L'Echo de Paris - Friday, May 24, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
Chronique des Tribunaux
L'affaire Oscar Wilde
Londres, 22 mai.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la Cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
L’affaire d’Oscar Wilde et de Taylor a commencé vendredi devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris, hier matin, devant la cour d’assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises.
L’affaire d’Oscar Wilde et de Taylor a commencé aujourd’hui devant la cour d’assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé aujourd'hui devant la cour d'assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé aujourd'hui devant la cour d'assises.
L’affaire d’Oscar Wilde et de Taylor a commencé aujourd’hui devant la cour d’assises.
L’affaire d’Oscar Wilde et de Taylor a commencé aujourd'hui devant la cour d’assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé, aujourd'hui, devant la cour d'assises.
Londres.-- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises; Oscar Wilde entre à 10 h 1/2.
Londres, 24 mai.— Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Londres, 24 mai. -- Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises de Londres.
Londres.-- L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la Cour d'assises.
LONDRES, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises de Londres.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la Cour d'assises de Londres.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises de Londres.
L'affaire Oscar Wilde a recommencé mercredi devant la Cour centrale criminelle de Londres.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heure et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
L'accusé entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement
affecté.
Oscar Wilde est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Il est beaucoup plus pâle qu'hier; on dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecte.
Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecte.
Oscar Wilde est très pâle. On croit que le résultat du procès Taylor l’a sérieusement affecté.
Oscar Wilde est très pâle. On croit que le résultat du procès Taylor l’a sérieusement affecté.
Oscar Wilde est très pâle; on croit que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde est très pâle. On croit que le résultat du procès Taylor l’a sérieusement affecté.
Oscar Wilde est très pâle. On croit que le résultat du procès Taylor l’a sérieusement affecté.
Oscar Wilde est très pâle. On croit que le résultat du procès Taylor l’a sérieusement affecté.
Oscar Wilde est très pâle. On croit que le résultat du procès Taylor l’a sérieusement affecté.
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises. Qscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait qua le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Le ministre public développe l'accusation avec une grande précision. Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisament précises seront présentées.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision. Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées, dit-on ...
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les, faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s’accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé, Shelley, raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l'on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l'on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne lait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connait déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley qui ne fait que raconter les faits qu'on connait déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Il raconte les faits qui sont déjà connus.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace... d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Quensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu’il parle, le marquis de Qucensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d’émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Quensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa rencontre avec son fils.
Pendant l'audition des témoins, le marquis de Quensbery entre dans la salle; sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant l'audition des témoins, le marquis de Queensberry est entré dans la salle ; son visage ne portait pas la moindre trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant l'audition des témoins, le marquis de Queensbury est entré dans la salle; son visage ne portait pas la moindre trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Un livre donnée à Shelley par Oscar Wilde est alors produit.
La dédicace porte: « A Edward Shelley, poète et ami, Oscar Wilde, poète et ami. »
Alfred Wood donne son témoignage qui est déjà connu.
L'affaire est renvoyée à demain.
LES SUITES DE L'AFFAIRE OSCAR WILDE
L'altercation à coups de poing qui avait eu lieu lundi à la sortie de l'audience d'Old Bailey entre le marquis de Queensberry et son fils aîné lord Douglas of Havick, altercation au cours de laquelle ce dernier eut l'oeil magistralement poché par son père, a eu son dénouement hier devant le tribunal de simple police.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils, quoique comparaissant ensemble, sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils sont restés d’une froideur de glace l’un envers l’autre.
Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Le père et le fils sont restés d'une froideur de glace l'un envers l'autre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d’un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu’il n’a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d’un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte, à son tour, qu’il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry raconte à son tour qu'il n'a frappé son fils que pour se défendre.
Après la déposition d'un des policemen qui les ont arrêtés, le marquis de Queensberry déclare qu'il n'avait frappé son fils que pour se défendre.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils, et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L’avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d’autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d'autres membres de la famille.
L’avocat de lord Douglas produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lequel il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et d’autres membres de la famille.
