Le Journal - Wednesday, May 1, 1895
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Chronique des Tribunaux
L'affaire Oscar Wilde
(PAR DÉPÊCHE)
Londres, 30 avril.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris, ce matin, devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle Centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la Cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leur clients respectifs de nombreuses conversations.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l’audience, qu’il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux,
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l’audience, qu’il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare que, pour permettre aux accusés d’être entendus comme témoins, il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare que, pour permettre aux accusés d'être entendus comme témoins, il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, du ministère publie déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre public, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l'accusation d'avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d'avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétuation d'actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétuation d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation formulée contre les inculpés d'avoir agi de concert dans des entremises coupables.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare que, s'il avait su que ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l’avocat de Wilde, déclare alors que, s’il avait su que ce chef d’accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d’acquittement sur le chef d’accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l’avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d’accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés furent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d’accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d'accusation devait être retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu’il a retiré ce chef d’accusation pour donner aux accusés toute liberté d’être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu’il a retiré ce chef d’accusation pour donner aux accusés toute liberté d’être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d’accusation, mais repousse la demande de l’avocat d’Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d’accusation, mais repousse la demande de l’avocat d’Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis â prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
Le défenseur demande:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
—Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défendeur reprend : — Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu'il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interragatoire de Wilde.
M. Gill, représentant le ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quelle espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande de quelle espèce d’amour il s’agit.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas, dans lequel il est question d'amour, s'agissait-il dans cette pièce de vers?»
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède â un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère publie; procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour b’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public dans l’affaire Wilde, parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans equel est qu stion d'amour a demandé à l’accusé : « De quel espèce d'amour, s'agissait-il dans ceite pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet où il est question d'amour, l'organe du ministère public demande à Wilde de quelle espèce d'amour il s'agissait dans cette pièce de vers.
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
A cette question, Wilde reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
«C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est I'amour de David pour Jonathan. C'est I'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement ae la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite.C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amomr que Platon dans, sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grand chefs-d’œuvre de l’art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan, C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grande chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qu n'est pas compris dans ce sècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa pbilosopuie, décrit comme le commencement de la sag sse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l’art.
« Oui, dans cette pièce de vers, il s'agit d'amour; mais c'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance au plus grands chefs-d'oeuvre de l'art. »
« C'est, dit-il, l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'oeuvre de l'art. »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori. »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune; le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
«Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!»
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui !C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que Notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là, une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, lespérance, le charme de la vie. C’est lâ une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal com pris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est d'une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus àgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jaune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est la une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en Iui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus agé l’autre plus jeune, le plus agé possédant l’expérience du monde, le plus jeune possédant un lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que no're époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes an pilori ! »
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse, que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
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Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
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Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle à la première manifestation du public.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Le magistrat menace de faire évacuer la salle. M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley.
Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
--Non certes, répond Wilde.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D.-- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
-- Non, certes, répond Wilde.
D.- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection aue vous avez décrit?
- Non certes, répond Wilde.
D. — Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d’affection que vous avez décrit ?
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
D.—Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. II déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. II prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa un million cent mille francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est absolument fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Steet était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
M. Gill (ministère public) interroge à son tour Taylor.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mavor y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892 il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892 il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des des jeunes gens.
M. Gill (ministère public) interroge Taylor. Celui-ci répond qu’avant 1892 il n’avait pas d’occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Picadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui, ou il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental, il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Picadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’idée de gagner de l’argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’idée de gagner de l’argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental, il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’Idée de gagner de l’argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas d femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l’idée de gagner de l'argent comme ils l’ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gensr
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez, lui; il avait un costume oriental. Iï avait une perruque et des bas de femme. Il fut présanté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent comme ils l'ont dit. Il leur donna son adresse, les invitant à venir le voir chez lui où il recevait beaucoup de jeunes gens.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Picadilly. Il ignorait ce qu'ils étaient. Jamais, il ne leur suggéra l'idée de gagner de l'argent, comme ils l'ont dit.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec Mason. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec Mason. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. il ignorait ce qu’ils étaient.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeunes gens.
Il présenta les Parker à Wilde sans avoir rien découvert sur ces jeuues gens.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker, qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Il espérait que Wilde pouvait être utile à Charles Parker qui voulait se faire acteur.
