Journal des débats politiques et littéraires - Friday, May 24, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
NOUVELLES DE L'ETRANGER
ROYAUME-UNI
L'AFFAIRE OSCAR WILDE
Londres, le 23 mai.
L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la Cour d'assises.
L'accusé, qui est toujours en liberté sous caution, arrive à la Cour de très bonne heure. Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du diner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Kettner.
Le premier témoin entendu est William Parker, qui raconte de nouveau la scène du restaurant de Saint-James et celle du dîner chez Ketter.
On procède ensuite à l'interrogatoire des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence ensuite, les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après, les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hotel.
On commence, après, les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concernant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
On commence après les interrogatoires des témoins concmant les faits qui se sont passés au Savoy-Hôtel.
Pour cette partie du procès on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel, et les dépositions très circonstanciées des femmes de chambre et des garçons.
Pour cette partie du procès, on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
Pour cette partie du procès, on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
Pour cette partie du procès on entend le témoignage du teneur de livres de l'hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l'hôtel.
Pour cette partie du procès, on entend le témoignage de teneur de livres de l’hôtel, qui prouve que Wilde et lord Alfred Douglas ont habité l’hôtel.
Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la pauma se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. Il regarde fréquemment l’heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais, de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais, de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire:
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend, mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simple-méat ennuyé de ce qu'il entend, mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre, sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon do sels qu'il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure, comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sel, qu'il respire.
Pendant les interrogatoires accablants pour lui, Wilde regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu'il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. Il regarde fréquemment l’heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sels qu’il respire. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procédé chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d'indifférence. Il regarde fréquemment l'heure comme un homme simplement ennuyé de ce qu’il entend; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure. Dans la paume se trouve caché un flacon de sMs qu’il respire. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Pendant ces interrogatoires, Wilde écoute avec une sorte d’indifférence. 11 regarde fré quemment l’heure comme un homme sim plement ennuyé de ce qu’il entend ; mais de temps à autre sa main se porte à sa figure.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procède chaque fois à un contre-interrogatoire des témoins.
Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, procèds chaque fois à un contre-interrogatoire des té moins.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker, et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit á Parker et dans laquelle on ne relevé rien de nouveau.
On passe ensuite à la visite que Wilde fit à Parker et dans laquelle on ne relève rien de nouveau.
Puis on procède à la lecture de la sténographie du procès du marquis de Queensberry, et le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.
Puis on procède à la lecture de la sténographie du procès du marquis de Queensberry.
La question d'indécence à l'hôtel Savoy est abandonnée.
Lorsque la lecture du procès Queensbury est terminée, le ministère public annonce que la part de l’accusation est terminée.
Lorsque la lecture du procès Queensberry est terminée le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.
Lorsque la lecture du procès Queonsberry est terminée, le ministère public annonce que là part de l'accusation est terminée.
Lorsque la lecture du procès Queensberry est terminée le ministère public annonce que la part de l'accusation est terminée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée. Le ministère public s'y oppose et le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée. Le ministère public s'y oppose. Le juge déclare que cette accusation doit rester devant le jury.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au Jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation, n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edward Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d'indécence à l'hôtel Savoy, parce que l'accusation n'était pas suffisamment justifiée.
Sir Edvard Clarke se lève et demande au juge de ne pas poser au jury la question d’indécence à l'hôtel Savoy parce que l’accusation n’était pas suffisamment justifiée.
Sur la demande de sir Edward Clarke et malgré l'opposition du minîstère public, le juge retire le chef d'accusation relatif a Shelley. Sir E. Clarke demande qu'il en soit de même pour le chef d'accusation concernant Wood, mais le juge déclare que ce chef d'accusation doit rester soumis au jury, bien que Wood soit un complice, parce qu'il y a eu une connfirmation suffisante de son témoignage.
On sait, en effet, qu'il est de tradition dans les tribunaux criminels anglais de considérer comme insuffisante la preuve donnée par un complice, à moins'que cette preuve ne soit accompagnée d'une confirmation sérieuse. L'affaire est renvoyée à demain. Sir Edward Clarke commencera la défense de Wilde.
*
Sur la foi des premières dépêches reçues de Londres, nous avions commis une confusion entre les deux fils du marquis de Queensberry. Le Temps, qui était tombé dans la même erreur, a reçu de lord Alfred Douglas une lettre rectificative que nous nous faisons un devoir de mettre sous les yeux de nos lecteurs:
Sur la foi des premières dépêches reçues de Londres, on avait commis une confusion entre les deux fils du marquis de Queensberry. Le Temps a reçu à ce propos de lord Alfred Douglas la curieuse lettre suivante, datée de Rouen, hôtel de la Poste :
HOTEL DE LA POSTE
ROUEN
Le 22 mai
Monsieur,
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Çe n'est pas moi malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry c'est mon frère ainé lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais mème parlé avec lui. C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables.
Ce n’est pas moi malheureusement, écrit-il, qui s'est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a même jamais parlé avec lui
C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d une grossièreté incroyables.
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais même parlé avec lui.