L'avocat de lord Douglas a produit un paquet de lettres que le marquis aurait écrites à son fils et dans lesquelles il a relevé des accusations dégradantes contre les deux fils du marquis, contre lady Douglas et plusieurs autres membres de la famille.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le marquis n’avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres ; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l’envoi de ces lettres ; mais le marquis n’avait pas tenu compte de cette demande et était allé à la maisan de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le merquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était allé, à la maison de son fils ou il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres, mais le merquis n'avait pas tenu compte de cette demande et était aLléJà la maison de son fils où il avait fait du scandale.
Lord Douglas avait demandé à son père de cesser l'envoi de ces lettres; mais le marquis n'avait pas tenu compte de cette instance et était allé à la maison de son fils ou il avait fait du scandale.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit qu'Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberrv déclare que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que Oscar Wilda habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maI son que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry déclare que ses lettres n’étaient nullement inconvenantes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils, parce qu’on lui avait dit que Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulut quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d’honneur que son second fils n’était pas dans la maison.
Le marquis de Queensberry a déclaré que ses lettres n'étaient nullement indécentes. Il dit qu'il est allé à la maison de son fils parce qu'on lui avait dit que le littérateur Oscar Wilde habitait avec lui. Il ne voulait quitter la maison que lorsque lady Douglas lui donna sa parole d'honneur que son second fils n'était pas dans la maison.
Le tribunal a condamné les deux pugilists à fournir une caution de 12,500 francs comme garantie que -- pendant six mois -- il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal a condamné le marquis et son fils à fournir une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que pendant six mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que pendant six mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que pendant six mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Lord Queensberry et son fils ont été condamnés à déposer une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle, entre eux en public.
Lord Queensberry et son fils ont été condamnés à déposer une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Lord Queensberry et son fils ont été condamnés a d.poser une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux, en public.
P.S. - Lord Queensberry et son fils ont été condamnés aujourd'hui à déposer une caution de 500 livres, comme garantie que pendant six mois ils ne se produirait pas du querelle entre eux, en public.
Lord Queensberry et son fils été condamnés aujourd'hui à déposer une caution de 500 livres comme garantie que pendant 6 mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Ce « pendant six mois » est vraiment charmant.
Ajoutons que l'on a confondu, dans les correspondances venues de Londres, lord Douglas of Havick, qui est marié, avec son frère cadet, lord Alfred Douglas, ami de l'esthète.
Chronicle of the Courts
The Oscar Wilde Affair
London, May 22.
The Oscar Wilde case began this morning before the Assize Court.
Oscar Wilde comes in at ten-thirty. He is much paler than yesterday. Looks like the outcome of the Taylor trial has seriously affected him.
The public minister develops the accusation with great precision. Although the facts reproached to Oscar Wilde are of those which are accomplished in the most absolute solitude, sufficiently precise proofs will be presented.
The first witness called is Shelley. The witness tells the facts that we already know.
As he speaks, the Marquess of Queensberry enters the room. Her face bears no trace of emotion, despite her recent encounter with her son.
A book given to Shelley by Oscar Wilde is then produced.
The dedication bears: “To Edward Shelley, poet and friend, Oscar Wilde, poet and friend. »
Alfred Wood gives his testimony which is already known.
The case is adjourned to tomorrow.
THE AFTERMATH OF THE OSCAR WILDE CASE
The fistfight which took place on Monday at the exit of the hearing of Old Bailey between the Marquess of Queensberry and his eldest son Lord Douglas of Havick, altercation during which the latter had the eye masterfully poached by his father, had its outcome yesterday before the simple police court.
Father and son, though appearing together, remained icy cold towards each other.
After the deposition of one of the policemen who arrested them, the Marquis of Queensberry tells in turn that he only hit his son to defend himself.
Lord Douglas's solicitor produced a packet of letters which the Marquess allegedly wrote to his son in which he raised degrading accusations against the Marquess' two sons, Lady Douglas and other members of the family.
Lord Douglas had asked his father to stop sending these letters; but the Marquis ignored this request and went to his son's house where he caused a scandal.
The Marquess of Queensberry declares that his letters were by no means indecent. He says he went to his son's house because he was told Oscar Wilde was living with him. He did not want to leave the house until Lady Douglas gave him her word of honor that her second son was not in the house.
The court sentenced the two pugilists to post bail of 12,500 francs as a guarantee that -- for six months -- no quarrel would arise between them in public.
This "for six months" is really charming.
Let us add that, in correspondence from London, Lord Douglas of Havick, who is married, has been confused with his younger brother, Lord Alfred Douglas, a friend of the esthete.