La Souveraineté nationale - Thursday, April 18, 1895
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A PROPOS D'OSCAR WILDE
M. Jules Huret a publié dons le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle « Petite Chronique des lettres », une note conçue en ces termes :
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle : « Petite Chronique des lettres ", une note conçue en ces termes :
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle: « Petite Chronique des lettres », une note conçue en ces termes:
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle «Petite Chronique des lettres», une note conçue en ces termes:
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle : « Petite Chronique des lettres, » une note conçue en ces termes :
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle: « Petite Chronique des lettres », une note conçue en ces termes:
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle « Petite Chronique des lettres, » une note conçue en ces termes
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle : « Petite Chronique des lettres » une note dans […] le parlant du séjour à Paris d’Oscar Wilde, il […] quelles avaient été ses relations.
On nous demande de différents côtés quels étaient Ies gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours a Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens qui fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut être, ne satisferait qu’imparfaitement leur curiosité. La vérité, c’est que M. Oscar Wilde était très […] dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu’imparfaitement leur curiosité. La vérité, c’est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraire, ce qui, peut-être, ne satisferait qu’imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde êtait très fêté dans plusieurs centres.
Ses familiers étaient, croyons nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendes, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde de lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses […] disait M. Huret, dans le monde des lettres et des arts, MM, Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwab et autres écrivains […].
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendês ont aussitôt protesté. Tout d’abord, M. Mendês a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant :
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d’abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Hurret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Hurret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mandès ont aussitôt protesté. Tout d’abord, M. Mondès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant :
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes
un imbécile.
Catulle MENDES.
13 avril 1803.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle Mendès.
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS.
13 avril 1895
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle MENDES.
13 avril 1895.
Monsieur. Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle MENDÈS.
13 avril 1895.
« Monsieur,
« SI vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ;
« Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
« Catulle Mendès.
« 13 avril 1895 ».
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
« Monsieur,
« Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ;
« Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
« Catulle Mendès
« 13 avril 1895 »
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS.
13 avril 1895
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULE MENDÈS.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle Mendès.
13 avril 1895. CATULLE MENDÈS.
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ; si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle Mendès.
«Monsieur,
«Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé. Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile. »
«13 avril 1895. Catulle MENDÈS.
A ce télégramme M. Jules Huret a répondu en ces termes :
Lundi. 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite
Chronique des lettres » de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires
établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de
les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion
dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme
d’esprit.
Jules HURET
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
>J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
>Jules HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement ; vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 3 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des Lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapporte littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plue large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
Jules Huret.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires ù établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
« Monsieur,
» J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
» Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
» Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
» JULES HURET. »
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires a établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
Jules Huret.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J arriva à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépeche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il voue plait de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
J'arrive à l'instant de la campagne et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
M Catulle Mendès se jugeant offensé, a I’envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Hurut. qui a chargé MM. Gaétan de Méaulne et Guérin de le representer. Une rencontre a été décidée. Le rendez-vous fixé pour huir après-midi, à trois heures, à St-Germain.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaëtan de Méraulne et Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu hier dans la forêt de Saint-Germain.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaétan de Méraulne et Jules Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu, hier après-midi, à trois heures, dans la forêt de Saint-Germain.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaétan de Méraulne et Jules Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu, hier après-midi, à trois heures, dans la forêt de Saint-Germain.
M. Catulle Mondès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaétan de Méraulne et Jules Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu, hier après-midi, à trois heures, dans la forêt de Saint-Germain.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaëtan de Méraulne et Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée.
Au premier engagement, M. Mendès a été atteint à l’avant-bras d’une blessure profonde de six centimètres, qui, de l’avis des médecins, le docteur Raïchline peur M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendés mettait ce dernier en état d’infériorité, ce qui a mis fin au combat.
Au premier engagement, M. Mendès a été atteint à l'avant-bras d’une blessure profonde de six centimètres, qui, de l’avis des médecins, le docteur Raïchline pour M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendès, mettait ce dernier en état d’infériorité ; ce qui a mis fin au combat.
Au premier engagement, M. Mendès a été atteint à l'avant-bras d'une blessure profonde de six centimètres, qui, de l'avis des médecins, le docteur Raïchline pour M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendès, mettait ce dernier en état d'infériorité; ce qui a mis fin au combat.
Au premier engagement, M. Mendès a été atteint à l'avant-bras d'une blessure profonde de six centimètres, qui, de l'avis des médecins, le docteur Raïchline pour M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendès mettait ce dernier en état d'infériorité, ce qui a mis fin au combat.
Au premier engagement, M. Mendès a été atteint à l'avant-bras d'une blessure profonde de six centimètres, qui, de l'avis des médecins, le docteur Raïchline pour M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendès, mettait ce dernier en état d'infériorité; ce qui a mis fin au combat.
An premier engagement, M. Mendès a été atteint à l’avant-bras d’une blessure profonde de six centimètres, qui, de l’avis des médecine, le docteur Raïchline pour M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendès, mettait ce dernier en état d’infériorité, ce qui a mis fin au combat.
