La Lanterne - Sunday, May 26, 1895
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LES SCANDALES OE LONDRES
Londres, 24 mai. -- Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Londres, 24 mai.— Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la Cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris, hier matin, devant la cour d’assises.
LONDRES, 23 mai. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la cour d'assises.
LONDRES, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Londres.-- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises de Londres.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
LONDRES, 23 mai. -- Par fil spécial. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la cour d'assises.
A dix heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son sôlicitor. A côté de lui se tient lord Douglas qui porte toujours sur l'oeil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
A 10 heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas. Lord Douglas de Hawick porte toujours sur l'oeil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
A 10 heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas. Lord Douglas de Hawick porte toujours sur l'œil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
A 10 heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l’ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas. Lord Douglas de Hawick porte toujours sur l’œil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
A 10 heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l’ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas. Lord Douglas de Hawick porte toujours sur l’œil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
A dix heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée, et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Havick, le frère de lord Alfred Douglas.
A 10 heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas.
A dix heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture de l'audience il parle avec animation à son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas.
Après le plaidoyer de son avocat, Oscar Wilde est appelé à témoigner.
Il reconnaît qu'il a été constamment en correspondance, avec Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas :
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Il excuse son habitude de commencer ses lettres à Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: «My own boy», en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: «My own boy», en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune, que lui par des années, par la tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habille de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots : « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habille de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots : « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère come un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'était là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considers comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des bêtises », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un «poème en prose» et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers, » demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un homme.
Par exemple : Le ministère public prend eu main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème eu prose, en y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers; » il demande à Wilde si c'est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public lit la fameuse lettre à lord Douglas dans laquelle Wilde s'exprime ainsi: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers. » Il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public, relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et la folie des baisers», demande à l’accusé si c’est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public parle de la correspondance que Wilde entretenait avec lord Alfred Douglas, et, citant en particulier une lettre où l'on remarque cette phrase: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Les lettres adressées par Oscar Wilde à lord Alfred Douglas ont été l’objet de plusieurs questions. Le ministère public relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers » demande à l’accusé si c’est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde.
L'interrogatoire porte ensuite sur les relations de Wilde avec Taylor.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je
trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel,
mais il était adroit.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- « Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvai en Taylor un homme de beaucoup de bon gout; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde ; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit. »
-- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
—Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût ; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût ; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation, Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre à l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit. Wilde continue à nier, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de Savoy hôtel.
C'est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker. L'interrogatoire se poursuit ainsi sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'Hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hotel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se termine brusquement là-dessus.
L'audience est renvoyée à demain.
LONDON OE SCANDALS
London, May 24. -- Oscar Wilde's trial resumed this morning before the Assize Court.
At half-past ten, Oscar Wilde makes his entrance and, while awaiting the opening of the trial, talks briskly with his solicitor. Beside him stands Lord Douglas, who still bears distinct traces of his encounter with his father on his left eye.
After his lawyer's plea, Oscar Wilde is called to testify.
He acknowledges that he was constantly in correspondence with Douglas.
He excuses his habit of beginning his letters to Douglas with these words: "My own boy", saying that Lord Alfred Douglas was younger than him in years, in temperament, and in character.
The public ministry takes in hand the famous letter which Wilde regards as a prose poem, and raises the following sentence there: " Your purple lips are made for the music of the songs and for the madness of the kisses ", asks Wilde if it that's a decent way to write to a young man.
"It's a literary thing," replies Wilde.
The questioning then turns to Wilde's relationship with Taylor.
-- What charm did you find in Taylor? asks the public prosecutor.
"Charm is not the proper word," said Wilde; but I found
Taylor to be a man of great taste; he was not an intellectual, but he was skilful.
The questioning continues, on all counts. Wilde denies everything, even the statements of the masseur and the chambermaid of the Savoy hotel.
The interrogation ends abruptly there.
The hearing is adjourned to tomorrow.