La Lanterne - Friday, May 24, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
SCANDALES ANGLAIS
LE PROCÈS WILDE ET TAYLOR
Condamnation de Taylor. -- Assaut de boxe en famille. -- Un ancêtre d'Oscar Wilde. -- Père et fils devant la juge. - Reprise du procès Wilde
Londres, 22 mai. -- On peut dire que le répugnant procès Taylor n'a véritablement commencé qu'à l'audience d'hier.
Cette audience a été occupée en grande partie par l'interrogatoire de l'accusé, qui a nié tous les faits à sa charge; puis, le ministère public et le défenseur ont parlé; enfin le juge Wills a prononcé son «résumé» sans négliger aucun des points et -- grosse difficulté vaincue -- sans prononcer une seule fois le nom d'Oscar Wilde qu'il a appelé constamment, lorsqu'il parlait des visites reçues par Taylor: « une autre personne qui n'est pas en cause actuellement. »
Taylor condamné
A trois heures, le jury entre: en délibération. Les questions posées sont toutes relatives à la consommation d'actes obscènes avec des jeunes gens mineurs. Le juge Wills n'a pas ajouté la formule qui équivaut à l'admission des circonstances atténuantes: « Je recommande l'accusé à la pitié du jury ». Après vingt minutes, le jury rentre en séance, et son chef informe le juge qu'il est d'accord avec ses collègues pour rendre un verdict affirmatif.
A trois heures, le jury entre en délibération. Les questions posées sont toutes relatives à la consommation d'actes obscènes avec des jeunes gens mineurs. Le juge Wills n'a pas ajouté la formule qui équivaut ici à l'admission des circonstances atténuantes: « Je recommande l'accusé à la pitié du jury ».
Taylor est déclaré coupable d'avoir commis des actions obscènes avec deux des individus mentionnés par l'accusation. Ainsi qu'il est de règle en Angleterre, ce verdict a été rendu à l'unanimité.
En entendant la déclaration du jury, Taylor a baissé la tête et s'est caché la visage dans ses deux mains une minute à peine. Il reprend bientôt, où il s'efforce de reprendre, l'attitude niaisement souriante qu'il a gardée depuis le commencement de l'affaire. Mais son émotion est plus forte que sa volonté, et l'on voit trembler le chapeau qu'il tient à la main. Enfin, il murmure: « Je n'ai pas mérité cela. »
Il a dû jusqu'au bout espérer un verdict négatif sur toutes les questions.
Enfin, il murmure: « Je n'ai pas mérité cela. » Il a dû jusqu'au bout espérer un verdict négatif sur toutes les questions.
M. le juge Wills rend sa liberté au jury et ajourne sa sentence. C'est donc devant un nouveau jury que viendra l'affaire Wilde: elle sera appelée demain.
M. le juge Wills rend sa liberté au jury et ajourne sa sentence. C'est donc devant un nouveau jury que viendra l'affaire Wilde: elle sera appelée demain.
Correction paternelle
Le verdict de culpabilité contre Taylor était à peine rendu depuis quelques minutes qu'une violente altercation se produisait, dans Piccadilly, entre le marquis de Queensberry et son fils aîné, le jeune lord Alfred Douglas. Tous deux venaient de quitter la cour, d'où ils remportaient, on le pense bien, des impressions fort différentes; à la vue l'un, de l'autre, ils parurent également exaspérés et échangèrent une première volée de coups de canne. Un policeman les sépara, - non sans avoir reçu pour sa peine, en pleine mâchoire, un coup qui lui cassa plusieurs dents. Quelques pas plus loin, nouvelle scène de boxe, au cours de laquelle le père offensé pocha l'oeil de son fils. On alla se calmer dans la station de police de Vine street, où le premier marquis d'Ecosse et le futur chef de la famille des Douglas furent formellement accusés d'avoir causé du désordre dans la rue. Ils furent remis, en liberté sous caution de 50 francs chacun.