Au premier engagement, M. Catulle Mendès a été atteint à l'avant-bras d'une blessure profonde de six centimètres, qui de l'avis des médecins, le docteur Raïchline pour M. Huret et le docteur Cousin pour M. Mendès, mettait ce dernier en état d'infériorité, ce qui a mis fin au combat.
M. Schwob, se trouvant aussi injurié, par l’article que nous citons plus haut, avait envoyé deux de ses amis à M. Huret, mais d’un commun accord les témoins ont jugé qu’il n’y avait pas matière à rencontre.
M. Schwob, se trouvant aussi injurié, par l'arti le que nous citons plus haut, avait envoyé deux de ses amis a M. Huret, mais d'un commun accord les temoius ont jugé qu'il n'y avait pas matière à rencontre.
M. Schwob, se trouvant aussi injurié, par l'article que nous citons plus haut, avait envoyé deux de ses amis à M. Huret, mais d'un commun accord les témoins ont jugé qu'il n'y avait pas de matière à rencontre.
M. Mendès a, on le sait, répondu à M. Huret par un envoi de témoins. M. Schwob, se trouvant aussi injurié, avait envoyé deux de ses amis à M. Huret, mais d’un commun accord les témoins ont jugé qu’il n’y avait pas matière à rencontre.
— M. Jean Lorrain se berne a adresser à M. Huret une lettre rectificative où il établit que ses relations avec M. Wilde qu’il traite d'ailleurs de « mystificateur » — se bornent à un déjeuner qu'il donna chez lui à Auteuil au littérateur anglais et auquel prirent part MM. Schwob, Anatole France et Henry Bauer : ce qui, ajouta-t-il ne saurait établir la « familiarité » dont parle M. Huret.
- M. Jean Lorrain se borne a adresser à M. Huret une lettre rectificative où il établit que ses relations avec M. Wilde qu'il traite d'ailleurs de « mystificateur » - se bornent à un déjeuner qu'il donna chez lui à Auteuil au littérateur anglais et auquel prirent part MM. Schwob, Anatole France et Henry Bauer; ce qui, ajouta-t-il ne saurait établir la « familiarité » dont parle M. Huret.
— M. Jean Lorrain se borne a adresser M. Huret une lettre rectificative où il etablit que ses relations avec M. Wilde qu'il traite d'ailleurs de « mystificateur » — se bornent á un déjeuner qu'il donna chez lui à Auteuil au littérateur anglais et auquel prirent part MM. Schwob, Anatole France et Henry Bauer ; ce qui, ajouta-t-il ne saurait établir la « familiarité » dont parle M. Huret.
ABOUT OSCAR WILDE
Mr. Jules Huret published in the Figaro supplement last Saturday, and under his usual heading "Little Chronicle of Letters", a note written in these terms:
We are asked from different quarters who were the people whom M. Oscar Wilde frequented during his stays in Paris.
We can only inform our correspondents about his purely literary relations, which, perhaps, would only imperfectly satisfy their curiosity. The truth is that Mr. Oscar Wilde was very […] in several centers.
His familiars were, we believe, in the world of letters and the arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob and other subtle writers.
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob and Catulle Mendês immediately protested. First of all, Mr. Mendês sent Mr. Jules Huret the following telegram:
Sir,
If you wanted to report, you are very misinformed.
If you wanted to be pleasant, you are a fool.
Catulla
MENDES.
April 13, 1803.
To this telegram Mr. Jules Huret replied in these terms:
Monday. 5 hours.
Sir,
I have just arrived from the country, and I find your despatch.
In my "Little Chronicle of
Letters" of Saturday, I thought I was speaking only of the literary relations established
between M. Oscar Wilde and you.
Since you please interpret
them in a broader way, I cannot oppose an opinion whose basis you know better than
I do: you are a man of intelligence.
Jules HURET
M Catulle Mendès judging himself offended, sent his witnesses, MM. Courteline and Corneau, to M. Jules Hurut. who charged MM. Gaétan de Méaulne and Guérin to represent him. A meeting has been decided. The meeting fixed for eight afternoon, at three o'clock, at St-Germain.
During the first engagement, Mr. Mendès was hit in the forearm by a six centimeter deep wound, which, in the opinion of the doctors, Doctor Raïchline feared Mr. Huret and Doctor Cousin for Mr. Mendés put the latter in a state of inferiority, which ended the fight.
Mr. Schwob, finding himself also insulted, by the article which we quote above, had sent two of his friends to Mr. Huret, but by common agreement the witnesses judged that there was no matter to meet.
— M. Jean Lorrain fools himself into sending M. Huret a rectifying letter in which he establishes that his relations with M. Wilde, whom he moreover treats as a "mystifier" — are limited to a lunch he gave at his home in Auteuil to the English writer and in which took part MM. Schwob, Anatole France and Henry Bauer: which, he added, could not establish the “familiarity” of which Mr. Huret speaks.