A L’ETRANGER
LE SCANDALE DE LONDRES
Le procès Oscar Wilde. — La défense de l’accusé. — Curieuse définition de l’amour
(DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER)

Londres, 30 avril. — Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. L’audience d’aujourd’hui a été consacrée à la défense des accusés. Sir Edward Clarke, avocat d'Oscar Wilde, a, dans sa plaidoirie, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur son client. Puis il a interrogé Oscar Wilde et lui a fait prêter serment qu’il n’avait commis aucun acte indécent.

LONDRES —30 avril. — Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la Cour criminelle centrale. L’audience d’aujourd'hui a été consacrée à la défense des accusés. Sir Edward Clarke, avocat d’Oscar Wilde, a, dans sa plaidoirie, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur son client. Puis il a interrogé Oscar Wilde et lui a fait prêter serment qu'il n’avait commis aucun acte indécent.

L'organe du ministère public, M. Gill, est alors intervenu et a procédé à un contre-interrogatoire d’Oscar Wilde. Parmi les questions posées par M. Gill à l’accusé, il faut relever celle relative à un sonnet de lord Alfred Douglas, où il est question d’amour. M. Gill ayant demandé de quelle espèce d’amour il s’agissait dans cette pièce de vers, l’accusé a répondu en ces termes :

L'organe du ministère public, M. Gill, est alors intervenu et a procédé à un contre-interrogatoire d’Oscar Wilde. Parmi les questions posées par M. Gill à l'accusé, il faut relever celle relative à un sonnet de lord Alfred Douglas, où il est question d'amour. M. Gill ayant demandé de quelle espèce d'amour il s'agissait dans cette pièce de vers, l'accusé a répondu en ces termes :

C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
Un semblable amour cet bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées do tous et conduit ses adeptes au pilori.

C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune ; le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori !
C'est là une affection que votre siècle ne peut comprendre. C'est celle de David pour Jonathan. C'est celle que Platon décrit dans sa philosophie comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art! Un semblable sentiment est bien mal compris aujourd'hui! C'est un sentiment intellectuel entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est la une chose, je le répète, que votre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.

Oscar Wilde a ensuite continué à opposer de formelles dénégations aux dépositions des témoins produits contre lui.

Oscar Wilde a ensuite continué à opposer de formelles dénégations aux dépositions des témoins produits contre lui.
Oscar Wilde a opposé de formelles dénégations aux dépositions des témoins produits contre lui.
Oscar Wilde a opposé de formelles dénégations aux dépositions des témoins produits contre lui.

Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.

Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. II prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa un million cent mille francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.

Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec Mason. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient.

Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec Mason. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. il ignorait ce qu’ils étaient.
Il est faux, dit-il, qu'il ait célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux frères Parker par un monsieur dans Picadilly.
Il est faux, dit-il, qu’il célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Picadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent, comme ils l'ont dit.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célèbré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’idée de gagner de l’argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’idée de gagner de l’argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental, il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’Idée de gagner de l’argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Picadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui, ou il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental, il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Picadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas d femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’idée de gagner de l'argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gensr
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez, lui; il avait un costume oriental. Iï avait une perruque et des bas de femme. Il fut présanté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.

Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens. Il espérait que Wilde pouvait tire utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.

Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens. Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.

En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.

En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En resumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lut et contre Wilde également, dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde.

Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole on faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.

Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.
Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.
Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.
Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé tes applaudissements de l’assistance.

M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.

M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.
M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.
M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.
M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la defense de son client.

Le reste de l’audience a été consacré à la réplique du ministère publie.

Le reste de l’audience a été consacré à la réplique du ministère public.
Le reste de l’audience a été consacré a la réplique du ministère public.
Le reste de l’audience a été consacré à la réplique du ministère public.
Le reste de audience a été consacré à la réplique du ministère public.

On croit que le verdict sera prononcé demain.

ABROAD
THE LONDON SCANDAL
The Oscar Wilde trial. — Defense of the accused. — Curious definition of love
(FROM OUR PARTICULAR CORRESPONDENT)

London, April 30. — The proceedings in the Oscar Wilde and Taylor case were resumed this morning before the central criminal court. Today's hearing was devoted to the defense of the accused. Sir Edward Clarke, Oscar Wilde's lawyer, has, in his argument, rejected all the charges against his client. Then he questioned Oscar Wilde and made him take an oath that he had committed no indecent act.

The public prosecutor's office, Mr Gill, then intervened and cross-examined Oscar Wilde. Among the questions put by Mr. Gill to the accused, it is necessary to note that relating to a sonnet of Lord Alfred Douglas, where it is a question of love. Mr. Gill having asked what kind of love was involved in this piece of verse, the accused replied in these terms:

It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato in his philosophy describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.
A similar love so misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older having the experience of the world, the younger containing in him the joy, the hope, the charm of life . This is something, I repeat, that our time does not understand. She is the butt of the laughingstock of all and leads her followers to the pillory.

Oscar Wilde then continued to oppose formal denials to the depositions of the witnesses produced against him.

After Wilde, Taylor is called to testify as his co-accused had done. He takes an oath. We notice that he is nervous. Questioned by his own defender, he replies that he is thirty-five years old. His father died in 1874 and left him a fortune of 1,100,000 francs. He then lived in pleasures.

It is false, he says, that he had celebrated a marriage ceremony with Mason. He had no women's clothes at home; he had an oriental costume. He had on a woman's wig and stockings. He was introduced to the two Parker brothers by a gentleman in Piccadilly. He didn't know what they were.

He introduced the Parkers to Wilde without having discovered anything about these young people. He hoped that Wilde could be useful to Charles Parker who wanted to become an actor.

In summary, Taylor explains everything in the most natural way and rejects any accusation against him and against Wilde also in the questions put to him.

After these interrogations, Sir Edward Clarke spoke again in favor of Wilde. His eloquent argument drew applause from the audience.

Mr. Yrain, Taylor's lawyer, then presented his client's defence.

The rest of the hearing was devoted to the ministry's reply.

It is believed that the verdict will be delivered tomorrow.

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