Le Temps - Thursday, April 18, 1895
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AU JOUR LE JOUR
A propos d'Oscar Wilde
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle « Petite Chronique des lettres, » une note conçue en ces termes
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle : « Petite Chronique des lettres ", une note conçue en ces termes :
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle: « Petite Chronique des lettres », une note conçue en ces termes:
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle «Petite Chronique des lettres», une note conçue en ces termes:
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle : « Petite Chronique des lettres, » une note conçue en ces termes :
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle: « Petite Chronique des lettres », une note conçue en ces termes:
M. Jules Huret a publié dons le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle « Petite Chronique des lettres », une note conçue en ces termes :
M. Jules Huret a publié dans le supplément du Figaro de samedi dernier, et sous sa rubrique habituelle : « Petite Chronique des lettres » une note dans […] le parlant du séjour à Paris d’Oscar Wilde, il […] quelles avaient été ses relations.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient les gens qui fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours à Paris.
On nous demande de différents côtés quels étaient Ies gens que fréquentaient M. Oscar Wilde durant ses séjours a Paris.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu’imparfaitement leur curiosité. La vérité, c’est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut-être, ne satisferait qu'imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde était très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraire, ce qui, peut-être, ne satisferait qu’imparfaitement leur curiosité. La vérité, c'est que M. Oscar Wilde êtait très fêté dans plusieurs centres.
Nous ne saurions renseigner nos correspondants que sur ses relations purement littéraires, ce qui, peut être, ne satisferait qu’imparfaitement leur curiosité. La vérité, c’est que M. Oscar Wilde était très […] dans plusieurs centres.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendes, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons nous, dans le monde des lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses familiers étaient, croyons-nous, dans le monde de lettres et des arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob et autres écrivains subtils.
Ses […] disait M. Huret, dans le monde des lettres et des arts, MM, Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwab et autres écrivains […].
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d’abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendês ont aussitôt protesté. Tout d’abord, M. Mendês a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant :
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Hurret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mendès ont aussitôt protesté. Tout d'abord, M. Mendès a envoyé à M. Jules Hurret le télégramme suivant:
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob et Catulle Mandès ont aussitôt protesté. Tout d’abord, M. Mondès a envoyé à M. Jules Huret le télégramme suivant :
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un
imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle Mendès.
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS.
13 avril 1895
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle MENDES.
13 avril 1895.
Monsieur. Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle MENDÈS.
13 avril 1895.
« Monsieur,
« SI vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ;
« Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
« Catulle Mendès.
« 13 avril 1895 ».
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
13 avril 1895.
« Monsieur,
« Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ;
« Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
« Catulle Mendès
« 13 avril 1895 »
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS.
13 avril 1895
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle MENDES.
13 avril 1803.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé.
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle Mendès.
13 avril 1895. CATULLE MENDÈS.
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULLE MENDÈS
Monsieur,
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé;
Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
CATULE MENDÈS.
Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé ; si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile.
Catulle Mendès.
«Monsieur,
«Si vous avez voulu faire du reportage, vous êtes bien mal informé. Si vous avez voulu être plaisant, vous êtes un imbécile. »
«13 avril 1895. Catulle MENDÈS.
A ce télégramme M. Jules Huret a répondu en ces termes:
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique
des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis
entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les
interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont
vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme
d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
>J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
>Jules HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement ; vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi. 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
Jules HURET
Lundi, 3 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des Lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapporte littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plue large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
Jules Huret.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Lundi, 5 heures.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires ù établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
« Monsieur,
» J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
» Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
» Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
» JULES HURET. »
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires a établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
Jules Huret.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
JULES HURET.
Monsieur,
J arriva à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépeche.
Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il voue plait de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.
J'arrive à l'instant de la campagne et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaëtan de Méraulne et Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaëtan de Méraulne et Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu hier dans la forêt de Saint-Germain.
M Catulle Mendès se jugeant offensé, a I’envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Hurut. qui a chargé MM. Gaétan de Méaulne et Guérin de le representer. Une rencontre a été décidée. Le rendez-vous fixé pour huir après-midi, à trois heures, à St-Germain.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaétan de Méraulne et Jules Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu, hier après-midi, à trois heures, dans la forêt de Saint-Germain.
