Le XIXe Siècle - Thursday, May 2, 1895
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L'AFFARE OSCAR WILDE
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris hier matin devant la cour criminelle centrale de Londres.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris hier matin devant la cour criminelle centrale de Londres.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale.
Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale.
Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris hier devant la cour criminelle centrale.
Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris devant la cour criminelle centrale.
Londres.-- Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale.
Londres, 30 avril. -- Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale.
L’affaire Wilde a été reprise hier, devant la Cour criminelle centrale de Londres.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde ont continué hier devant la Cour d'assises de Londres.
Sir Edward Clarke commence la défense de Wilde.
Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quant aux relations d’Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l’ami de lady Queensberry, qui est divorcée d’avec son mari.
Quant aux relations d’Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l’ami de lady Queensberry, qui est divorcée d’avec son mari.
Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quand aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quand aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari. Du reste, si Wilde avait été coupable, aurait-on intenté un procès en diffamation?
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry, qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s’oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n’est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry, qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation ?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa defense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-on intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis â prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux Écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite su sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez
nié toutes les accusations formulées contre vous.
Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
Le défenseur reprend :
-- Y
a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis
des actes d'indécence?
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu'il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interragatoire de Wilde.
M. Gill, représentant le ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas, dans lequel il est question d'amour, s'agissait-il dans cette pièce de vers?»
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande:
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande:
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quelle espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande de quelle espèce d’amour il s’agit.
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
A cette question, Wilde reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
«C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement ae la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan, C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grande chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite.C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est I'amour de David pour Jonathan. C'est I'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amomr que Platon dans, sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grand chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qu n'est pas compris dans ce sècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa pbilosopuie, décrit comme le commencement de la sag sse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l’art.
« Oui, dans cette pièce de vers, il s'agit d'amour; mais c'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance au plus grands chefs-d'oeuvre de l'art. »
« C'est, dit-il, l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'oeuvre de l'art. »
«Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!»
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune; le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui !C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que Notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori. »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là, une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, lespérance, le charme de la vie. C’est lâ une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal com pris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est d'une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus àgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jaune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est la une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en Iui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus agé l’autre plus jeune, le plus agé possédant l’expérience du monde, le plus jeune possédant un lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que no're époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes an pilori ! »
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
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Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
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M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
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M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
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M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Le magistrat menace de faire évacuer la salle. M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. II nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie egalement les déclarations de Charles Parker et celles de Shelly. Ce dernier avait l’habitude de lui écrire dès lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelly. Ce dernier avait l’habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui était allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atteins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses. Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l’appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C’était pour fumer, causer et passer le temps.
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Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.
Wide allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.
Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.
Mavor était un jeune homme amusant et agréable.
Il l'a invité à l'hôtel Albermale, mais dans le sens ordinaire du mot.
Il l'a invité à l'hôtel Albermale, mais dans le sens ordinaire du mot.
Il l'a invité à l'hôtel Albermale, mais dans le sens ordinaire du mot.
Il l'a invité à l'hôtel Albermale, mais dans le sens ordinaire du mot.
Taylor avait des rentes qui lui assuraient une vie indépendante.
Wilde rencontra Alphonse Tonway à Worthing.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
D. — Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d’affection que vous avez décrit ?
D.—Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D.-- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
--Non certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. -- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit?
-- Non, certes, répond Wilde.
D. Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection que vous avez décrit ?
-- Non, certes, répond Wilde.
D.- Eprouviez-vous pour ces jeunes gens le genre d'affection aue vous avez décrit?
- Non certes, répond Wilde.
