LES SCANDALES DE LONDRES
Continuation du procès Oscar Wilde. — Les scandales de Londres
(par dépêche)

Londres, 23 mai. — Le procès Oscar Wilde a continué ce matin devant, la cour d’assises. L’accusé qui est toujours en liberté sous caution est arrivé à la cour de très bonne heure.

L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la cour d'assises. L'accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive à la cour de très bonne heure.
L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la cour d'assises. L'accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive à la cour de très bonne heure.
L’affaire Wilde est reprise devant la cour d’assises. L’accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très bonne heure à la cour.
L’affaire Wilde est reprise devant la cour d’assises. L’accusé qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très bonne heure à la cour.
L'affaire Wilde est reprise devant la cour d'assises. L'accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très bonne heure à la cour.
L'affaire Wilde est reprise devant la cour d'assises. L'accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très bonne heure à la cour.
L’affaire Wilde est reprise devant la cour d’assises. L’accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très bonne heure à la cour.
L’affaire Wilde est reprise devant la cour d'assises. L'accusé qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très bonne heure à la cour.
L'affaire Wilde est reprise devant la cour d'assises. L'accusé,qui est toujours en liberté sous caution, arrive de très'bonne heure à la cour.

Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Ketter.

Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin interrogé est William Barker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du diner chez Kettner.
Le premier témoin interrogé est William Barker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin interrogé est William Barker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Cettner.
L’affaire est reprise et le témoin William Parker raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
L'affaire est reprise et le témoin William Parker raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin interrogé est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James.
Le premier témoin interrogé est « William Barker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James.
Le premier témoin interrogé est William Barker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James.
Le premier tétmin interrogé est William Barker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James.
Le premier témoin interrogé est William Barker qui raconte de nouveau la scène du restaurant Saint James.
Le premier témoin interrogé est William Barker qui raconte de nouveau la scène du restaurant Saint-Thomas.
L'accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive à la Cour de très bonne heure. Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du diner chez Kettner.

C’est après le dîner dans ce dernier endroit que Wilde, passant son bras autour do la taille du frère de Parker, s écria : « Voilà un boy pour moi ! » Et il lui demanda d’aller avec lui au Savoy-Hotel.

C’est après le diner, dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s’écria : « Voilà un boy pour moi ! » Et il lui demanda d’aller avec lui au Savoy-Hotel.
C'est après le dîner, dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s'écria: « Voilà un boy pour moi! » Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy-Hotel.
C'est après le dîner dans ce dernier en droit que Wilde passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s’écria : Voilà un Boy pour moi ! Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy-Hôtel.
C'est après le dîner dans ce dernier endroit que Wilde passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s'écria: Voilà un Boy pour mol! Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy-HôteL
C'est après le dîner dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Barker, s'écria: « Voilà « un boy » pour moi ! » et il lui demanda d'aller avec lui au Savoie-Hôtel.
C'est après le dîner, dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille de Parker, s'écria: « Voilà un « boy » pour moi! » Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy Hôtel.
C'est après le dîner dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s'écria:
- Voilà un boy pour moi !

On commence ensuite, les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.

On commence après, les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hotel.
On commence, après, les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concmant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On procède ensuite à l'interrogatoire des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.

Pour cette partie du procès, on entend le témoignage de teneur de livres de l’hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l’hôtel.

Pour cette partie du procès, on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
Pour cette partie du procès, on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
Pour cette partie du procès on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
On commence, après, les interrogatoires des témoins au Savoy-Hötel. Pour cette partie du procès on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
Pour cette partie du procès on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel, et les dépositions très circonstanciées des femmes de chambre et des garçons.

On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottard. Elle raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.

On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottard. Elle raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier, qui venait de sonner, et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit, dans le lit de Wilde, un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
Parmi les témoins suivants, citons la femme de chambre, Marguerite Cottar qui raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
Parmi les témoins suivants, citons la femme de chambre, Marguerite Cottar qui raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir, il était brun et avait environ 18 à 19 ans
La femme de chambre Marguerite Cottar raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
La femme de chambre Marguerite Cottar raconte que, le troisième jour du séjour de: Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier, qui venait de sonner, et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans cette chambre un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans. Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.

Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.

Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédents.
Une autre femme de chambre, Alice Saundcrs, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.

Puis vient la déposition du masseur qui, venu comme d’habitude pour masser Wilde, trouva un jeune homme dans sa chambre.