M. Catulle Mendès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaétan de Méraulne et Jules Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu, hier après-midi, à trois heures, dans la forêt de Saint-Germain.
M. Catulle Mondès, se jugeant offensé, a envoyé ses témoins, MM. Courteline et Corneau, à M. Jules Huret, qui a chargé MM. Gaétan de Méraulne et Jules Guérin de le représenter. Une rencontre a été décidée. Elle a eu lieu, hier après-midi, à trois heures, dans la forêt de Saint-Germain.
Le rendez-vous est fixé pour cet après-midi, à trois heures, dans les environs de Paris.
Cette rencontre aura lieu aujourd'hui, à trois heure, dans les environs de Paris.
De son côté, M. Marcel Schwob avait envoyé deux de ses amis, MM. Francis Vielé-Griffin et Henry Gauthier-Villars, demander des explications à M. Jules Huret, au sujet de la note que nous reproduisons plus haut et dans laquelle il était nommé avec MM. Mendès et Jean Lorrain. M. Jules Huret chargeait MM. Emile Berr et Charles Leser de le représenter. A la suite de l'entrevue des quatre témoins,le procès-verbal suivant a été signé:
A la suite d'un entrefilet publié dans le supplément littéraire du Figaro du 13 avril dernier, sous la signature de M. Jules Huret, M. Marcel Schwob a prié deux de ses amis, MM. Francis Vielé-Griffin et Henri Gauthier-Villars, d'en demander à M. Jules Huret l'explication.
A la suite d'un entrefilet publié dans le Supplément littéraire du Figaro du 13 avril dernier, sous la signature de M. Jules Huret, M. Marcel Schwob a prié deux de ses amis, MM. Francis Vielé-Griffin et Henry Gauthier-Villars, d'en demander à M. Jules Huret l'explication.
M. Jules Huret a mis MM. Francis Vielé-Griffin et Henri Gauthier-Villars en relation avec MM. Emile Berr et Charles Leser, qui leur ont communiqué la déclaration suivante:
M. Jules Huret a mis MM. Francis Vielé-Griffin et Henry Gauthier-Villars en relations avec MM. Emile Berr et Charles Leser, qui leur ont communiqué la déclaration suivante:
« M. Jules Huret déclare qu'il ne prendrait la responsabilité d'une offense, qu'il n'a ni voulue ni faite, que si M. Marcel Schwob, par une interprétation personnelle, lui en suggérait le devoir. »
« M. Jules Huret déclare qu'il ne prendrait la responsabilité d'une offense, qu'il n'a ni voulue ni faite, que si M. Marcel Schwob, par une interprétation personnelle, lui en suggérait le devoir.
S'en référant aux termes mêmes de sa chronique du 13 avril, il tient à faire constater qu'il n'y a traité que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et quelques-uns de nos écrivains. »
« S'en référant aux termes mêmes de sa chronique du 13 avril, il tient à faire constater qu'il n'y a traité que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et quelques-uns de nos écrivains.
Il lui convient d'ajouter qu'en ce qui concerne particulièrement M. Marcel Schwob il serait au regret qu'on eût pu attribuer à son information aucune intention malveillante.»
« Il lui convient d'ajouter qu'en ce qui concerne particulièrement M. Marcel Schwob, il serait aux regrets qu'on eût pu attribuer à son information aucune intention malveillante. »
A la suite de cette déclaration, il a été reconnu, d'un commun accord, par les témoins, qu'il n'y avait pas lieu à rencontre et que l'incident était clos.
A la suite de cette déclaration, il a été reconnu, d'un commun accord, par les témoins, qu'il n'y avait pas lieu à rencontre et que l'incident était clos.
Pour M. Jules Huret: EMILE BERR, , CHAULES LESER.
Pour M. Marcel Schwob: FRANCIS VIELÉ-GRIFFIN, HENRY GAUTHIER-VILLARS.
Pour M. Marcel Schwob:
Emile Berr, Francis Vielé-Griffin, Henry Gauthier-Villars.
