Chronique des Tribunaux
OSCAR WILDE

On nous télégraphie de Londres que le procès Oscar Wilde a commencé hier devant la cour d'assises.

On nous télégraphie de Londres que le procès Oscar Wilde a commencé hier devant la cour d'assises.
Ou ne s'occupe maintenant, à Londres, que du procès scandaleux dont les débats ont commencé hier devant la cour d’assises.

Une foule énorme de gentlemen et de ladies assiégeait les portes du tribunal, avide d'entendre conter les scènes de lubricité répugnante attribuées à Oscar Wilde et à son co-accusé Taylor.

Une foule énorme de gentlemen et de ladies assiégeait les portes du tribunal, avide d'étendre conter les scènes de lubricité répugnante attribuées à Oscar Wilde et à son co-accusé Taylor.

Il faut croire que la loi anglaise ne connaît pas le huis clos, car si jamais une cause l'exigea, c'est assurément celle-ci. En revanche, elle admet les cartes de faceur: il en avait été fait une judicieuse distribution à un grand nombre de privilégiés.

Il faut croire que la loi anglaise ne connaît pas le huis clos, car si jamais une cause l'exigea, c'est assurément celle-ci. En revanche, elle admet les cartes de faveur: il en avait été fait une judicieuse distribution à un grand nombre de privilégiés.

M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.

M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l’office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l’office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l’office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de Ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l’office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office de ministère public.
M. Horace Avery et M. Gill remplissent l’office de ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office du ministère public.
M. Horace Avory et M. Gill remplissent l'office du ministère public.
M. Honoré Avory et M. Gill remplissent l'office du ministère public.

Wilde est défendu par sir Edward Clarke et deux autres avocats.

Taylor a deux défenseurs.

Oscar Wilde parait plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.

Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l’avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l’avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que la dernière fois que nous l’avons vu à Bow street, Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow street, il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l’avons vu à Bow Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vut Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-street. 11 norte les cheveux plus courts.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux courts.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux ras coupés.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l’avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts. Il écoute la lecture de l’acte d’accusation, mais paraît d’abord assez indifférent.
Oscar Wilde paraît plus amaigri encore que la dernière fois que nous l'avons vu à Bow-Street. Il porte les cheveux plus courts. Il écoute la lecture de l'acte d'accusation mais paraît d'abord assez indifférent.

Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.

Il écoute la lecture de l'acte d’accusation, mais parait d’abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l’acte d’accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l’acte d’accusation, mais paraît d’abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais parait d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l’acte d'accusation, mais parait d’abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d’accusation, mais paraît d’abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais paraît d’abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte d'accusasation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il écoute la lecture de l'acte de l'accusation, mais paraît d'abord assez indifférent.
Il porte les cheveux plus courts. Il écoula la lecture de l'acte d'accusation mais parait d'abord assez indifférent.

Sir Edward Clarke soulève, au début, quelques points de droit.

Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.

Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l’on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l’on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l’on connaît déjà.
Ensuite, M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilda et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que Ton connaît déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. II entre dans les détails que l'on connait déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les déliés que l’on connaît déjà.
M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Ensuite M. Gill, ministère public, commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connaît déjà.
Sir Edward Clarke soulève au début quelques points de droit. Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l'on connait déjà.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l’on connaît déjà. Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans des détails que l'on connaît déjà. Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Ensuite M. Gill commence à développer les accusations qui pèsent sur Oscar Wilde et sur Taylor. Il entre dans les détails que l’on connaît déjà. Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation sont au nombre de vingt-cinq.

Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de vingt-cinq.

Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation sont au nombre de vingt-cinq.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de vingt-cinq.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de vingt-cinq.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de vingt-cinq.
Lea faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de vingt-cinq.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l'accusation sont au nombre de 25.
Les faits criminels sur lesquels se base l’accusation font au nombre de 25.
Les deux accusés ont chacun deux avocats. Les faits sur lesquels est basée l'accusation sont au nombre de vingt-cinq.

A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.

A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu ; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu ; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu ; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde parait de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde parait de plus en plus abattu : il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde parait de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu ; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde parait de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu ; Il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa figure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde parait de plus en plus abattu; il cache sa flgure dans ses mains.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde parait de plus en plus abattu ; il cache sa figure dans ses mains. Taylor semble beaucoup moins ému.
A mesure que M. Gill parle, Oscar Wilde paraît de plus en plus abattu; il cache sa flgure dans ses mains. Taylor semble beaucoup moins ému.