Cet interrogatoire termine le procès proprement dit. Sir Edward Clarke prend de nouveau la parole.
M. Gill (ministère public) réplique sur les deux affaires.
Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans les chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres contiguës.
Il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher contiguës.
Il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher continguës.
M. Gill réplique sur les deux affaires. Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres contiguës.
L'affaire Oscar Wilde est renvoyée à demain.
W.
Chronicle of the Courts
The Oscar Wilde Affair
(BY DISPATCH)
London, April 30.
The proceedings in the Oscar Wilde and Taylor case were resumed this morning before the central criminal court. The defendants' lawyers had many conversations with each other and with their respective clients.
Mr. Gill, one of the members of the Crown, declares, at the beginning of the hearing, that he withdraws the accusation of having acted in concert with a view to procuring persons for the commission of immoral acts.
Sir Edward Clarke, Wilde's solicitor, states that had he known that this charge would be dropped, he would have requested that the accused be tried separately. He seeks a verdict of acquittal on the withdrawn count.
Mr. Gill replies that he withdrew this count to give the defendants complete freedom to be heard as witnesses.
The judge accepts this withdrawal of the charge, but rejects the request of Oscar Wilde's lawyer.
Sir Edward Clarke begins his client's defense. He has, from the start, rejected all the accusations against him.
Oscar Wilde is then called as a witness and admitted to take the oath.
The accused answers the questions put to him, in a very low tone of voice.
The defender asks:
-- Is there any truth to the allegations that you committed acts of indecency?
The accused responds that there is absolutely no truth to any of these allegations.
Mr. Gill, Crown, cross-examines Wilde.
Speaking of a sonnet by Lord Alfred Douglas, in which love is spoken of, Mr. Gill asks: "What kind of love was that piece of verse all about?" »
Wilde, to this question, regains his composure and replies warmly:
“It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato in his philosophy describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.
“Such a love is very misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older possessing experience of the world, the younger containing within him joy, hope, the charm of life. . This is something, I repeat, that our age does not understand. She is the butt of everyone's laughing stock and leads her followers to the pillory. »
No sooner had Wilde finished this long response than applause broke out in the gallery where the audience was.
The magistrate declares that he will have the room evacuated by all strangers, at the first manifestation of the public.
Mr. Gill continues his questioning. He urges the accused, who has become a witness, to ask questions relating to the depositions of the people who spoke of the Savoy hotel.
Wilde denies everything. He also denies the statements of Charles Parker and those of Shelley.
He used to write her letters with religious tendencies.
D. -- Did you feel for these young people the kind of affection you have described?
"Certainly not," replies Wilde.
The latter is questioned again by his defender. He repeats his previous denials and renews his explanations. He had no suspicion when he went to meetings at Taylor's. He considered this apartment as a bohemian corner. He declares that he had nothing in common with the publications made by Lord Alfred Douglas in the Chameleon.
After Wilde, Taylor is called to testify, as his co-accused had done. He takes an oath. We notice that he is nervous. Questioned by his own defender, he replies that he is thirty-five years old. His father died in 1874 and left him 1,100,000 fr. of Fortune. He then lived in pleasures.
According to Taylor, Parker's account of what happened at Chapel Street was absolutely false. Nothing bad happened between them. Parker's brother's testimony is absolutely false.
Mr. Gill (Crown) in turn questions Taylor.
This one answers that before 1892, he had no occupation. He sometimes had young people in his house. Mavor used to come there often.
It is false, he says, that he had celebrated a marriage ceremony with him. He had no women's clothes at home; he had an oriental costume. He had on a woman's wig and stockings. He was introduced to the two Parker brothers by a gentleman in Picadilly. He didn't know what they were. He never suggested to them the idea of making money as they said. He gave them his address, inviting them to come and see him at his home, where he received many young people.
He introduced the Parkers to Wilde without having discovered anything about these young people.
He hoped that Wilde could be useful to Charles Parker who wanted to become an actor.
This interrogation concludes the trial proper. Sir Edward Clarke speaks again.
Mr. Gill (Crown) responds to both cases.
He explains how surprised he is to see that whenever introductions were made between these people, they always went to sleep in the adjoining bedrooms.
The Oscar Wilde case is adjourned until tomorrow.
W.