Mais, hier soir, M. Schwob a envoyé à M. Jules Huret une nouvelle lettre. Elle est ainsi conçue:
Paris, 16 avril 1895.
Monsieur,
Je n'admets pas que vous me laissiez l'alternative de la double interprétation d'une
phrase
offensante et je vous suggère le devoir que vous m'indiquez.
MARCEL SCHWOB.
Paris, 16 avril 1895
Monsieur,
Je n'admets pas que vous me laissiez l'alternative de la double interprétation d'une phrase offensante, et je vous suggère le devoir que vous m'indiquez.
Marcel SCHWOB.
M. Jules Huret a communiqué cette lettre à ses deux témoins, MM. Berr et Leser, qui lui ont adressé la lettre suivante:
M. Jules Huret a immédiatement communiqué cette lettre à ses deux témoins, qui lui adressent la réponse suivante:
Mon cher ami,
D'un commun accord, les témoins de M. Marcel Schwob et nous avions déclaré l'incident
clos. Notre sentiment est donc
que c'est à ces témoins, et non à vous, que sa lettre eût dû être adressée, et que
vous n'avez, quant à vous, qu'à vous en tenir aux termes du
procès-verbal d'aujourd'hui.
A vous,
ÉMILE BERR.
CHARLES LESER.
Mon cher ami,
D'un commun, accord, les témoins de M. Marcel Schwob'et nous avions déclaré l'incident clos. Notre sentiment est donc que c'est à ces témoins, et non à vous, que sa lettre eût dû être adressée, et que vous n'avez, quant à vous, qu'à vous en tenir aux termes du procès-verbal d'aujourd'hui.
A vous,
Emile BERR
Charles LESER.
M. Jean Lorrain, enfin, a envoyé à M. Huret, en réponse à la note que celui-ci a publiée dans le supplement du Figaro de samedi dernier, cette lettre:
Ce lundi 15.
Mon cher Huret,
Le Courrier de la Presse me transmet aujourd'hui les quelques lignes que vous voulez bien consacrer aux amis littéraires de Wilde.
Le Courrier de la Presse me transmet aujourd’hui les quelques ligues que vous voulez bien consacrer aux amis littéraires de Wilde.
Le Courrier de la Presse me transmet aujourd'hui les quelques lignes que vous voulez bien consacrer aux amis littéraires de Wilde. J'ai le regret d'avoir à rectifier vos renseignements.
J'ai le regret d'avoir à rectifier vos renseignements. Je n'ai jamais eu l'honneur d'être des familiers de M. Wilde; il y a trois ans, alors que M. Wilde fut le lion de la saison dans les centres littéraires, sur ma demande, en effet, M. Wilde me fut amené à Auteuil par par mon ami Marcel Schwob, qui avait fait sa connaissance à Londres et avait la plus grande admiration pour le poète et le mystificateur aussi.
Je n'ai jamais eu l'honneur d'être des familiers de M. Wilde; il y a trois ans, alors que M. Wilde fut le lion de la saison dans les centres littéraires; sur ma demande, en effet, M. Wilde me fut amené à Auteuil par mon ami Marcel Schwob, qui avait fait sa connaissance à Londres et avait la plus grande admiration pour le poète et le mystificateur aussi.
Je n’ai jamais eu l’honneur d'être des familiers de M. Wilde; il y a trois ans, alors que M. Wilde fut le lion […] la saison dans les centres littéraires, sur ma demande, en effet, M. Wilde me fut amené à Auteuil par mon ami Marcel Schwob, qui avait fait sa connaissance à Londres et avait la plus grande admiration pour le poète et le mystificateur aussi.
Wilde déjeuna chez moi avec Marcel Schwob, Anatole France et Henri Bauër, que j'avais invité pour la circonstance, et l'esthète nous enchanta tous par son humour et son esprit.
Wilde déjeuna chez moi avec Marcel Schwob, Anatole France et Henri Bauër, que j'avais invités pour la circonstance, et l'esthète nous enchanta tous par son humour et son esprit.
