Le Matin - Wednesday, May 1, 1895
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LE « DROIT A L'AMOUR »
Wilde, Taylor and C° -- Platon pris à témoin -- Rêve étoilé -- Un public sympathique.
LONDRES, 30 avril.--Par fil spécial.--
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle Centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la Cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris, ce matin, devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leur clients respectifs de nombreuses conversations.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux,
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l’audience, qu’il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l’audience, qu’il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare que, pour permettre aux accusés d’être entendus comme témoins, il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare que, pour permettre aux accusés d'être entendus comme témoins, il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, du ministère publie déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre public, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l'accusation d'avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d'avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétuation d'actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétuation d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation formulée contre les inculpés d'avoir agi de concert dans des entremises coupables.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l’avocat de Wilde, déclare alors que, s’il avait su que ce chef d’accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d’acquittement sur le chef d’accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l’avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d’accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés furent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d’accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare que, s'il avait su que ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d'accusation devait être retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins. Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
La défense.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier. Il se plaint amèrement de la presse dont les commentaires ont porté un grand préjudice à Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier. Il se plaint amèrement de la presse, dont les commentaires ont porté un grand préjudice à Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke, pour Oscar Wilde, repousse toutes les accusations qui pèsent sur son client, il se plaint amèrement de la presse dont les commentaires ont causé à ce dernier un préjudice considérable.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l’auteur de Dorian Grey; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l’abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey, mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Gre; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est auteur de Dorian Grey ; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Oscar Wilde est l'auteur de Dorian Grey : mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son Servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia Le prêtre et son servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia Le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lors que ce magazine publia le Prêtre et son Servant Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Le défenseur s'efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu'elles soient, n'ont rien à faire ici. Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry qui est divorcée d'avec son mari.
Le défenseur s’efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu’elles soient, n’ont rien à faire ici. Quant aux relations d’Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Qucensberry qui est divorcée d'avec son mari.
M. Gill s'oppose alors à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat. Sir Edward Clarke n'en poursuit pas moins sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
M. Gill s’oppose alors à toute attaque contre lord Qucensberry qui n’est pas représenté par un avocat. Sir Edward Clarke n'en poursuit pas moins sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation ?
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis â prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux Écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite su sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez
nié toutes les accusations formulées contre vous.
Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
—Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
Le défenseur reprend :
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez
commis des actes
d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défendeur reprend : — Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
—Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu'il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
Coup de théâtre.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il
est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans
cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède â un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour b’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère publie; procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public dans l’affaire Wilde, parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans equel est qu stion d'amour a demandé à l’accusé : « De quel espèce d'amour, s'agissait-il dans ceite pièce de vers ? »
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quelle espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
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Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
A cette question, Wilde reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
«C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est I'amour de David pour Jonathan. C'est I'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
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« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite.C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amomr que Platon dans, sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grand chefs-d’œuvre de l’art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan, C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grande chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qu n'est pas compris dans ce sècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa pbilosopuie, décrit comme le commencement de la sag sse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l’art.
« Oui, dans cette pièce de vers, il s'agit d'amour; mais c'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance au plus grands chefs-d'oeuvre de l'art. »
« C'est, dit-il, l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'oeuvre de l'art. »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui !C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune; le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
«Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!»
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
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A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
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Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
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M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
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M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Le magistrat menace de faire évacuer la salle. M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses. Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui était allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atteins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli. Mavor--Jenny pour les hommes était un jeune homme amusant et agréable. Il l'a invité à l'hôtel Albermale, mais dans le sens ordinaire du mot. Taylor avait des rentes qui lui assuraient une vie indépendante.
Wilde rencontra Alphonse Tonway à Worthing.
D.-- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
--Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
-- Non, certes, répond Wilde.
D.- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection aue vous avez décrit?
- Non certes, répond Wilde.
D. — Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d’affection que vous avez décrit ?
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
D.—Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. II déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème.
Le monde où l'on s'amuse.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. II prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa un million cent mille francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est absolument fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Steet était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
M. Gill (ministère public) interroge a son tour Taylor.
Celui-ci répond qu'avant 1892 il n'avait pas d'occupation. Il recevait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent. Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais il ne leur suggéra de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens. Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens. Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur. En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
Après l'interrogatoire.
Cet interrogatoire termine le procès proprement dit. Sir Edward Clarke prend de nouveau la parole, et, s'adressant au jury, présente la défense de Wilde, reprenant chacun des points de ce procès, et les expliquant avec force en faveur de son client. La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé; le juge ne cherche pas à les réprimer. M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l'acquittement en déclarant que l'accusation n'a pas pu porter la conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénéficier de ce doute.
M. Gill (ministère public) réplique sur les deux affaires.
Il explique combien il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans les chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres contiguës.
Il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher contiguës.
Il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher continguës.
M. Gill réplique sur les deux affaires. Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres contiguës.
L'affaire est renvoyée à demain.
THE “RIGHT TO LOVE”
Wilde, Taylor and C° -- Plato taken as witness -- Starry dream -- A sympathetic public.
LONDON, April 30.--By special wire.--
The proceedings in the Oscar Wilde and Taylor case were resumed this morning before the Central Criminal Court. The defendants' lawyers had many conversations with each other and with their respective clients.
Mr. Gill, one of the members of the Crown, declared at the beginning of the hearing that he withdrew the charge of having acted in concert to procure persons for the commission of immoral acts,
Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, then said that if he had known that this charge would be withdrawn, he would have requested that the defendants be tried separately. He seeks a verdict of acquittal on the withdrawn count.
Mr. Gill replies that he withdrew this count to give the defendants complete freedom to be heard as witnesses. The judge accepts this withdrawal of the charge, but rejects the request of Oscar Wilde's lawyer.
Defense.
Sir Edward Clarke begins his client's defense. He has, from the start, rejected all the accusations against him. He complains bitterly of the press whose comments have brought great harm to Oscar Wilde.
This one is the author of Dorian Gray but this book does not mention any character having committed the abominable crime reproached to its author.
Wilde wrote in the Chameleon, and when that magazine published The Priest and His Servant, Wilde wrote to the publisher to decline further collaboration on his part.
The defender strives to show that literary controversies, of whatever nature, have no place here. As for Oscar Wilde's relationship with the Queensberry family, he explains that Wilde is still friends with Lady Queensberry who is divorced from her husband.
Mr. Gill then opposed any attack on Lord Queensberry, who was not represented by a lawyer. Sir Edward Clarke nevertheless continued his defence. If Oscar Wilde had been guilty, would he have sued Lord Queensberry for libel?
Oscar Wilde is then called as a witness and admitted to take the oath.
The accused answers the questions put to him in a very low tone of voice.
It is first about his time at the schools of Dublin and Oxford, and then about his career as a playwright that Wilde is questioned by his defender; then we come to the questions relating to the present case.
-- In your case against Lord Queensberry, asks Sir Edward Clarke, you denied all
the charges brought against you. Was your testimony
absolutely consistent with the truth?
"Absolutely in accordance with the truth," replies Wilde.
The defender resumes:
-- Is there any truth to the allegations that you committed acts of indecency?
The accused responds that there is absolutely no truth to any of these allegations.
Spectacular turn of events.
Mr. Gill, Crown, cross-examines Wilde.
Speaking of a sonnet by Lord Alfred Douglas, in which love is spoken of, Mr. Gill
asks:
"What kind of love was that piece of verse all about?" »
Wilde, to this question, regains his composure and replies warmly:
-- It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato in his philosophy describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.
“Such a love is very much misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older possessing experience of the world, the younger containing within himself joy, hope, the charm of life. This is something, I repeat, that our time does not understand. She is the laughingstock of all and leads her followers to the pillory! »
No sooner had Wilde finished this long response than applause broke out in the gallery where the audience was.
