N'allez pas dans ces endroits; ces femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
«N'allez pas dans cet endroit: les femmes vous perdront», avait coutume de lui dire Oscar Wilde.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu’il l’avait emmené à Paris.
Plus tard Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l’avait emmené à Paris.
Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu’il l’avait emmené à Paris.
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait. Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny. »
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Maver, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'odieuse société que fréquentait Oscar Wilde. On appelait Mavor «Jenny».
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
—Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke a Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant uu morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant uu morceau de papier.
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit, sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins,
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
-- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Non.
-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier?» demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- « Non », répond Atkins.
D. « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. « Non ».
- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
- « Non », répond Atkins.
D. - « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. - « Non ».
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham ?
R. Non.
- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
- « Non », répond Atkins.
D. - « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. - « Non ».
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- Non.
-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- « Non » répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- « Non. »
— « Non », répond Atkins.
D. — « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. — « Non ».
L’interrogatoire continue; il porte sur des faits de chantage.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, d'ailleurs, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage.
Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient, même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle do 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'etre fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient meme par grosses sommes. On parle de 5,000 frans obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, d'ailleurs, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosse sommes. On parle de 5,000 fr. obtenus d'une première victime.
Ces malheureux semblent s'être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. Ou parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, en effet, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 fr. obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosse sommes.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria.
Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Enfin une somme de 12,500 étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’ètre pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement, Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement, Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement, Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précèdent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précèdent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précèdent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin procèdent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent; Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent., Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d'indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel ii fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarette en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il futprésenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditiounel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarette en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel if fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mayor n'en déclare pas moins que rien d'incident ne s'est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde lui avait offert le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que ses rotations avec Wilde n'ont pas été de nature à justifier l'accusation. Il lui avait été présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur, dont le nom est gardé secret.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession. Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses precédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentee déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Sheilêy, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évité la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère publie est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu. Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d'un nouvel examen. Mais le ministère public est inflexible et lui lait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel interrogatoire et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et persiste à vouloir l'interroger.
Le malheureux s'excuse lui-même d’avoir été un fou.
Shelley, le commis de librairie qui s’est laissé fasciner par le talent d’Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l’argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie, qui s,est laissé fasciner par le talent d’Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle et il a demandé de l’argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie, qui s’est laissé fasciner par le talent d’Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle et il a demandé de l’argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie, qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire, il s'est trouvé dans la misère, chasse de la maison paternelle et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donnée.
Shelley, le commis de librairie, qui s’est laissé fasciner par le talent d Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle el il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, commis de librairie, qui s’est laissé fasciner par le talent d Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d'argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; mais l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; mais l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé, dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s’est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; mais I’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire ; il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l’argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Londres, 27 avril. - Shelley, le commis de librairie, qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de ia maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou. Il déclare n'avoir jamais reçu d'argent d'Oscar Wilde, mais l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à Oscar Wilde qui lui en a donné.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille à partir avec la police; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure, il a été en prison. Il y serait retourné sans l’indulgence de son père qu'il avait rossé d’importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père, qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille à partir avec la police ; l’avocat lui fait avouer qu'il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille a partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure, il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêtr pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille à partir avec la police; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu’il avait rossé d’importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite relire sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police ; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l’indulgence do son père qu’il avait rossé d'importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêtr pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure: il a été en prison. Il y serait retourné sans l'induigence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son pêro la fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré plainte.
Shelley prétend aussi n’avoir jamais eu maille à partir avec la police ; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait même retourné sans l’indulgence de son père qu’il avait rossé d’importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley prétend aussi n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait même retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley prétend aussi n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure: il a été en prison. II y serait même retourné sans l'indulgence de son père qu'il rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare ensuite n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait même retourné sans l'indulgence de son père, qu'il avait frappé. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque le cerveau malade ; il n’a retrouvé sa tète qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade: il n’a retrouvé sa tête qu'au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley honteux; et confus, déclare qu'il avait à cette époque, le cerveau malade: il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade: il n’a retrouvé sa tête qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque le cerveau malade ; il n’a retrouvé sa tête qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait, à cette époque, le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade : il n’a retrouvé sa tête qu’au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade: il n’a retrouvé sa tète qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu au mois d'octobre dernier.
Shelley honteux et confus, déclaré qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au d'octobre dernier.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s’il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L’avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s’il ne l’aurait pas reperdue depuis.
L’avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s'il ne l’aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande, avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s'il ne l’aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L’avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s'il ne l’aurait pas reperdue denuis.