Wilde déjeuna chez moi avec Marcel Schwob, Anatole France et Henri Bauer, que j’avais invités pour la circonstance, et l'esthète nous enchanta tous par son humour et son esprit.
Quelques jours après, je me retrouvais avec M. Wilde, chez Voisin, à un dîner offert par M. Maurice Barrès avec Schwob, Chevassus, Jacques Blanche et autres écrivains et artistes, et je n'ai jamais revu M. Oscar Wilde depuis.
Quelques jours après, je me retrouvais avec M. Wilde, chez Voisin, à un dîner offert par M. Maurice Barrès avec Schwob, Chevassus, Jacques Blanche et autres écrivains et artistes, et je n'ai jamais revu M. Oscar Wilde depuis. Hélas! non, jamais, depuis.
Quelques jours après, je me retrouvais avec M. Wilde, chez Voisin, à un banquet offert par M. Maurice Barrès avec Schwob, Chevassu, Jacques Blanche et autres écrivains et artistes, et je n’ai jamais revu M. Oscar Wilde depuis. Hélas! non, jamais depuis.
Hélas non, jamais, depuis.
C'est un peu court, pour un familier; j'ai même su que M. Wilde m'évitait, me déclarant un homme dangereux et terrible, ce qui m'a un peu flatté, je l'avoue, mais étonné aussi.
C'est un peu court, pour un familier; j'ai même su que M. Wilde m'évitait, me déclarant un homme dangereux et terrible, ce qui m'a un peu flatté, je l'avoue, mais étonné aussi.
C’est un pou court pour un familier ; j’ai même su que M. Wilde m’évitait, me déclarant un homme dangereux et terrible, ce qui m’a un peu flatté, je l’avoue, mais étonné aussi.
Je vous demande pardon de cette petite page d'histoire contemporaine, mais puisque vous faites la chronique des lettres au Figaro, encore faut-il que vous renseigniez exactement vos lecteurs.
Je vous demande pardon de cette petite page d'histoire contemporaine, mais, puisque vous faites la chroniques des lettres au Figaro, encore faut-il que vous renseigniez exactement vos lecteurs.
Je vous demande pardon de cette petite page d’histoire contemporaine, mais, puisque vous faites la chronique des lettres au Figaro, encore faut-il que vous renseignez exactement vos lecteurs.
Croyez-moi, mon cher Huret, très vôtre et ami.
JEAN LORRAIN.
P. S.-- Je compte sur vous, cher ami, pour faire insérer cette
lettre.
Croyez-moi, mon cher Hurêt, très vôtre et ami
Jean Lorrain.
P. S. --Je compte sur vous; cher ami, pour faire insérer cette lettre.
DAY BY DAY
About Oscar Wilde
Mr. Jules Huret published in the Figaro supplement last Saturday, and under his usual heading "Little Chronicle of Letters," a note conceived in these terms
We are asked from different quarters who were the people whom M. Oscar Wilde frequented during his stays in Paris.
We can only inform our correspondents about his purely literary relations, which, perhaps, would only imperfectly satisfy their curiosity. The truth is that Mr. Oscar Wilde was much celebrated in several centers.
His familiars were, we believe, in the world of letters and the arts, MM. Jean Lorrain, Catulle Mendès, Marcel Schwob and other subtle writers.
MM. Jean Lorrain, Marcel Schwob and Catulle Mendès immediately protested. First of all, Mr. Mendès sent Mr. Jules Huret the following telegram:
Sir,
If you wanted to report, you are very misinformed.
If you wanted to be pleasant, you are a fool.
CATULLE
MENDES
April 13, 1895.
To this telegram Mr. Jules Huret replied in these terms:
Monday, 5 a.m.
Sir,
I have just arrived from the country, and I find your despatch.
In my Petite Chronique des
lettres on Saturday, I thought I was speaking only of the literary relations established
between M. Oscar Wilde and you.
Since you please interpret
them in a broader way, I cannot oppose an opinion whose basis you know better than
I do: you are a man of intelligence.
JULES HURET.