The magistrate declares that he will have the room evacuated at the first manifestation of the public.
Mr. Gill continues his questioning. He urges the accused, who has become a witness, to ask questions relating to the depositions of the people who spoke of the Savoy hotel.
Wilde denies everything. He also denies the statements of Charles Parker and those of Shelley. He used to write her letters with religious tendencies. Atkins, the one who went with him to Paris, misrepresented the circumstances under which they met. It is true that he went to Paris with Atkins and Schwabe; but Atkins' account of this trip is false, grotesque, and monstrous.
Wilde was going to Taylor's flat in Westminster. It was to smoke, chat and pass the time. Actors came often. Taylor was an accomplished pianist. Mavor--Jenny for men was a fun and pleasant young man. He invited him to the Hotel Albermale, but in the ordinary sense of the word. Taylor had annuities that ensured him an independent life.
Wilde met Alphonse Tonway at Worthing.
Q.-- Did you feel for these young people the kind of affection you have described?
"Certainly not," replies Wilde.
The latter is questioned again by his defender. He repeats his previous denials and renews his explanations. He had no suspicion when he went to meetings at Taylor's. He considered this apartment as a bohemian corner. He declares that he had nothing in common with the publications made by Lord Alfred Douglas in the Chameleon.
The world where we have fun.
After Wilde, Taylor is called to testify as his co-accused had done. He takes an oath. We notice that he is nervous. Questioned by his own defender, he replies that he is thirty-five years old. His father died in 1874 and left him a fortune of 1,100,000 francs. He then lived in pleasures.
According to Taylor, Parker's account of what was happening in Chapelle Street was absolutely false. Nothing bad happened between them. Parker's brother's testimony is also false.
Mr. Gill (Court Prosecution Service) questions Taylor in turn.
He replies that before 1892 he had no occupation. He sometimes received young people at his home. Mason used to come there often. It is false, he says, that he had celebrated a marriage ceremony with him. He had no women's clothes at home, he had an oriental costume. He had on a woman's wig and stockings. He was introduced to the two Parker brothers by a gentleman in Piccadilly. He didn't know what they were. He never suggested that they make money as they said. He gave them his address, inviting them to come to his house where he received many young people. He introduced the Parkers to Wilde without having discovered anything about these young people. He hoped that Wilde could be useful to Charles Parker who wanted to become an actor. In summary, Taylor explains everything in the most natural way and rejects any accusation against him and against Wilde also in the questions put to him.
After the interrogation.
This interrogation concludes the trial proper. Sir Edward Clarke speaks again, and, addressing the jury, presents Wilde's defence, taking up each of the points of this trial, and explaining them forcefully in favor of his client. The word of the Wilde defender is warm and convinced. His speech is a magnificent piece of eloquence. Applause erupts when he's finished; the judge does not seek to repress them. Mr. Yrain, Taylor's lawyer, presents the latter's defence, asking for his acquittal, declaring that the prosecution could not bring the conviction to the mind of the jury and that the defendants must benefit from this doubt.
Mr. Gill (Crown) responds to both cases.
He explains how surprised he is to see that, whenever introductions were made between these people, they always went to sleep in adjoining bedrooms.
The case is adjourned to tomorrow.
- Le Radical - Thursday, May 2, 1895 - 96.6%
Compare - Journal des débats politiques et littéraires - Wednesday, May 1, 1895 - 88.7%
Compare - L'Echo de Paris - Thursday, May 2, 1895 - 73.6%
Compare - Le Jour - Wednesday, May 1, 1895 - 73.5%
Compare - Le Quotidien illustré - Thursday, May 2, 1895 - 72.2%
Compare - La Petite République - Thursday, May 2, 1895 - 71.9%
Compare - Le Journal - Wednesday, May 1, 1895 - 62.2%
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