-- Non, certes, répond Wilde.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner, comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. II prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son coaccusé. Il prête serment. On remarque qu’il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu’il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Il prête serment. On remarque qu'il est nerveux. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa un million cent mille francs de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Après Wilde, Taylor est appelé à témoigner comme l'avait fait son co-accusé. Interrogé par son propre défenseur, il répond qu'il est âgé de trente-cinq ans. Son père mourut en 1874 et lui laissa 1,100,000 fr. de fortune. Il vécut alors dans les plaisirs.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Steet était absolument faux. Sir Edward Clarke présente la défense de Wilde.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à la Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est absolument fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle-Street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
Suivant Taylor, le récit de Parker sur ce qui se passait à Chapelle street était absolument faux. Rien de mal ne s'est passé entre eux. La déposition du frère de Parker est également fausse.
M. Yrain, avocat de Taylor, présente la défense de ce dernier.
M. Gill (ministère public) réplique sur les deux affaires. Il parlait encore à six heures du soir.
M. Gill (ministère public) réplique sur les deux affaires. Il parlait encore à six heures du soir.
THE OSCAR WILDE AFFAIR
The proceedings in the Oscar Wilde and Taylor case were resumed yesterday morning before the central criminal court in London.
Sir Edward Clarke begins Wilde's defence.
As for Oscar Wilde's relationship with the Queensberry family, he explains that Wilde is still friends with Lady Queensberry, who is divorced from her husband.
Mr. Gill opposes any attack on Lord Queensberry who is not represented by counsel.
Sir Edward Clarke continues his defence. If Oscar Wilde had been guilty, would he have sued Lord Queensberry for libel?
Oscar Wilde is then called as a witness and admitted to take the oath.
The accused answers the questions put to him in a very low tone of voice.
It is first, on his passage to the schools of Dublin and Oxford, and then on his career as a playwright, that Wilde is questioned by his defender; then we come to the questions relating to the present case.
-- In your case against Lord Queensberry, asks Sir Edward Clarke, you denied all
the charges brought against you. Was your testimony
absolutely consistent with the truth?
"Absolutely in accordance with the truth," replies Wilde.
The defender continues:
-- Is there any
truth to the allegations that you committed acts of indecency?
The accused responds that there is absolutely no truth to any of these allegations.
Mr. Gill, Crown, cross-examines Wilde.
Speaking of a sonnet of Lord Alfred Donglas, in which it is a question of love, was it in this piece of verse?
Wilde, to this question, regains his composure and replies warmly:
“It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato in his philosophy describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.
“Such a love is very misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older possessing experience of the world, the younger containing within him joy, hope, the charm of life. . This is something, I repeat, that our time does not understand. She is the laughingstock of all and leads her followers to the pillory!
No sooner had Wilde finished this long response than applause broke out in the gallery where the audience was.
The magistrate declares that he will have the room evacuated by all strangers, at the first manifestation of the public.
Mr. Gill urges the accused, who has become a witness, to ask questions relating to the depositions of the persons who have spoken of the Savoy hotel.
Wilde denies everything. He also denies the statements of Charles Parker and those of Shelley. He used to write her letters with religious tendencies.
Atkins, the one who went with him to Paris, misrepresented the circumstances under which they met. It is true that he went to Paris with Atkins and Schwabe; but Atkins' account of this trip is false, grotesque, and monstrous.
Wilde was going to Taylor's flat in the Westminster area. It was to smoke, chat and pass the time.
Actors came often. Taylor was an accomplished pianist.
Mavor was a fun and pleasant young man.
He invited him to the Hotel Albermale, but in the ordinary sense of the word.
Taylor had annuities that ensured him an independent life.
Wilde met Alphonse Tonway at Worthing.
Q. Did you feel for these young people the kind of affection you have described?
"No, of course not," replies Wilde.
After Wilde, Taylor is called to testify as his co-accused had done. He takes an oath. We notice that he is nervous. Questioned by his defender, he replies that he is thirty-five years old. His father died in 1874 and left him 1,100,000 fr. of Fortune. He then lived in pleasures.
According to Taylor, Parker's account of what happened at Chapel Street was absolutely false. Sir Edward Clarke presents Wilde's defence.
Mr. Yrain, Taylor's lawyer, presents the defense of the latter.
Mr. Gill (Crown) responds to both cases. He was still talking at six o'clock in the evening.