Le verdict de culpabilité contre Taylor était à peine rendu depuis quelques minutes qu'une violente altercation se produisait, dans Piccadilly, entre le marquis de Queensberry et son fils aîné, le jeune lord Alfred Douglas. Tous deux venaient de quitter la cour, d'où ils remportaient, on le pense bien, des impressions fort différentes à la vue l'un de l'autre, ils parurent également exaspérés et échangèrent une première volée de coups de canne. Un policeman les sépara, non sans avoir reçu pour sa peine, en pleine mâchoire, un coup qui lui cassa plusieurs dents. Quelques pas plus loin, nouvelle scène de boxe, au cours de laquelle le père offensé pocha l'œil de son fils. On alla se calmer dans la station de police de Vine street, où le premier marquis d'Ecosse et le futur chef de la famille des Douglas furent formellement accusés d'avoir causé du désordre dans la rue. Remis en liberté, sous caution de 50 francs chacun, ils comparaîtront demain devant le magistrat.
Le verdict de culpabilité contre Taylor était à peine rendu depuis quelques minutes qu'une violente altercation se produisait, dans Picadilly, entre le marquis de Queensberry et son fils aîné, le jeune lord Douglas. Tous deux venaient de quitter la cour, d'où ils remportaient, on le pense bien, des impressions for différentes; à la vue l'un de l'autre, ils parurent également exaspérés et échangèrent une première volée de coups de canne. Un policeman les sépara, - non sans avoir reçu pour sa peine, en pleine mâchoire, un coup qui lui cassa plusieurs dents. Quelques pas plus loin, nouvelle scène de boxe, au cour de laquelle le père offensé pocha l'oeil de son fils. On alla se calmer dans la station de police de Vine street, où le premier marquis d'Ecosse et le futur chef de la famille Douglas furent formellement accusés d'avoir causé du désordre dans la rue. Remis en liberté, sous caution de 50 francs, chacun ils comparaîtront demain devant le magistrat.
Ce verdict était à peine rendu depuis quelques minutes qu'une violente altercation se produisait, dans Piccadilly, entre ie marquis de Queensberry ot son fils aîné, le jeune lord Alfred Douglas. Tous deux venaient de quitter la cour, d'où ils remportaient, on le pense bien, des impressions fort différentes; à la vue l'un de l'autre ils parurent également exaspérés et échangèrent une première volée de coups de canne. Un policeman les sépara, -- non sans avoir, reçu pour sa peine, en pleine mâchoire, un coup qui lui cassa plusîeurs dents. Quelques pas plus loin, nouvelle scène de boxe, au cours de laquelle le pére offensé pocha l'oeil de son fils. On alla se calmer dans la station de police de Vine Street, ou le premier marquis d'Ecosse et le futur chef de la famille des Douglas furent formellement accusés d'avoir causé du désordre daus la rue. Remis en liberté, ils ont comparu hier devant le tribunal de police pour désordre dans la rue et ont été condamnés à fournir caution de 500 livres garantissant leurs bons rapports en public pendant six mois.
Le verdict de culpabilité contre Taylor était à peine rendu hier depuis quelques minutes qu'une violente altercation se produisait, dans Piccadilly, entre le marquis de Queensberry et son fils aîné, le jeune lord Alfred Douglas. Tous deux venaient de quitter la cour, d'où ils remportaient, on le pense bien, des impressions fort différentes; à la vue l'un de l'autre, ils parurent également exaspérés et échangèrent une première volée de coups de canne. Un policeman les sépara, - non sans avoir reçu pour sa peine, en pleine mâchoire, un coup qui lui cassa plusieurs dents. Quelques pas plus loin, nouvelle scène de boxe, au cours de laquelle le père offensé pocha l'oeil de son fils.
