LE PROCES OSCAR WILDE

Londres, 23 mai.

L'affaire est reprise et le témoin William Parker raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.

L’affaire est reprise et le témoin William Parker raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Ketter.
Le premier témoin interrogé est William Barker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du diner chez Kettner.
Le premier témoin interrogé est William Barker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin interrogé est William Barker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Cettner.

C'est après le dîner dans ce dernier endroit que Wilde passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s'écria: Voilà un Boy pour mol! Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy-HôteL

C’est après le diner, dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s’écria : « Voilà un boy pour moi ! » Et il lui demanda d’aller avec lui au Savoy-Hotel.
C'est après le dîner, dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s'écria: « Voilà un boy pour moi! » Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy-Hotel.
C'est après le dîner dans ce dernier en droit que Wilde passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s’écria : Voilà un Boy pour moi ! Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy-Hôtel.
C’est après le dîner dans ce dernier endroit que Wilde, passant son bras autour do la taille du frère de Parker, s écria : « Voilà un boy pour moi ! » Et il lui demanda d’aller avec lui au Savoy-Hotel.
C'est après le dîner dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Barker, s'écria: « Voilà « un boy » pour moi ! » et il lui demanda d'aller avec lui au Savoie-Hôtel.
C'est après le dîner, dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille de Parker, s'écria: « Voilà un « boy » pour moi! » Et il lui demanda d'aller avec lui au Savoy Hôtel.
C'est après le dîner dans ce dernier endroit, que Wilde, passant son bras autour de la taille du frère de Parker, s'écria:
- Voilà un boy pour moi !

L'avocat de Wilde demanda au témoin: Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hotel dans un but immoral?
-- Oui, répond le témoin.
D. Et vous n'êtes pas intervenu?
R. Non!
D. N'aviez-vous pas le désir do faire la même chose vous-même?
-- Oui, répond Parker à voix basse.

L'avocat de Wilde demanda au témoin: « Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hôtel dans un but immoral? »
- Oui, répond le témoin.
D. - Et vous n'êtes pas intervenu?
R. - Non !
D. - N'aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même?
- Oui, répond Parker à voix basse.
Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hotel dans un but immoral?
- Oui, répond le témoin.
D. - Et vous n'êtes pas intervenu?
R. - Non.
D. - N'aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même?
- Oui, répond Parker à voix basse.
-- Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hotel dans un but immoral?
-- Oui, répond le témoin.
D. Et vous n'êtes pas intervenu?
R. Non.
D. N'aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même?
-- Oui, répond Parker à voix basse.
« Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hôtel, dans un but immoral? »
-- Oui, répond le témoin
D. -- Et vous n'êtes pas intervenu?
R. -- Non!
D. -- N'aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même?
-- Oui, répond Parker à voix basse.
-- Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hotel dans un but immoral?
-- Oui, répond le témoin.
D. Et vous n'êtes pas intervenu?
R. Non.
D. N'aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même?
-- Oui, répond Parker à voix basse.
Avez-vous compris que voire frère allait au Savoy-Hotel dans un but immoral ?
— Oui, répond le témoin.
D. Et vous n'ètes pas intervenu?
R. Non !
D. N’aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-mème ?
— Oui, répond Parker à voix basse.
— Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hotel dans un but immoral ?
— Oui, répond le témoin.
D. Et vous n’ètes pas intervenu ?
H. Non !
D. N’aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même ?
— Ouï, répond Parker à voix basse.
-- Avez-vous compris que votre frère allait au Savoy-Hôtel dans un but immoral?
-- Oui.
-- Et vous n'êtes pas intervenu?
-- Non!
-- N'aviez-vous pas le désir de faire la même chose vous-même?
-- Oui, répond Parker à voix basse.

Parmi les témoins suivants, citons la femme de chambre, Marguerite Cottar qui raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir, il était brun et avait environ 18 à 19 ans

Parmi les témoins suivants, citons la femme de chambre, Marguerite Cottar qui raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottard. Elle raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ 18 à 19 ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier, qui venait de sonner, et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit, dans le lit de Wilde, un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottard. Elle raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
La femme de chambre Marguerite Cottar raconte que, le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
La femme de chambre Marguerite Cottar raconte que, le troisième jour du séjour de: Wilde, elle monta chez ce dernier qui venait de sonner et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans le lit de Wilde un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans.
On entend ensuite la femme de chambre, Marguerite Cottar. Elle raconte que le troisième jour du séjour de Wilde, elle monta chez ce dernier, qui venait de sonner, et lui demanda de faire du feu dans sa chambre. Elle vit dans cette chambre un jeune garçon qui paraissait dormir. Il était brun et avait environ dix-huit à dix-neuf ans. Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.

Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.

Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.
Une autre femme de chambre, Alice Saunders, confirme sur plusieurs points la déclaration précédents.
Une autre femme de chambre, Alice Saundcrs, confirme sur plusieurs points la déclaration précédente.

Puis vient la déposition du masseur qui, venu comme d'habitude pour masser Wilde trouva un jeune homme dans sa chambre.

Puis vient la déposition du masseur qui, venu comme d’habitude pour masser Wilde trouva un jeune homme dans sa chambre.
Puis vient la déposition du masseur qui, venu comme d’habitude pour masser Wilde, trouva un jeune homme dans sa chambre.
Puis, vient la déposition du masseur qui, venu comme d'habitude pour masser Wilde, trouva un jeune homme dans sa chambre.
Puis vient la déposition du masseur, qui, appelé comme d'habitude pour masser Wilde, trouva un jeune homme dans sa chambre.

Un garçon du Savoy-Hôtel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l'appartement de Wilde qui avait chez lui an jeune homme.

Un garçon du Savoy-Hôtel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l’appartement de Wilde qui avait chez lui un jeune homme.
Un garçon du Savoy-Hotel déclare avoir servi des boissons et a souper dans l’appartement de Wilde qui avait chez lui un jeune homme.
Un garçon du Savoy Hôtel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l'appartement de Wilde, qui avait chez lui un jeune homme.
Un garçon de Savoy-Hotel déclare avoir servi des boissons et à souper dans l'appartement de Wilde qui avait chez lui un jeune homme.

Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.

Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. Il regarde fréquemment l’heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais, de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais, de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire:
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend, mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sel, qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simple-méat ennuyé de ce qu'il entend, mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon do sels qu'il respire.
Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la pauma se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant les interrogatoires accablants pour lui, Wilde regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. 11 regarde fré quemment l’heure comme un homme sim plement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. Il regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procédé chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sMs qu’il respire. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.

On donne ensuite lecture du procès Queensbury, puis sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser eu jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.

On donne ensuite lecture du procès Quensbury, puis sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d’indécence à l’hôtel Savoy, parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au Jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation, n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edvard Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d’indécence à l'hôtel Savoy parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke demande au juge da ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke demande au juge de ne pas poser au jury la question d’inconvenances coupables à l’hôtel Savoy parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.

Le ministère public s'y oppose. La juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.

Le ministère public s’y oppose. La juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s’y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s’y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Le ministère public s'y oppose. Le juga déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
La ministere public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant jury.

Après une discussion sur la qualité des complices, de certains témoins, l'affaire est renvoyée à demain.

THE OSCAR WILDE TRIAL

London, May 23.

The case is taken up again and the witness William Parker recounts the scene at the Saint-James restaurant and that of the dinner at Kettner's.

It was after dinner in the latter place that Wilde, passing his arm round Parker's brother's waist, exclaimed: There's a Boy pour mol! And he asked her to go with him to the Savoy-HôteL

Wilde's lawyer asked the witness: Did you understand that your brother was going to the Savoy-Hotel for an immoral purpose?
-- Yes, answers the witness.
Q. And you didn't intervene?
A. No!
D. Didn't you want to do the same yourself?
-- Yes, Parker replies in a low voice.

Among the following witnesses, let us cite the maid, Marguerite Cottar, who relates that on the third day of Wilde's stay, she went up to the latter, who had just rung the bell and asked him to light a fire in his room. She saw in Wilde's bed a young boy who appeared to be sleeping, he was dark-haired and about 18 to 19 years old.

Another maid, Alice Saunders, confirms the previous statement on several points.

Then comes the testimony of the masseur who, having come as usual to massage Wilde, found a young man in his room.

A waiter from the Savoy-Hotel declares having served drinks and supper in the apartment of Wilde, who had a young man in his home.

During these interrogations, Wilde listens with a kind of indifference. He frequently checks the time like a man simply bored with what he hears; but from time to time his hand goes to his face. In the palm is hidden a vial of salts that he breathes.

The Queensbury trial is then read, then Sir Edward Clarke rises and asks the judge not to ask the jury the question of indecency at the Savoy Hotel, because the accusation was not sufficiently justified.

The public prosecutor opposes it. The judge declares that this charge must remain before the jury.

After a discussion on the quality of the accomplices, of certain witnesses, the affair is adjourned to tomorrow.