M. Catulle Mendès, judging himself offended, sent his witnesses, MM. Courteline and Corneau, to M. Jules Huret, who instructed MM. Gaëtan de Méraulne and Guérin to represent him. A meeting has been decided.
The meeting is fixed for this afternoon, at three o'clock, in the vicinity of Paris.
For his part, M. Marcel Schwob had sent two of his friends, MM. Francis Vielé-Griffin and Henry Gauthier-Villars, to ask for explanations from Mr. Jules Huret, about the note which we reproduce above and in which he was named with MM. Mendes and Jean Lorrain. Mr. Jules Huret instructed MM. Emile Berr and Charles Leser to represent him. Following the interview of the four witnesses, the following minutes were signed:
Following a paragraph published in the literary supplement of Figaro last April 13, under the signature of Mr. Jules Huret, Mr. Marcel Schwob asked two of his friends, MM. Francis Vielé-Griffin and Henri Gauthier-Villars, to ask Mr. Jules Huret for an explanation.
Mr. Jules Huret put MM. Francis Vielé-Griffin and Henri Gauthier-Villars in relation with MM. Emile Berr and Charles Leser, who provided them with the following statement:
“Mr. Jules Huret declares that he would only take responsibility for an offence, which he neither wanted nor committed, if Mr. Marcel Schwob, by a personal interpretation, suggested to him the duty. »
Referring to the very terms of his column of April 13, he wishes to point out that he only dealt with the literary relations established between Mr. Oscar Wilde and some of our writers. »
It behooves him to add that as far as Mr. Marcel Schwob is concerned in particular, it would be with regret that no malicious intent could have been attributed to his information.”
Following this declaration, it was recognized, by mutual agreement, by the witnesses, that there was no need to meet and that the incident was closed.
For Mr. Jules Huret: EMILE BERR, , CHAULES LESER.
For Mr. Marcel Schwob: FRANCIS VIELÉ-GRIFFIN, HENRY GAUTHIER-VILLARS.
But yesterday evening M. Schwob sent M. Jules Huret a new letter. It is designed as follows:
Paris, April 16, 1895.
Sir,
I do not accept that you leave me the alternative of the double interpretation of
an
offensive sentence and I suggest to you the duty that you indicate to me.
MARCEL SCHWOB.
Mr. Jules Huret communicated this letter to his two witnesses, MM. Berr and Leser, who addressed the following letter to him:
My dear friend,
By mutual agreement, the witnesses of Mr. Marcel Schwob and we had declared the incident
closed. Our feeling
is therefore that it is to these witnesses, and not to you, that his letter should
have been addressed, and that you, for your part, have only to adhere
to the terms of the minutes of the today.
To you,
EMIL BERR.
CHARLES LESER.
M. Jean Lorrain, finally, sent to M. Huret, in response to the note which the latter published in the supplement of Figaro last Saturday, this letter:
This Monday 15.
My dear Huret,
Le Courrier de la Presse is sending me today the few lines that you are kind enough to devote to Wilde's literary friends.
I regret having to correct your information. I never had the honor of being familiar with Mr. Wilde; three years ago, when M. Wilde was the lion of the season in the literary centers, at my request, in fact, M. Wilde was brought to me at Auteuil by my friend Marcel Schwob, who had met him at London and had the greatest admiration for the poet and the mystifier too.
Wilde had lunch at my house with Marcel Schwob, Anatole France and Henri Bauër, whom I had invited for the occasion, and the esthete enchanted us all with his humor and his wit.
A few days later, I found myself with M. Wilde, at Voisin's, at a dinner given by M. Maurice Barres with Schwob, Chevassus, Jacques Blanche and other writers and artists, and I have never seen M. Oscar Wilde since.
Alas no, never since.
It's a bit short, for a familiar; I even learned that M. Wilde was avoiding me, declaring me a dangerous and terrible man, which flattered me a little, I admit, but also surprised me.
I beg your pardon for this little page of contemporary history, but since you chronicle the letters to Le Figaro, you still need to inform your readers exactly.
Believe me, my dear Huret, very yours and friend.
JEAN LORRAIN.
PS-- I am counting on you, dear friend, to have this
letter inserted.