LES TRIBUNAUX
L'AFFAIRE OSCAR WILDE

Taylor, le coaccusé d'Oscar Wilde, a été jugé séparément par la Cour d'assises de Londres mardi dernier. Cette fois, le jury, malgré les dénégations de l'accusé, l'a reconnu coupable d'actes d'indécence commis avec les deux frères Parker. La Cour a ajourné sa sentence.

Taylor, le co-accusé d'Oscar Wilde, vient d’être jugé séparément par la Cour d’assises de Londres. Cette fois, le jury, malgré les dénégations de l’accusé, l’a reconnu coupable d’actes d’indécence commis avec les deux frères Parker. La Cour a ajourné sa sentence.
Taylor, le co-accusé d’Oscar Wilde, vient d’être jugé séparément par la cour d’assises de Londres. Cette fois, le jury, malgré les dénégations de l’accusé, l’a reconnu coupable d’actes d’indécence commis avec les deux frères Parker. La cour a ajourné sa sentence.
Taylor, la co-accusé d'Oscar Wilde, vient d’être jugé séparément par la cour d'assises de Londres. Cette fois, le jury, malgré les dénégations de l'accusé, l'a reconnu coupable d'actes d'indécence commis avec les deux frères Parker. La cour a ajourné sa sentence.
Taylor, le co-accusé d’Oscar Wilde vient d être jugé séparément par la cour d’assises de Londres. Celte fois, le jury, malgré les dénégations de l’accusé, l’a reconnu coupable d’actes d’indécence commis avec les deux frères Parker. La cour a ajourné sa sentence.
Londres, 21 mai. — Taylor, le co-accusé d’Oscar Wilde, vient d’être jugé séparément par la cour d’assises de Londres. Cette fois, le jury, malgré les dénégations de l'accusé, l’a reconnu coupable d’actes indécence commis avec les deux frères Parker. La cour a ajourné sa sentence.

Ce verdict a été favorablement accueilli par la foule qui attendait le résultat du procès.

Le verdict de culpabilité à l'égard de Taylor a été favorablement accueilli par la foule qui attendait le résultat du procès.
Le verdict de culpabilité à l’égard de Taylor a été favorablement accueilli par la foule qui attendait le résultat du procès.
Le verdict de culpabilité à l’égard de Taylor a été favorablement accueilli par la foule qui attendait le résultat du procès.
Le verdict de culpabilité à l’égard de Taylor a été favorablement accueilli par la foule qui attendait le résultat du procès.
Le verdict de culpabilité à l'égard de Taylor a été favorablement accueilli par la foule qui attendait le résultat du procès.

A l'issue de l'audience, un incident s'est produit dans Picadilly Circus; le marquis de Queensberry ayant rencontré son fils, le jeune lord Douglas, l'ami d Oscar Wilde, lui a administré une sévère correction.

A l’issue de l'audience un incident s’est produit dans Piccadilly Circus; le marquis de Queensburry ayant rencontré sou fils, le jeune lord Douglas, l’ami d’Oscar Wilde, lui a administré une sévère correction.
On annonce qu'à l'issue de l'audience un incident s'est produit dans Piccadilly Circus ; le marquis de Queensberry ayant rencontré son fils, le jeune lord Douglas, l'ami d'Oscar Wilde, lui a administré une sévère correction.
On annonce qu’à l’issue de l'audience un incident s’est produit dans Piccadilly Circus ; le marquis de Queensberry ayant rencontré son fils, le jeune lord Douglas, l’ami d’Oscar Wilde, lui a administré une sévère correction.
On annouce qu’à l’issue de l’audience un incident s’est produit dans Piccadilly Circus; le marquis de Queensberry avant rencontré sort fils, le jeune lord Douglas, l’ami d'Oscar Wilde, lui a administré une sévère correction.
On annonce qu’à l’issue de l’audience un incident s’est produit dans Piccadilly Circus ; le marquis de Queensberry ayant rencontré son fils, le jeune Douglas, l’ami d’Oscar Wilde, lui a administré une sévère correction.

La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.

La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat, où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été mis eu liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès verbal a été dressé. Ils ont été ensuite remis en liberté sous caution.
La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé.
Le jeune lord aurait reçu une sévère correction de la main de son père. La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. ILs ont été remis en liberté sous caution.
Le jeune lord aurait reçu une sévère correction de la main de son père. La police a conduit les deux combattants au commissariat où procès-verbal leur a été dressé. Ils ont été remis en liberté sous caution.

On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.

On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensbery, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme eu assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensbery, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensbury, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
Un a remarqué que le marquis de Queensbury, auquel les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensbury, à qui les passants ont fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut de forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queenshury, auquel les passants en l'ait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haut-de-forme en assez piteux état.
On a remarqué que le marquis de Queensberry, auquel la foule a fait une ovation à sa sortie du bureau de police, avait son chapeau haute-forme en assez piteux état.

Cet incident a eu dès hier son dénouement.

Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère Lord Alfred Douglas, ont comparu devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé, la veille, des désordres sur la voie publique.

Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street. Inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont compara aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu’il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu mercredi devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d’avoir causé des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, Lord Douglas de Harvick, qu’il ne faut nas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu, aujourd'hui, devant le tribunal de police de Malborough Street, inculpés tous deux d’avoir causé, hier, des désordres sur la voie publique.
LONDRES, 22 mai. -- Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, qu'il ne faut pas confondre avec son frère lord Alfred Douglas, ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Malborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé hier des désordres sur la voie publique.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas de Hawick, ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police de Marlborough-Street, inculpés tous deux d'avoir causé, hier, des désordres sur la voie publique.

Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.

Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas portait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.
Lord Douglas por ait sur sa figure quelques marques de la colère paternelle.

Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.

Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils sont restés d’une froideur de glace l’un envers l’autre.
Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.

Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry déclare qu'il n'avait frappé son fils que pour se défendre.

Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d’un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu’il n’a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d’un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte, à son tour, qu’il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.

L'avocat de lord Douglas a produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et plusieurs autres membres de la famille.

L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils, et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L’avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d’autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L’avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lequel il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d’autres membres de la famille.

Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette instance et était allé à la maison de son fils ou il avait fait du scandale.

Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le marquis n’avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres ; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l’envoi de ces lettres ; mais le marquis n’avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maisan de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le merquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé, à la maison de son fils ou il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le merquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était aLléJà la maison de son fils où il avait fait du scandale.

Le marquis de Queensberry a déclaré que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que le littérateur Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulait quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.

Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit qu'Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberrv déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilda habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maI son que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n’étaient nullement inconvenantes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu’on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d’honneur que son second fils n’était pas dans la maison.

Le juge nva pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n’a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,000 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné le père et le fils èt fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir la caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 fr. chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné, le père et le filop il fournir caution de 12,500 francs chacun pour six-mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12.000 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12.000 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.
Le jury n'a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 fr. chacun pour six mois afin qu'ils se tiennent tranquilles à l'avenir.
Le juge a laissé de côté la question des responsabilités : il a simplement condamné le père et le fils à verser une caution de 12,500 francs chacun, pour six mois "afin qu’ils se tiennent tranquilles."

Tandis que ce procès avait lieu, Oscar Wilde comparaissait devant la Cour d'assises.

L'accusé était plus pale encore de coutume. Il semble affecté du résultat du procès de Taylor.

Le Ministère public a développé l'accusation avec une grande précision.

Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grandie précision.
Le ministère public développa l'accusation avec une grande précision.

Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.

Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les, faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s’accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Le ministre public développe l'accusation avec une grande précision. Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisament précises seront présentées.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision. Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées, dit-on ...

Les memes témoins que ceux entendus quelques semaines auparavant ont défillé à la barre.

Le marquis de Queensberry a fait une courte apparition à l'audience.

COURTS
THE OSCAR WILDE AFFAIR

Taylor, Oscar Wilde's co-defendant, was tried separately in London Assize Court last Tuesday. This time the jury, despite the defendant's denials, found him guilty of acts of indecency committed with the two Parker brothers. The Court adjourned its sentence.

This verdict was welcomed by the crowd awaiting the outcome of the trial.

At the end of the hearing, an incident occurred in Piccadilly Circus; the Marquess of Queensberry having met his son, the young Lord Douglas, friend of Oscar Wilde, gave him a severe beating.

The police took the two combatants to the police station where a report was drawn up for them. They were released on bail.

The Marquess of Queensberry, who was given a standing ovation by passers-by as he left the police station, was noted to have had his top hat in rather poor condition.

This incident had its outcome yesterday.

The Marquess of Queensberry and his eldest son, Lord Douglas of Hawick, who should not be confused with his brother Lord Alfred Douglas, appeared at Marlborough-Street Police Court, both charged with causing the day before , disorders on the public highway.

Lord Douglas bore on his face some marks of paternal anger.

Father and son remained icy cold towards each other.

After the testimony of one of the policemen who arrested them, the Marquess of Queensberry declares that he had only hit his son in self-defense.

Lord Douglas' solicitor produced a packet of letters allegedly written by the Marquess to his son in which he raised degrading accusations against the Marquess' two sons, Lady Douglas and several other family members.

Lord Douglas had asked his father to stop sending these letters; but the marquis had ignored this instance and had gone to his son's house where he had caused a scandal.

The Marquess of Queensberry said his letters were by no means indecent. He says he went to his son's house because he was told that the literary man Oscar Wilde lived with him. He only wanted to leave the house when Lady Douglas gave him her word of honor that her second son was not in the house.

The judge did not want to consider the question of who started the quarrel and he sentenced the father and the son to provide bail of 12,500 francs each for six months, so that they keep quiet.

While this trial was taking place, Oscar Wilde was appearing before the Court of Assizes.

The accused was even paler as usual. He seems affected by the outcome of Taylor's trial.

The Public Ministry developed the accusation with great precision.

Although the facts reproached to Oscar Wilde are of those which are accomplished in the most absolute solitude, sufficiently precise proofs will be presented.

The same witnesses as those heard a few weeks earlier took the stand.

The Marquess of Queensberry made a brief appearance at the hearing.

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