Puis vient la déposition du masseur qui, venu comme d’habitude pour masser Wilde trouva un jeune homme dans sa chambre.
Puis vient la déposition du masseur qui, venu comme d'habitude pour masser Wilde trouva un jeune homme dans sa chambre.
Puis, vient la déposition du masseur qui, venu comme d'habitude pour masser Wilde, trouva un jeune homme dans sa chambre.
Puis vient la déposition du masseur, qui, appelé comme d'habitude pour masser Wilde, trouva un jeune homme dans sa chambre.

Un garçon du Savoy-Hotel déclare avoir servi des boissons et a souper dans l’appartement de Wilde qui avait chez lui un jeune homme.

Un garçon du Savoy-Hôtel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l’appartement de Wilde qui avait chez lui un jeune homme.
Un garçon du Savoy Hôtel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l'appartement de Wilde, qui avait chez lui un jeune homme.
Un garçon du Savoy-Hôtel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l'appartement de Wilde qui avait chez lui an jeune homme.
Un garçon de Savoy-Hotel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l'appartement de Wilde qui avait chez lui un jeune homme.

Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. Il regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procédé chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.

Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sMs qu’il respire. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. Il regarde fréquemment l’heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais, de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais, de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire:
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend, mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sel, qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simple-méat ennuyé de ce qu'il entend, mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon do sels qu'il respire.
Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la pauma se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant les interrogatoires accablants pour lui, Wilde regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.

On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker, et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.

On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit á Parker et dans laquelle on ne relevé rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.

Des inspecteurs de police racontent l’arrestation de Wilde.

Puis on procède à la lecture de la sténographie du procès du marquis de Queensbury.

Puis on procède à la lecture de la sténographie du procès du marquis de Queensberry.
Puis on procède à la lecture de la sténographie du procès du marquis de Queensberry.
Puis on procède à la lecture de la sténographie du marquis de Queensbury.

A mesure que le procès avance, Wilde semble devenir plus fatigué et ses regards du coté de l’horloge deviennent plus fréquents.

A mesure que le procès avance, Wilde semble devenir plus fatigué et ses regards du côté de l'horloge deviennent plus fréquents.

Lorsque la lecture du procès Queensbury est terminée, le ministère public annonce que la part de l’accusation est terminée.

Lorsque la lecture du procès Queensberry est terminée le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.
Lorsque la lecture du procès Queensberry est terminée le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.
Lorsque la lecture du procès Queonsberry est terminée, le ministère public annonce que là part de l'accusation est terminée.
Puis on procède à la lecture de la sténographie du procès du marquis de Queensberry, et le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.
Après quoi le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.

Sir Edvard Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d’indécence à l'hôtel Savoy parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.

Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au Jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation, n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke demande au juge da ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke demande au juge de ne pas poser au jury la question d’inconvenances coupables à l’hôtel Savoy parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.
On donne ensuite lecture du procès Quensbury, puis sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d’indécence à l’hôtel Savoy, parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.
On donne ensuite lecture du procès Queensbury, puis sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser eu jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée. Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée. Le ministère public s'y oppose et le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.

Le ministère public s’y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.

Le ministère public s’y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juga déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s’y oppose. La juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. La juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
La ministere public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant jury.

Le ministère public maintient que Shelley ne peut pas être considéré comme un complice ordinaire et que le chef d’accusation qui le concerne doit être soumis au jury.

Le ministère public maintient que Shelley ne peut pas être considéré comme un complice ordinaire et que le chef d'accusation qui le concerne doit être soumis au jury.
Le ministère public maintient que Shelley ne peut pas être considéré comme un complice ordinaire, et que le chef d'accusation qui le concerne doit être soumis au jury:
Le ministère public maintient que Shelley ne peut pas être considéré comme un complice ordinaire et que le chef d'accusation qui le concerne doit être soumis au jury.

Mais sir E. Clarke soutient que Shelley a été complice et le magistrat est de son avis, de telle sorte qu’il retire le chef d’accusation relatif à Shelley.

Mais sir E. Clarke soutient que Shelley a été complice et le magistrat est de son avis, de telle sorte qu'il retire le chef d'accusation relatif à Shelley.
Mais sir E. Clarke soutient que Shelley a été complice, et le magistrat est de son avis, de telle sorte qu'il retire le chef d'accusation relatif à Shelley.
Mais sir E. Clarke soutient que Shelley a été complice et le magistrat est de son avis, de telle sorte qu'il retire le chef d'accusation relatif à Shelley.

Sir E. Clarke demande qu’il en soit de même pour le chef d’accusation concernant Wood.