Le verdict de culpabilité contre Taylor était à peine rendu hier depuis quelques minutes qu’une violente altercation se produisait, dans Piccadilly, entre le marquis de Queensberry et son fils aîné, le jeune lord Alfred Douglas. Tous deux venaient de quitter la cour, d’où ils remportaient, on le pense bien, des impressions fort différentes; à la vue l’un de l’autre, ils parurent également exaspérés et échangèrent une première volée de coups de canne. Un policeman les sépara, — non sans avoir reçu pour sa peine, en pleine mâchoire, un coup qui lui cassa plusieurs dents. Quelques pas plus loin, nouvelle scène de boxe, au cours de laquelle le père offensé pocha l’œil de son fils.
Londres, 22 mai. -- Lord Queesberry et son fils ainé ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police pour désordre dans la rue.
-- Lord Queensberry et son fils aîné ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police pour désordre dans la rue.
Lord Queensberry et son fils ainé ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de police pour désordre dans la rue.
Lord Queensberry et son fils aîné ont comparu aujourd'hui devant le tribunal de police pour désordre dans la rue.
Londres, 22 mai. — Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas, ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de police de Malborough.
Londres, 22 mai. — Le marquis de Queensberry et son fils ainé, lord Douglas, ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de police de Malborough.
Le marquis de Queensberry et son fils aîné, lord Douglas, ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de police de Malborough.
Le marquis de Queensberry et son fils, lord Douglas, ont comparu, aujourd'hui, devant le tribunal de simple police de Malborough.
Le marquis de Queerisberry et son fils aîné, lord Douglas, ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de police de Malborough.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que pendant six mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que pendant six mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal les a condamnés à fournir caution de 500 livres comme garantie que pendant six mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal a condamné le marquis et son fils à fournir une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Le tribunal a condamné les deux pugilists à fournir une caution de 12,500 francs comme garantie que -- pendant six mois -- il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Lord Queensberry et son fils ont été condamnés a d.poser une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux, en public.
Lord Queensberry et son fils ont été condamnés à déposer une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle, entre eux en public.
Lord Queensberry et son fils ont été condamnés à déposer une caution de 500 livres comme garantie que, pendant six mois, il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
Lord Queensberry et son fils été condamnés aujourd'hui à déposer une caution de 500 livres comme garantie que pendant 6 mois il ne se produirait pas de querelle entre eux en public.
P.S. - Lord Queensberry et son fils ont été condamnés aujourd'hui à déposer une caution de 500 livres, comme garantie que pendant six mois ils ne se produirait pas du querelle entre eux, en public.
D'après une interview qu'il a accorder à un représentant du New-York Herald, le marquis de Queensberry serait très satisfait de sa rencontre avec le jeune lord Alfred:
« Mon fils et moi (aurait il déclaré) nous nous étions fait pas mal de mauvais sang l'un contre l'autre... Eh! bien, il a coulé, nous en avons perdu une partie! En tout cas, je me sens incliné envers ce garçon à plus de bienveillance que je n'en avais éprouvé depuis des années et j'imagine qu'il a aussi meilleure opinion de moi. »
D'après une interview qu'il a accordée à un représentant de New-York Herald, le marquis de Queensberry serait très satisfait de sa rencontre avec le jeune lord Alfred: « Mon fils et moi (aurait-il déclaré) nous nous étions fait pas mal de mauvais sang l'un contre l'autre... Eh! bien il a coulé, nous en avons perdu une partie! En tous cas, je me sens incliné envers ce garçon à plus de bienveillance que je n'en avais éprouvé depuis des années et j'imagine qu'il a aussi meilleure opinion de moi. »
Ajoutons que, d'après une interview qu'il a accordée à un représentant du New-York Herald, le marquis de Queensberry serait très satisfait de sa rencontre avec le jeune lord Alfred: «Mon fils et moi (aurait-il déclaré) nous nous étions fait pas mal de mauvais sang l'un contre l'autre ... Eh bien! il a coulé, nous en avons perdu une partie! En tout cas, je me sens incliné envers ce garçon à plus de bienveillance que je n'en avais éprouvé depuis des années et j'imagine qu'il a aussi meilleure opinion de moi.»