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas mai malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais même parlé avec lui.
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l’affaire de mon frère. le marquis de Queensberry. Ce n’est pas moi malheureusement qui s’est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère ainé lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme uous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frire a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a jamais même parlé de lui.
Le 22 mai.
Monsieur,
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi, malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné, lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connait pas Taylor et n'a jamais même parlé de lui.
Le 22 mai.
Monsieur,
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi, malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné, lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connait pas Taylor et n'a jamais même parlé de lui.
Encore une erreur assez sérieuse qua vous avez faite, c'est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, monsieur, que c'est lui qui est le mari divorcé de cette dame, le mari divorcé à cause de sa cruaté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s'est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu'il est encore divorcé.
Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faite c'est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, monsieur, que c'est lui qui est le mari divorcé de cette dame, le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s'est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu'il est encore divorcé.
Encore une erreur assez sèrieuse que vous avez faite, c'est de parler de madame ma mère, la marquise de Oueensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, Monsieur, que c'est lui qui est le mari divorcé de cette dame, le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s'est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu'il est encore divorcé.
Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faites c’est de parier de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, monsieur, que c’est lui qui est le mari divorcé de cette dame le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qui est encore divorcé.
Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faites c'est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, monsieur, que c'est lui qui est le mari divorcé de cette dame le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s'est encore marié il y a quinze mois avec une fille de dix-sept ans, et qui est encore divorcé.
Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faites c'est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, monsieur, que c'est lui qui est le mari divorcé de cette dame le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s'est encore marié il y a quinze mois avec une fille de dix-sept ans, et qui est encore divorcé.
Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j'ai dû faire dans une langue que je suis très peu accoutumé a écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
Je vous prie, Monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j'ai dû faire dans une langue que je suis très peu accoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
Je vous prie, monsieur de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j'ai dû faire dans une langue que je suis très peu accoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j'ai dû faire dans une langue que je suis inaccoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j'ai dû faire dans une langue que je suis inaccoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pouq les fautes que j’ai dû faire dans une langue que je suis inaccoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
ALFRED DOUGLAS.
NEWS FROM ABROAD
UK
THE OSCAR WILDE AFFAIR
London, May 23.
The Oscar Wilde case is taken up again before the Assize Court.
The accused, who is still free on bail, arrives at court very early. The first witness heard is William Parker who recounts the scene at the Saint-James restaurant and that of the diner at Kettner's.
We then proceed to the interrogation of witnesses concerning the events that took place at the Savoy-Hotel.
For this part of the trial we hear the testimony of the bookkeeper of the hotel which proves that Wilde and Lord Alfred Douglas lived in the hotel, and the very detailed depositions of the maids and the waiters.
Wilde listens with a kind of indifference. He frequently checks the time like a man simply bored with what he hears; but from time to time his hand goes to his face. In the pauma is hidden a flask of salts which he breathes.
Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, cross-examines the witnesses each time.
We then move on to Wilde's visit to Parker, in which nothing new is noted.
Then the stenography of the trial of the Marquess of Queensberry is read out, and the Crown announces that the part of the prosecution is finished.
Sir Edward Clarke stands up and asks the judge not to ask the jury the question of indecency at the Savoy Hotel, because the charge was not sufficiently substantiated. The Crown objects and the judge declares that this charge must remain before the jury.
At the request of Sir Edward Clarke and despite the opposition of the Crown, the judge withdrew the charge relating to Shelley. Sir E. Clarke asks that the same be done for the count concerning Wood, but the judge declares that this count must remain before the jury, although Wood is an accomplice, because there is had sufficient confirmation of his testimony.
We know, in fact, that it is a tradition in English criminal courts to consider as insufficient the evidence given by an accomplice, unless this evidence is accompanied by serious confirmation. The case is adjourned to tomorrow. Sir Edward Clarke will begin Wilde's defence.
*
On the strength of the first dispatches received from London, we had confused the two sons of the Marquess of Queensberry. Le Temps, which had fallen into the same error, received from Lord Alfred Douglas a rectifying letter which we make a point of putting before the eyes of our readers:
HOTEL DE LA POSTE
ROUEN
May 22
Sir,
I have just read in your newspaper a completely inaccurate version of the case of my brother, the Marquess of Queensberry. It was not I, unfortunately, who fought with Lord Queensberry, it was my elder brother, Lord Douglas of Hawick. It's also not, as you say because of the verdict against Taylor that my brother did what he did, since he doesn't know Taylor and has never even spoken with him. It's because the marquis, for two months, hasn't stopped writing letters of incredible obscenity and rudeness to my brother's wife.
Another rather serious error you have made is to speak of my lady, the Marchioness of Queensberry, as my father's divorced wife. Let me acquaint you, sir, that he is the divorced husband of this lady, the divorced husband because of his cruelty and adultery for eight years. Let us add that the Marquis was again married fifteen months ago to a young girl of seventeen, and that he is still divorced.
Please, sir, please accept my apologies for the mistakes I had to make in a language that I am very unaccustomed to writing, and at the same time my very distinguished compliments.
ALFRED DOUGLAS.