Chronique des Tribunaux
Le procès Oscar Wilde
(De notre correspondant particulier)

Londres, lundi soir.


L'arrivée d'Oscar Wilde, à l'audience de lundi matin, a donné à tous les assistants une surprise qui s'est répercutée dans Londres, après l'audience à mesure que paraissaient les éditions des journaux du soir. Le calme et la gaieté de l'accusé, cette attitude toute nouvelle, ont surpris l'opinion. On s'est demandé qiuel argument nouveau ou quelle révélation capitale se trouvait depuis samedi aux mains de la défense.

L'arrivée d'Oscar Wilde, à l'audience de lundi matin, a donné à tous les assistants une surprise qui s'est répercutée dans Londres, après l'audience, à mesure que paraissaient les éditions des journaux du soir. Le calme et la gaieté de l'accusé, cette attitude toute nouvelle, ont surpris l'opinion. On s'est demandé quel argument nouveau ou quelle révélation capitale se trouvait depuis samedi aux mains de Ia défense.

La vérité c'est que lundi matin les conseils d'Oscar Wilde se sont réunis chez sir Edward Clarke et ont décidé qu'une démarche serait faite auprès de Wilde pour l'amener à une désunvolture plus énergique. C'est à suite de cette détermination que Wilde s'est secoué. Il a souri, salué d'anciens amis perdus dans la foule, dessiné, fait sa correspondance, échangé des bribes de conversation avec ses avocats et avec son solicitor, M. Humphrey.

La vérité, c'est que lundi matin les conseils d'Oscar Wilde se sont réunis chez sir Edward Clarke et ont décidé qu'une démarche serait faite auprès de Wilde pour l'amener à une désinvolture plus énergique. C'est à la suite de cette détermination que Wilde s'est secoué. Il a souri, salué d'anciens amis perdus dans la foule, dessiné, fait sa correspondance, échange des bribes de conversation avec ses avocats et avec son solicitor, M. Humphrey.

Pourtant l'audience lui aura été rude. Le latin, qui brave l'honnêteté dans ses mots, ne la brave pas assez dans son esprit pour qu'aucun journal tente jamais de reproduire les témoignanges apportés par le masseur et la femme de chambre du Savoy-Hôtel.

Pourtant l'audience lui aura été rude. Le latin, qui brave l'honnêteté dans ses mots, ne la brave pas assez dans son esprlt pour qu'aucun journal tente jamais de reproduire les témoignages apportés par le masseur et la femme de chambre du Savoy-Hotel.

Le réquisitoire de M. C.-F. Gill, venant immédiatement après, a achevé la mauvaise impression.

Le réquisitoire de M. C.F. Gill, venant immédiatement après, à achevé la mauvaise impression.

Audience de mardi
Londres, 30 avril.

C'est le représentant du ministère public, M. Gill, qui prend la parole, et il déclare tout d'abord qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert pour la perpétration d'actes immoraux.

C'est le représentant du ministère public, M. Gill, qui prend la parole, et il déclare tout d'abord qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert pour la perpétration d'actes immoraux.

Dès lors, la loi anglaise transforme chacun des accusés en témoin vis-à-vis de son co-accusé, mais le juge s'opposant à un nouvel interrogatoire d'Oscar Wilde, l'avocat de celui-ci entame son plaidoyer.

Dès lors, la Ioi anglaise transforme chacun des accusés en témoin vis-à-vis de son co-accusé, mais le juge s'opposant à un nouvel interrogatoire d'Oscar Wilde, l'avocat de celui-ci entame son plaidoyer.

Il se plaint amèrement des journaux dont les articles ont porté, dit-il, un grand préjudice à son client, et il s'efforce de démontrer que dans les oeuvres de Wilde rien ne donne à penser qu'il a eu des penchants du vice contre nature. Il était et il est l'ami de lady Queensberry qui est divorcée de son mari.

Il se plaint amèrement des journaux dont les articles ont porté, dit-il, un grand préjudice à son client, et il s'efforce de démontrer que dans les œuvres de Wilde rien de donné à penser qu'il a eu des penchants du vice contre nature. Il était et il est l'ami de lady Queensberry qui est divorcée de son mari.

M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.

M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry, qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s’oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n’est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry, qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.

Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?

Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation ?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa defense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-on intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?

Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.

Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis â prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.

L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.

L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.

C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.

C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux Écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite su sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.

-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.