Ajoutons que, d’après une interview qu’il a accordée à un représentant du New-York Herald, le marquis de Queensberry serait très satisfait de sa rencontre avec le jeune lord Alfred : « Mon fils et moi (aurait-il déclaré) nous nous étions fait pas mal de mauvais sang l’un contre l’autre... Eh bien ! il a coulé, nous eu avons perdu une partie ! En tout cas, je me sens incliné envers ce garçon à plus de bienveillance que je n’en avais éprouvé depuis des années et j’imagine qu’il a aussi meilleure opinion de moi. »
Ajoutons à ces détails que, d'après une interview qu'il a accordée à un représentant du New York Herald, le marquis de Queensberry serait très satisfait de sa rencontre avec le jeune lord Alfred: « Mon fils et moi (aurait-il déclaré) nous nous étions fait pas mal de mauvais sang l'un contre l'autre ... Eh! bien, il a coulé, nous en avons perdu une partie! En tout cas je me sens incliné envers ce garçon à plus de bienveillance que je n'en avais éprouvé depuis des années et j'imagine qu'il a aussi meilleure opinion de moi. »
Le marquis fait observer au journaliste que le jeune lord a été deux fois agresseur: « C'est que, dit-il pour l'excuser, le verdict du jury l'a irrité. Et puis il a mal pris une innocente plaisanterie que je m étais permise. »
Le marquis exhibe alors une illustration représentant un iguanodon, dont l'image irrésistiblement comique, avait paru dans une revue hebdomadaire; et il confesse en avoir envoyé un exemplaire à la mère de lord Alfred Douglas (sa femme divorcée), avec ces mots: «Un possible ancêtre d'Oscar Wilde.»
Procès Wilde
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises. Qscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait qua le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
Oscar Wilde entre à dix heure et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement affecté.
L'accusé entre à dix heures et demie. Il est beaucoup plus pâle qu'hier. On dirait que le résultat du procès Taylor l'a sérieusement
affecté.
Le ministère public développa l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l'accusation avec une grandie précision.
Le Ministère public a développé l'accusation avec une grande précision.
Le ministère public développe l’accusation. Des preuves suffisamment précises seront présentées.
Le ministère public développe l’accusation. Des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les, faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s’accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront, dit-il, présentées.
Le ministre public développe l'accusation avec une grande précision. Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisament précises seront présentées.
Le ministère public développe l'accusation avec une grande précision. Bien que les faits reprochés à Oscar Wilde soient de ceux qui s'accomplissent dans la solitude la plus absolue, des preuves suffisamment précises seront présentées, dit-on ...
Le premier témoin appelé, Shelley, raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Le témoin raconte les faits que nous connaissons déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley. Il raconte les faits qui sont déjà connus.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l'on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l'on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne lait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connait déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley, qui ne fait que raconter les faits que l’on connaît déjà.
Le premier témoin appelé est Shelley qui ne fait que raconter les faits qu'on connait déjà.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace... d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Quensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu’il parle, le marquis de Qucensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d’émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Quensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant qu'il parle, le marquis de Queensberry entre dans la salle. Sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa rencontre avec son fils.
Pendant l'audition des témoins, le marquis de Quensbery entre dans la salle; sa figure ne porte aucune trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant l'audition des témoins, le marquis de Queensberry est entré dans la salle ; son visage ne portait pas la moindre trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Pendant l'audition des témoins, le marquis de Queensbury est entré dans la salle; son visage ne portait pas la moindre trace d'émotion, malgré sa récente rencontre avec son fils.
Alfred Wood donne son témoignage qui est déjà connu.