Taylor semble beaucoup moins ému.

On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà, mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auquels Wilde se livrait.

On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà : mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l’ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l’ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l’ordre du juge et sur la demandé du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler a Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l’ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais sur l’ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vu défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vu défiler à Bow Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l’ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vu défiler à Bow street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l’ordre du juge et sur la demande du ministère public, us entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà: sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins qui ont déjà défilé à Bow Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà, mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous lés détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
Taylor semble beaucoup moins ému. On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins qui ont déjà défilé à Bow Street. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du Ministère public, ils entrent dans tous lés détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
Taylor semble beaucoup moins ému. On appelle les témoins que nous avons déjà vus défiler à Bow-Street. Ils racontent de nouveau les tristes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
On appelle les témoins. Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que nous avons entendues plusieurs fois déjà ; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.
Ils racontent de nouveau les répugnantes histoires que l'on connaît déjà ; mais, sur l'ordre du juge et sur la demande du ministère public, ils entrent dans tous les détails des faits sadiques auxquels Wilde se livrait.

Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.

Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10.000 fr. à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10.000 fr. à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. a un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui, Parker, avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui, Parker, avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui, Parker, avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui Parker avait commis dès actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui, Parker, avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel, lui Parker, avait commis dès actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 francs à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. à un personnage avec lequel elle lui Parker avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. à un personnage avec lequel elle lui Parker avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 A 10,000 fr. à un personnage avec lequel elle lui Parker avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu’il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. A1a un personnage avec lequel elle lui Parker avait commis des actes d’indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, assure qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10.000 francs à un personnage avec lequel lui Parker avait commis des actes d'indécence.
Le témoin Parker, dans un long interrogatoire, avoue qu'il a reçu 750 francs de deux individus qui ont extorqué de 8 à 10,000 fr. à un personnel avec lequel elle lui Parker avait commis des actes d’indécence.

Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance, mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.

Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance. Mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n’en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance, mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu ils ne méritent aucune confiance; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu’ils ne méritent aucun confiance; mais les faits n’en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confience; mais les faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance; mais Iss faits n'en restent pas moins accablants pour les accusés.
Les avocats des accuses cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à ruonfrer qu’ils ne méritent aucune con fiance; mais les faits n’en restent pas moins accablants pour les accusés.
Dans le procès Oscar Wilde, les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance, mais les faits ne restent pas moins accablants pour les accusés. L'affaire a été ajournée à demain. Serv. spécial.
Les avocats des accusés cherchent à faire tomber les témoins dans des contradictions et à montrer qu'ils ne méritent aucune confiance.

L'affaire est ajournée à aujourd'hui.

EDGARD TROIMAUX.

Chronicle of the Courts
OSCAR WILDE

We are telegraphed from London that the Oscar Wilde trial began yesterday before the Assize Court.

A huge crowd of gentlemen and ladies besieged the courthouse doors, eager to hear of the scenes of filthy lewdness attributed to Oscar Wilde and his co-defendant Taylor.

It must be believed that English law does not know the camera, because if ever a cause required it, it is certainly this one. On the other hand, it admits facer cards: they had been judiciously distributed to a large number of privileged people.

Mr. Horace Avory and Mr. Gill perform the office of public prosecutor.

Wilde is defended by Sir Edward Clarke and two other lawyers.

Taylor has two defenders.

Oscar Wilde looks even thinner than the last time we saw him in Bow Street. He wears shorter hair.

He listens to the reading of the indictment, but at first seems quite indifferent.

Sir Edward Clarke raises a few points of law at the outset.

Then Mr. Gill begins to develop the charges against Oscar Wilde and Taylor. He goes into the details that we already know.

The criminal acts on which the accusation is based are twenty-five in number.

As Mr. Gill speaks, Oscar Wilde seems more and more dejected; he hides his face in his hands.

Taylor seems much less moved.

We call the witnesses whom we have already seen parading in Bow Street. They tell again the repugnant stories that we have heard many times before, but, on the order of the judge and at the request of the public prosecutor, they go into all the details of the sadistic facts in which Wilde indulged.

The witness Parker, in a long interrogation, admits that he received 750 francs from two individuals who extorted from 8 to 10,000 fr. to a character with whom Parker had committed acts of indecency.

The defendants' lawyers seek to make the witnesses fall into contradictions and to show that they do not deserve any trust, but the facts remain nonetheless overwhelming for the defendants.

The matter is adjourned to today.

EDGARD TROIMAUX.