Tribunaux
Lord Queensberry

Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu’il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu mercredi devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d’avoir causé des désordres sur la voie publique.

Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street. Inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont compara aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, Lord Douglas de Harvick, qu’il ne faut nas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu, aujourd'hui, devant le tribunal de police de Malborough Street, inculpés tous deux d’avoir causé, hier, des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère Lord Alfred Douglas, ont comparu devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé, la veille, des désordres sur la voie publique.
LONDRES, 22 mai. -- Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Malborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé, hier, des désordres sur la voie publique.

Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.

Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas por ait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.

Le père et le fils sont restés d’une froideur de glace l’un envers l’autre.

Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.

Après la déposition d’un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu’il n’a frappé son fils que pour se défendre.

Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d’un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte, à son tour, qu’il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry déclare qu'il n'avait frappé son fils que pour se défendre.

L’avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d’autres membres de la famille.

L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils, et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L’avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lequel il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d’autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas a produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et plusieurs autres membres de la famille.

Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le marquis n’avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.

Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres ; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l’envoi de ces lettres ; mais le marquis n’avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maisan de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le merquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé, à la maison de son fils ou il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le merquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était aLléJà la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette instance et était allé à la maison de son fils ou il avait fait du scandale.

Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n’étaient nullement inconvenantes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu’on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d’honneur que son second fils n’était pas dans la maison.

Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit qu'Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberrv déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilda habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maI son que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry a déclaré que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que le littérateur Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulait quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.

Le juge n’a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge nva pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,000 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné le père et le fils èt fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir la caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 fr. chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné, le père et le filop il fournir caution de 12,500 francs chacun pour six-mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12.000 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12.000 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n'a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 fr. chacun pour six mois afin qu'ils se tiennent tranquilles à l'avenir.
Le juge a laissé de côté la question des responsabilités : il a simplement condamné le père et le fils à verser une caution de 12,500 francs chacun, pour six mois "afin qu’ils se tiennent tranquilles."

Law courts
Lord Queensberry

The Marquess of Queensberry and his eldest son, Lord Douglas of Hawick, who should not be confused with his brother Lord Alfred Douglas, appeared at Marlborough-Street Police Court on Wednesday, both charged with causing disorder on the public road.

Lord Douglas bore on his face some marks of paternal anger.

Father and son remained icy cold towards each other.

After the deposition of one of the policemen who arrested them, the Marquis of Queensberry tells in turn that he only hit his son to defend himself.

Lord Douglas's solicitor produced a packet of letters which the Marquess allegedly wrote to his son in which he raised degrading accusations against the Marquess' two sons, Lady Douglas and other members of the family.

Lord Douglas had asked his father to stop sending these letters, but the Marquess ignored this request and went to his son's house where he caused a scandal.

The Marquess of Queensberry declares that his letters were in no way improper. He says he went to his son's house, because he was told that Oscar Wilde lived with him. He did not want to leave the house until Lady Douglas gave him her word of honor that her second son was not in the house.

The judge did not want to consider the question of who started the quarrel, and he sentenced the father and the son to post bail of 12,500 francs each for six months, so that they could keep quiet.