ENGLISH SCANDALS
THE WILDE AND TAYLOR TRIAL
Conviction of Taylor. -- Family boxing assault. -- An ancestor of Oscar Wilde. -- Father and son before the judge. - Resumption of the Wilde trial
London, May 22. -- Arguably, the repugnant Taylor trial only really began at yesterday's hearing.
This hearing was largely taken up with the questioning of the accused, who denied all the facts against him; then, the public prosecutor and the defender spoke; Finally, Judge Wills delivered his "summary" without neglecting any of the points and - great difficulty overcome - without once mentioning the name of Oscar Wilde, whom he constantly called when he spoke of the visits received by Taylor : "another person who is not currently involved. »
Taylor sentenced
At three o'clock the jury enters into deliberation. The questions asked are all related to the consumption of obscene acts with underage young people. Judge Wills did not add the formula which amounts to the admission of mitigating circumstances: "I commend the accused to the mercy of the jury". After twenty minutes, the jury returns to session, and its leader informs the judge that he agrees with his colleagues to return an affirmative verdict.
Taylor is found guilty of committing lewd actions with two of the individuals named by the prosecution. As is the rule in England, this verdict was rendered unanimously.
Upon hearing the jury's statement, Taylor lowered her head and hid her face in both hands for just a minute. He soon resumes, where he strives to resume, the stupidly smiling attitude he has kept since the beginning of the affair. But his emotion is stronger than his will, and we see the hat he is holding tremble. Finally, he whispers, “I didn't deserve this. »
He had to hope until the end for a negative verdict on all questions.
Mr. Justice Wills frees the jury and adjourns sentencing. It is therefore before a new jury that the Wilde case will come: it will be called tomorrow.
paternal correction
The verdict of guilty against Taylor had hardly been rendered for a few minutes when a violent altercation broke out in Piccadilly between the Marquess of Queensberry and his eldest son, the young Lord Alfred Douglas. Both had just left the court, whence they gained, it may well be imagined, very different impressions; at the sight of each other, they seemed equally exasperated and exchanged a first volley of cane blows. A policeman separated them, - not without having received for his trouble, in the jaw, a blow which broke several teeth. A few steps further, another boxing scene, during which the offended father poked his son's eye. We went to calm down in the police station of Vine street, where the first Marquess of Scotland and the future head of the family of the Douglases were formally accused of having caused disorder in the street. They were released on bail of 50 francs each.
London, May 22. -- Lord Queesberry and his eldest son appeared in police court today for disorder in the street.
The court sentenced them to post bail of 500 pounds as a guarantee that for six months there would be no quarrel between them in public.
According to an interview he granted to a representative of the New York Herald, the Marquess of Queensberry would be very satisfied with his meeting with the young Lord Alfred:
“My son and I (he would have declared) we had done a lot of bad blood against each other... Hey! well, it sank, we lost some of it! In any case, I feel inclined towards this boy with more benevolence than I had felt in years and I imagine that he also thinks better of me. »
The marquis pointed out to the journalist that the young lord had twice been an aggressor: “It's because, he said to excuse him, the jury's verdict irritated him. And then he took an innocent joke that I had allowed myself. »
The marquis then exhibits an illustration representing an iguanodon, whose irresistibly comic image had appeared in a weekly review; and he confesses to having sent a copy to the mother of Lord Alfred Douglas (his divorced wife), with these words: "A possible ancestor of Oscar Wilde."
Wilde Trial
London, May 22. -- The Oscar Wilde case began this morning before the Assize Court. Qscar Wilde comes in at half past ten. He is much paler than yesterday. Looks like the outcome of the Taylor trial has seriously affected him.
The prosecution developed the charge with great precision.
Although the facts reproached to Oscar Wilde are of those which are accomplished in the most absolute solitude, sufficiently precise proofs will be presented.
The first witness called, Shelley, recounts the facts we already know.
As he speaks, the Marquess of Queensberry enters the room. Her face bears no trace of emotion, despite her recent encounter with her son.
Alfred Wood gives his testimony which is already known.