-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
—Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
Le défenseur reprend :
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?

Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?

Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défendeur reprend : — Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
—Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?

L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.

L’accusé répond qu'il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.

M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.

M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interragatoire de Wilde.
M. Gill, représentant le ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.

Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »

Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quelle espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande de quelle espèce d’amour il s’agit.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas, dans lequel il est question d'amour, s'agissait-il dans cette pièce de vers?»
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède â un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère publie; procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour b’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public dans l’affaire Wilde, parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans equel est qu stion d'amour a demandé à l’accusé : « De quel espèce d'amour, s'agissait-il dans ceite pièce de vers ? »

Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:

Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
A cette question, Wilde reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:

C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.

C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
«C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement ae la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan, C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grande chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite.C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est I'amour de David pour Jonathan. C'est I'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amomr que Platon dans, sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grand chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qu n'est pas compris dans ce sècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa pbilosopuie, décrit comme le commencement de la sag sse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l’art.
« Oui, dans cette pièce de vers, il s'agit d'amour; mais c'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance au plus grands chefs-d'oeuvre de l'art. »
« C'est, dit-il, l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'oeuvre de l'art. »

Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!

Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune; le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
«Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!»
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui !C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que Notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori. »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là, une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, lespérance, le charme de la vie. C’est lâ une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal com pris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est d'une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus àgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jaune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est la une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en Iui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus agé l’autre plus jeune, le plus agé possédant l’expérience du monde, le plus jeune possédant un lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que no're époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes an pilori ! »

A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.

A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse, que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse, que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
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A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve îe public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette Iongue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde avait il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatèrent dans la galerie où se trouvait le public.

Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle.

M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.

M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Le magistrat menace de faire évacuer la salle. M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.

Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.

Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. II nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie egalement les déclarations de Charles Parker et celles de Shelly. Ce dernier avait l’habitude de lui écrire dès lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelly. Ce dernier avait l’habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.

Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.

Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui était allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atteins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses. Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.

Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.

Wide allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l’appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C’était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l’appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C’était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.

Mavor était un jeune homme amusant et agréable. Il l'a invité à l'hôtel Albermale, mais dans le sens ordinaire du mot. Taylor avait des rentes qui lui assuraient une vie indépendante. Wilde rencontra Alphonse Tonway à Worthing.

Mavor était un jeune homme amusant et agréable. Il l'a invité à l'hôtel Albemarle, mais dans le sens ordinaire du mot. Taylor avait des rentes qui lui assuraient une vie indépendante. Wilde rencontra Alphonse Tonway à Worthing.

D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.

D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D.-- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
--Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
-- Non, certes, répond Wilde.
D.- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection aue vous avez décrit?
- Non certes, répond Wilde.
D. — Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d’affection que vous avez décrit ?
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
D.—Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?

Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.

Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. Il déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème. II déclare n'avoir rien eu de commun avec les publications faites par lord Alfred Douglas dans le Caméléon.
Ce dernier est interrogé de nouveau par son défenseur. Il répète ses démentis précédents et renouvelle ses explications. Il n'avait aucun soupçon quand il se rendait aux réunions chez Taylor. Il considérait cet appartement comme un coin de bohème.

Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.

Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. II prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa un million cent mille francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.

Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.

Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est absolument fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Steet était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.

M. Gill interroge à son tour Taylor.

Celui-ci répond qu'avant 1892 il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.

Celui-ci répond qu'avant 1892 il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mavor y venait souvent.
Celui-ci répond qu'avant 1892, il n'avait pas d'occupation. Il avait quelquefois chez lui des des jeunes gens.
M. Gill (ministère public) interroge Taylor. Celui-ci répond qu’avant 1892 il n’avait pas d’occupation. Il avait quelquefois chez lui des jeunes gens. Mason y venait souvent.

Il est faux, dit-il, qu'il eût célèbré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme.

Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme.
Il est faux, dit-il, qu'il ait célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux frères Parker par un monsieur dans Picadilly.
Il est faux, dit-il, qu’il célébré une cérémonie de mariage avec lui. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly.
Il est faux, dit-il, qu’il eût célébré une cérémonie de mariage avec Mason. Il n’avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. Il ignorait ce qu’ils étaient.
Il est faux, dit-il, qu'il eût célébré une cérémonie de mariage avec Mason. Il n'avait pas de vêtements de femme chez lui ; il avait un costume oriental. Il avait une perruque et des bas de femme. Il fut présenté aux deux frères Parker par un monsieur dans Piccadilly. il ignorait ce qu’ils étaient.

En resumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.

En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde également dans les questions qui lui sont posées.
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En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lut et contre Wilde également, dans les questions qui lui sont posées.
En résumé, Taylor explique tout de la façon la plus naturelle et repousse toute accusation contre lui et contre Wilde.

Cet interrogatoire termine le procès proprement dit.

Sir Edward Clarke prend de nouveau la parole et, s'adressant au jury, présente la défense de Wilde.

Sir Edward Clarke prend de nouveau Ia parole et, s'adressant au jury, présente la défense de Wilde.

La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé; le juge ne cherche pas à les réprimer.

La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé ; le juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d’éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé ; le juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé ; le juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé; le juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé; le juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d’éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé ; le juge ne cherche pas A les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé; ïe juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d'éloquence. Les applaudissements merits éclatent quand il a terminé; le juge ne cherche pas à les réprimer.
Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde. Sa parole est chaude et convaincue. Son discours est un magnifique morceau d’éloquence. Les applaudissements éclatent quand il a terminé ; le juge ne cherche pas à les réprimer.
La parole du défenseur de Wilde est chaude et convaincue. Les applaudissements éclatent quand il a terminé; le juge ne cherche pas à les réprimer.

M. Yrain plaide pour Taylor. Il demande son acquittement en déclarant que l'accusation n'a pu porter la conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénéficier de ce doute.

M. Yrain plaide pour Taylor. Il demande son acquittement en déclarant que l'accusation n'a pu porter Ia conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénéficier de ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l'acquittement, en déclarant que l'accusation n'a pas pu porter la conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénéficier de ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l'acquittement en déclarant que l'accusation n'a pas dû porter la conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénéficier de ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l'acquittement en déclarant que l'accusation n'a pas dû porter la conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénéficier de ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l’acquittement en déclarant que l’accusation n’a pas pu porter la conviction dans l’esprit du jury et que les accusés doivent bénéfire de ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l’acquittement en déclarant que l’accusation n’a pas pu porter la conviction dans l’esprit du jury et que les accusés doivent bènéfide ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l’acquittement en déclarant que l’accusation n’a pas pu porter la conviction dans l’esprit du jury et que les accusés doivent bénéfide ce doute.
M. Vrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l'acquittement en déclarant que l'accusation n'a pas pu porter la conviction dans l'esprit du jury et que les accusés doivent bénèfide ce doute.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier dont il demande l’acquittement en déclarant que l’accusation n’a pas pu porter la conviction dans l’esprit de jury et que les accusés doivent bénéfide ce doute.

M. Gill (ministère public) réplique sur les deux affaires.

Il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher continguës.

Il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que, chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans les chambres à coucher contiguës.
Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres contiguës.
M. Gill réplique sur les deux affaires. Il explique combien il est étonné de voir que chaque fois que des présentations étaient faites entre ces gens-là, ces derniers allaient toujours dormir dans des chambres contiguës.

L'affaire est renvoyés à demain.

Chronicle of the Courts
The Oscar Wilde Trial
(From our private correspondent)

London, Monday evening.


The arrival of Oscar Wilde at the hearing on Monday morning gave everyone present a surprise which reverberated in London after the hearing as the editions of the evening papers appeared. The calm and cheerfulness of the accused, this completely new attitude, surprised public opinion. We wondered what new argument or what capital revelation had been in the hands of the defense since Saturday.

The truth is that on Monday morning Oscar Wilde's councils met at Sir Edward Clarke's house and decided that an approach would be made to Wilde to bring him to a more energetic casualness. It was from this determination that Wilde shook himself. He smiled, greeted old friends lost in the crowd, drew, did his correspondence, exchanged scraps of conversation with his lawyers and with his solicitor, Mr. Humphrey.

However, the audience will have been tough on him. The Latin, which defies honesty in its words, does not defy it enough in its spirit for any newspaper to ever attempt to reproduce the testimonies brought by the masseur and the chambermaid of the Savoy-Hotel.

The indictment of MC-F. Gill, coming immediately after, completed the bad impression.

Tuesday hearing
London, April 30.

It is the representative of the prosecution, Mr. Gill, who takes the floor, and he first declares that he withdraws the accusation of having acted in concert for the commission of immoral acts.

