LES TRIBUNAUX
ÉTRANGER
Oscar Wilde

La cour criminelle centrale de Londres a entendu hier sir Edward Clarke, le défenseur d’Oscar Wilde.

Le célèbre avocat a, paraît-il, fort malmené la presse anglaise, qu’il accuse d’avoir grossi le scandale a plaisir et d’avoir porté un grand préjudice à Oscar Wilde par ses insinuations et ses commentaires.

Puis sir Edward Clarke examine les œuvres de son client et cherche à réfuter les accusations qui ont été formulées contre elles.

Oscar Wilde est l'auteur de Dorian Grey : mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.

Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l’auteur de Dorian Grey; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l’abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey, mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Gre; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est auteur de Dorian Grey ; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.

Wilde a écrit dans le Caméléon, et lors que ce magazine publia le Prêtre et son Servant Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.

Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia Le prêtre et son servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son Servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia Le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.

Le défenseur s’efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu’elles soient, n’ont rien à faire ici. Quant aux relations d’Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Qucensberry qui est divorcée d'avec son mari.

Le défenseur s'efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu'elles soient, n'ont rien à faire ici. Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry qui est divorcée d'avec son mari.

M. Gill s’oppose alors à toute attaque contre lord Qucensberry qui n’est pas représenté par un avocat. Sir Edward Clarke n'en poursuit pas moins sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation ?

M. Gill s'oppose alors à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat. Sir Edward Clarke n'en poursuit pas moins sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?

Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.

Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis â prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.

Son défenseur lui pose certaines questions sur sa carrière d’auteur dramatique, puis il arrive aux faits qui ont motivé le procès actuel.

— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?

—Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.

— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.

Le défenseur reprend :

— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?

— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
—Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défendeur reprend : — Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?

L’accusé proteste avec la plus grande énergie de son innocence. Il est interrogé alors par 1e ministère public, représenté par M. Gill.

Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande de quelle espèce d’amour il s’agit.

Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quelle espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande:
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande:
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas, dans lequel il est question d'amour, s'agissait-il dans cette pièce de vers?»

Wilde, sans se déconcerter, nous en donne en ces termes une curieuse définition :

C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amomr que Platon dans, sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grand chefs-d’œuvre de l’art.

« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
«C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite.C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan, C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grande chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement ae la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est I'amour de David pour Jonathan. C'est I'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qu n'est pas compris dans ce sècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa pbilosopuie, décrit comme le commencement de la sag sse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l’art.
« Oui, dans cette pièce de vers, il s'agit d'amour; mais c'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance au plus grands chefs-d'oeuvre de l'art. »
« C'est, dit-il, l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'oeuvre de l'art. »

Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, lespérance, le charme de la vie. C’est lâ une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.

Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune; le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
«Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!»
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui !C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que Notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori. »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là, une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
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« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal com pris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est d'une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus àgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jaune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est la une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en Iui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus agé l’autre plus jeune, le plus agé possédant l’expérience du monde, le plus jeune possédant un lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que no're époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes an pilori ! »

Taylor est ensuite interrogé. Il déclare qu’il est âgé de trente-cinq ans et que son père est mort on 1874, en lui laissant onze cent mille francs de fortune. Il nie égale ment les faits qui lui sont reprochés.

En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lut et contre Wilde également, dans les questions qui lui sont posées.

En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En resumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde.

Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé tes applaudissements de l’assistance.

Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.
Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.
Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole en faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.
Après ces interrogatoires, sir Edward Clarke a repris la parole on faveur de Wilde. Sa plaidoirie éloquente a soulevé les applaudissements de l’assistance.

M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la defense de son client.

M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.
M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.
M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.
M. Yrain, avocat de Taylor, a ensuite présenté la défense de son client.

Le reste de l’audience a été consacré à la réplique du ministère public.

Le reste de l’audience a été consacré à la réplique du ministère public.
Le reste de l’audience a été consacré a la réplique du ministère public.
Le reste de audience a été consacré à la réplique du ministère public.
Le reste de l’audience a été consacré à la réplique du ministère publie.

On croit que le verdict pourra être rendu aujourd’hui.

M. C.

COURTS
FOREIGN
Oscar Wilde

London Central Criminal Court heard evidence from Sir Edward Clarke, Oscar Wilde's defender, yesterday.

The famous lawyer has, it seems, greatly abused the English press, which he accuses of having magnified the scandal at pleasure and of having done great harm to Oscar Wilde by his insinuations and his comments.

Then Sir Edward Clarke examines his client's works and seeks to refute the accusations that have been made against them.

Oscar Wilde is the author of Dorian Grey: but this book does not mention any character having committed the abominable crime reproached to its author.

Wilde wrote in the Chameleon, and when that magazine published The Priest and His Servant Wilde wrote to the publisher to decline further collaboration on his part.

The defender strives to show that literary controversies, of whatever nature, have no place here. As for Oscar Wilde's relationship with the Queensberry family, he explains that Wilde is still friends with Lady Qucensberry who is divorced from her husband.

Mr. Gill then opposed any attack on Lord Qucensberry who was not represented by a lawyer. Sir Edward Clarke nevertheless continued his defence. If Oscar Wilde had been guilty, would he have sued Lord Queensberry for libel?

Oscar Wilde is then called as a witness and admitted to take the oath.

His defender asks him some questions about his career as a playwright, then he gets to the facts that prompted the current trial.

'In your case against Lord Queensberry,' asks Sir Edward Clarke, 'you denied all the charges against you. Was your testimony absolutely consistent with the truth?

"Absolutely in accordance with the truth," replies Wilde.

The defender continues:

"Is there any truth to the allegations that you committed acts of indecency?"

The accused protests with the greatest energy of his innocence. He was then questioned by the public prosecutor, represented by Mr. Gill.

Speaking of a sonnet of Lord Alfred Douglas in which love is spoken of, Mr. Gill asks what kind of love it is.

Wilde, without being disconcerted, gives us a curious definition of it in these terms:

It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato in his philosophy describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.

Such a love is very misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older possessing the experience of the world, the younger containing in him the joy, the hope, the charm of life. This is something, I repeat, that our era does not understand. She is the laughing stock of all and leads her followers to the pillory.

Taylor is then interrogated. He declares that he is thirty-five years old and that his father died in 1874, leaving him a fortune of eleven hundred thousand francs. He also denies the charges against him.

In summary, Taylor explains everything in the most natural way and rejects any accusation against lut and against Wilde as well, in the questions put to him.

After these interrogations, Sir Edward Clarke spoke again in favor of Wilde. His eloquent argument raised your applause from the audience.

Mr. Yrain, Taylor's lawyer, then presented his client's defence.

The remainder of the hearing was devoted to the Crown's reply.

It is believed that the verdict can be rendered today.

CM

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