L’avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s’il ne l’aurait pas reperdue denuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat d'Oscar Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait reperdue denuis.
L’affaire est renvoyée à lundi.
THE OSCAR WILDE AFFAIR
The trial continues. — Second hearing
We are calling from London, April 27:
The Oscar Wilde and T ylov case is resumed this morning before the Assize Court. The public is a little less numerous than yesterday.
Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, examines witness Alfred Wood.
This witness is the one who sings Wilde up to £30 or £35 by selling him letters written by Wilde to Lord Alfred Douglas.
The curious thing about this affair is that there are always names that we avoid mentioning.
Thus Wood declares that he was presented to Wilde among a gentleman whose name did not appear at the trial; and this name, we do not give it.
Atkins, another witness, also says she was introduced to Taylor by an unnamed gentleman; it was then Taylor who introduced him to Wilde at the cafe in Florence. There, we read an excellent dinner.
It was Atkins whom Wilde took to Paris. Wilde forbade him to go to the Moulin Rouge; but Atkins hastened to disobey.
“Don't go to these places; women will lose you,” Oscar Wilde used to tell her.
Later, Wilde advised him not to tell that he had taken him to Paris.
Atkins remembers knowing Mavor, another member of the Abominable Brotherhood. We were calling. Mavor “Jenny”.
"Do you know the person whose name is written on this paper?" Sir Edward Clarke asks Atkins, handing him a piece of paper.
“No,” Atkins replies.
D. — "Did you know a gentleman of that name in Birmingham?" »
A. — “No”.
The interrogation continues; it relates to acts of blackmail.
All these unfortunates seem to have made a second specialty of blackmail. They even went in large sums. We are talking about 5,000 francs obtained from a first victim.
A larger sum was allegedly extorted from two Americans at the Hotel Victoria.
Finally, a sum of 12,500 francs was allegedly extorted from a foreign earl who came on his yacht to Scarborough.
Naturally Atkins declares to have nothing to do with all these affairs.
Mavor is then interrogated; the previous witness called him Jenny. As the name suggests, these shameful practices were a profession at Mavor.
Wilde did not fail to offer him the traditional silver cigarette case, Mavor nevertheless declares that nothing indecent happened between him and Wilde, to whom he was introduced by a gentleman of very high social rank. raised, in a dinner given by this gentleman whose name is kept secret.
Another witness, Shelley, begs to be spared the shame of a re-examination and to have her previous statements read. But the public prosecutor is inflexible and makes him tell all the facts in detail.
The unfortunate man excuses himself for having been a madman.
Shelley, the bookstore clerk who let himself be fascinated by the talent of Oscar Wilde, first declares that he never received any money from his protector; the latter's lawyer immediately makes him admit the contrary; he found himself in poverty, driven from his father's house, and he asked Mr. Wilde for money, who gave it to him.
Shelley states that she never had any trouble with the police; the lawyer makes him confess that he perjured himself, he was in prison. He would have gone back there if not for the indulgence of his father, whom he had thrashed so badly. His father had him arrested for this fact, but he later withdrew his complaint.
Shelley, ashamed and confused, declares that he was at that time brain-sick; he did not regain his head until last October.
Mr. Wilde's lawyer asks the witness with interest, amid laughter from the audience, if he hasn't lost her since.
The case is adjourned to Monday.
- La Lanterne - Monday, April 29, 1895 - 98.5%
Compare - L'Intransigeant - Monday, April 29, 1895 - 97.7%
Compare - Le Quotidien illustré - Monday, April 29, 1895 - 96.7%
Compare - Le Public - Monday, April 29, 1895 - 92.9%
Compare - Paris - Monday, April 29, 1895 - 92.9%
Compare - Le Voltaire - Monday, April 29, 1895 - 92.6%
Compare - La Justice - Monday, April 29, 1895 - 92.5%
Compare - Le Journal - Sunday, April 28, 1895 - 92.5%
Compare - La Loi - Sunday, April 28, 1895 - 91.8%
Compare - Journal des débats politiques et littéraires - Sunday, April 28, 1895 - 83.9%
Compare - Le Radical - Monday, April 29, 1895 - 80.2%
Compare - La Petite République - Wednesday, May 1, 1895 - 79.8%
Compare - Le Rappel - Monday, April 29, 1895 - 76.6%
Compare - Le XIXe Siècle - Monday, April 29, 1895 - 76.5%
Compare - Le Soir - Sunday, April 28, 1895 - 74.1%
Compare - Le Matin - Sunday, April 28, 1895 - 69.6%
Compare - Le Petit Parisien - Sunday, April 28, 1895 - 63.6%
Compare - L’Éclair - Monday, April 29, 1895 - 61.7%
Compare