From then on, the English law transforms each of the defendants into a witness vis-à-vis his co-defendant, but the judge opposing a new interrogation of Oscar Wilde, the latter's lawyer begins his plea.

He complains bitterly of the newspapers whose articles have, he says, brought great harm to his client, and he strives to demonstrate that in the works of Wilde nothing suggests that he had inclinations to vice. against nature. He was and is the friend of Lady Queensberry who is divorced from her husband.

Mr. Gill opposes any attack on Lord Queensberry who is not represented by counsel.

Sir Edward Clarke continues his defence. If Oscar Wilde had been guilty, would he have sued Lord Queensberry for libel?

Oscar Wilde is then called as a witness and admitted to take the oath.

The accused answers the questions put to him in a very low tone of voice.

It is first, on his passage to the schools of Dublin and Oxford, and then on his career as a playwright, that Wilde is questioned by his defender; then we come to the questions relating to the present case.

-- In your case against Lord Queensberry, asks Sir Edward Clarke, you denied all the charges brought against you. Was your testimony absolutely consistent with the truth?
"Absolutely in accordance with the truth," replies Wilde.

The defender resumes:
-- Is there any truth to the allegations that you committed acts of indecency?

The accused responds that there is absolutely no truth to any of these allegations.

Mr. Gill, Crown, cross-examines Wilde.

Speaking of a sonnet of Lord Alfred Donglas in which love is spoken of, Mr. Gill asks: "What kind of love was this piece of verse all about?" »

Wilde, to this question, regains his composure and replies warmly:

It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato in his philosophy describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.

Such a love is very misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older possessing experience of the world, the younger containing within him joy, hope, the charm of life. . This is something, I repeat, that our time does not understand. She is the laughingstock of all and leads her followers to the pillory!

No sooner had Wilde finished this long response than applause broke out in the gallery where the audience was.

The magistrate declares that he will have the room evacuated.

Mr. Gill continues his questioning. He urges the accused, who has become a witness, to ask questions relating to the depositions of the people who spoke of the Savoy hotel.

Wilde denies everything. He also denies the statements of Charles Parker and those of Shelley. He used to write her letters with religious tendencies.

Atkins, the one who went with him to Paris, misrepresented the circumstances under which they met. It is true that he went to Paris with Atkins and Schwabe; but Atkins' account of this trip is false, grotesque, and monstrous.

Wilde was going to Taylor's flat in the Westminster area. It was to smoke, chat and pass the time. Actors came often. Taylor was an accomplished pianist.

Mavor was a fun and pleasant young man. He invited him to the Hotel Albermale, but in the ordinary sense of the word. Taylor had annuities that ensured him an independent life. Wilde met Alphonse Tonway at Worthing.

D. -- Did you feel for these young people the kind of affection you have described?
"No, of course not," replies Wilde.

The latter is questioned again by his defender. He repeats his previous denials and renews his explanations. He had no suspicion when he went to meetings at Taylor's. He considered this apartment as a bohemian corner. he declares that he had nothing in common with the publications made by Lord Alfred Douglas in the Chameleon.

After Wilde, Taylor is called to testify as his co-accused had done. He takes an oath. We notice that he is nervous. Questioned by his defender, he replies that he is thirty-five years old. His father died in 1874 and left him 1,100,000 fr. of Fortune. He then lived in pleasures.

According to Taylor, Parker's account of what was happening at Chapel Street was absolutely false. Nothing bad happened between them. Parker's brother's testimony is also false.

Mr. Gill in turn questions Taylor.

He replies that before 1892 he had no occupation. He sometimes had young people in his house. Mason used to come there often.

It is false, he says, that he celebrated a marriage ceremony with him. He had no women's clothes at home; he had an oriental costume. He had on a woman's wig and stockings.

In summary, Taylor explains everything in the most natural way and rejects any accusation against him and against Wilde also in the questions put to him.

This interrogation concludes the trial proper.

Sir Edward Clarke speaks again and, addressing the jury, presents Wilde's defence.

The word of the Wilde defender is warm and convinced. His speech is a magnificent piece of eloquence. Applause erupts when he's finished; the judge does not seek to repress them.

Mr. Yrain pleads for Taylor. He asks for his acquittal by stating that the prosecution could not bear the conviction in the minds of the jury and that the defendants must benefit from this doubt.

Mr. Gill (Crown) responds to both cases.

He is surprised to see that whenever introductions were made between these people, they always went to sleep in adjoining bedrooms.

The case is adjourned to tomorrow.