Sir E. Clarke demande qu’il en soit de même pour le chef d’accusation concernant Wood.
Sir E. Clarke demande qu'il en soit de même pour le chef d'accusation concernant Wood.
Sir E. Clarke demande qu'il en soit de même pour le chef d'accusation concernant Wood.
Sir E. Clarke demande qu'il en soit de même pour le chef d'accusation concernant Wood.
Sir E. Clarke demande qu'il en soit de même pour le chef d'accusation concernant Wood.
Sir E. Clarke demande qu'il en soit de même pour le chef d'accusation concernant Wood.

Une discussion s’élève entre le défenseur et le ministère public à ce sujet et le juge déclare que ce chef d’accusation doit rester soumis au jury bien que Wood soit un complice parce qu’il y a eu une confirmation suffisante à son témoignage.

Une discussion s'élève entre le défenseur et le ministère public à ce sujet et le juge déclare que ce chef d'accusation doit rester soumis au jury, bien que Wood soit un complice, parce qu'il y a eu une confirmation suffisante à son témoignage.
Une discussion s'élève entre le défenseur et le ministère public à ce sujet, et le juge déclare que ce chef d'accusation doit rester soumis au jury, bien que Wood soit un complice, parce qu'il y a eu une confirmation suffisante à son témoignage.
Une discussion s'élève entre le défenseur et le ministère public à ce sujet, et le juge déclare que ce chef d'accusation doit rester soumis au jury, bien que Wood soit un complice, parce qu'il y a eu une confirmation suffisante de son témoignage.
Une discussion s'élève entre le défenseur et le ministère public à ce sujet et le juge déclare que ce chef d'accusation doit rester soumis au jury, bien que Wood soit un complice, parce qu'il y eu une confirmation suffisante à son témoignage.

L’affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.

L’affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencers la défence de Wilde.
L'affaire a été renvoyée à aujourd'hui. Sir Edward Clarke commencera la défense d'Oscar Wilde.

THE LONDON SCANDALS
Continuation of the Oscar Wilde trial. — London Scandals
(by dispatch)

London, May 23. — The Oscar Wilde trial continued this morning before the Assize Court. The accused who is still free on bail arrived at the court very early.

The first witness heard is William Parker, who recounts the scene at the Saint-James restaurant and that of the dinner at Ketter's.

It was after dinner in the latter place that Wilde, putting his arm round Parker's brother's waist, exclaimed, "Here's a boy for me!" And he asked her to go with him to the Savoy-Hotel.

We then begin the questioning of witnesses concerning the facts that happened at the Savoy-Hotel.

For this part of the trial, we hear the testimony of bookkeepers of the hotel, which proves that Wilde and Lord Alfred Douglas lived in the hotel.

We then hear the maid, Marguerite Cottard. She relates that on the third day of Wilde's stay, she went up to him, who had just rung the bell, and asked him to light a fire in his room. She saw in Wilde's bed a young boy who seemed to be sleeping. He was dark-haired and about 18-19 years old.

Another maid, Alice Saunders, confirms the previous statement on several points.

Then comes the testimony of the masseur who, having come as usual to massage Wilde, found a young man in his room.

A waiter from the Savoy-Hotel declares having served drinks and supper in the apartment of Wilde, who had a young man in his home.

During these interrogations, Wilde listens with a kind of indifference. He frequently looks at the clock like a man simply bored with what he hears; but from time to time his hand goes to his face. In the palm is hidden a vial of salts that he breathes. Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, cross-examined the witnesses each time.

We then move on to Wilde's visit to Parker, and in which we find nothing new.

Police inspectors recount Wilde's arrest.

Then the stenography of the trial of the Marquess of Queensbury is read.

As the trial progresses, Wilde seems to become more tired and his glances at the clock become more frequent.

When the reading of the Queensbury trial is finished, the Crown announces that the prosecution's part is over.

Sir Edvard Clarke stands up and asks the judge not to ask the jury the question of indecency at the Savoy Hotel because the charge was not sufficiently substantiated.

The public prosecutor opposes it. The judge declares that this charge must remain before the jury.

The Crown maintains that Shelley cannot be considered an ordinary accomplice and that the charge against him must go to the jury.

But Sir E. Clarke maintains that Shelley was an accomplice and the magistrate agrees, so that he withdraws the charge relating to Shelley.

Sir E. Clarke asks that the same applies to the charge against Wood.

A discussion arose between the defendant and the Crown on this subject and the judge declared that this count must remain before the jury although Wood was an accomplice because there had been sufficient confirmation of his testimony.

The case is adjourned to tomorrow. Sir Edward Clarke will begin Wilde's defence.