Chronique des Tribunaux Oscar Wilde

L'affaire Oscar Wilde a été reprise ce matin, devant la cour d'assises; le public qui se presse aux portes de la salle est moins nombreux.

L’affaire Oscar Wilde a été reprise, ce matin, devant la cour d’assises ; le public qui se presse aux portes de la salle est moins nombreux.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise, ce matin, devant la cour d'assises; le public qui se presse aux portes de la salle est moins nombreux.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peut moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier.
L’affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L’affaire Oscar Wilde et T ylov est reprise ce matin devant la cour d’assises. Le public est un peu moins nombreux qu’hier.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor a été reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public était un peu moins nombreux qu'hier.

Le témoin Alfred Wood a été interrogé par M. Edward Clarke, défenseur d'Oscar Wilde.

Le témoin Alfred Wood a été interrogé par M. Edward Clarke, défenseur d'Oscar Wilde.
Le témoin Alfred Wood a été interrogé par M. Edward Clarke, défenseur d'Oscar Wilde.

Ce ce Wood qui a vendu à Wild, pour la somme d'une trentaine de livres,les lettres qu'il avait écrites à lord Douglas.

C’est ce Wood qui a vendu à Wild, pour la somme d’une trentaine de livres, les lettres qu'il avait écrites à lord Douglas.
C'est ce Wood qui a vendu à Wild, pour la somme d'une trentaine de livres, les lettres qu'il avait écrites à lord Douglas.

Comment wood était-il entré en relations avec Wilde? Par l'intermédiare d'un gentleman, répond-il, dont il ne peut dire le nom. Personne ne le presse d'ailleurs de le faire. Il semble qu'on ne tienne pas à creuser l'affaire.

Comment Wood était-il entré en relations avec Wilde ? Par l’intermédiaire d’un gentleman, répond-il, dont il ne peut dire le nom. Personne ne le presse d’ailleurs de le faire. Il semble qu’on ne tienne pas à creuser l’affaire.
Comment Wood était-il entré en relations avec Wilde? Par l'intermédiaire d'un gentleman, répond-il, dont il ne peut dire le nom. Personne ne le presse d'ailleurs de le faire. Il semble qu'on ne tienne pas à creuser l'affaire.

De même, le témoin Atkins fut présenté à Taylor par un monsieur qu'il refuse de designer autrement. Ni les avocats ni le président n'insistent pour lui arracher son secret. Tous craignent, sans doute des révélations qui pourraient être gênantes.

De même, le témoin Atkins fut présenté à Taylor par un monsieur qu'il refuse de désigner autrement. Ni les avocats ni le président n'insistent pour lui arracher son secret. Tous craignent, sans doute des révélations qui pourraient être gênantes.
De même, le témoin Atkins fut présenté a Taylor par u i monsieur qu’il refuse de désigner autrement. Ni les avocats ni le président n’insistent pour lui arracher son secret. Tous craignent, sans doute des révélations qui pourraient être gênantes.

Taylor, à son tour, présenta Atkins à Wilde, et le commencement de leur liaison fut célébré par un dîner fin au café de Florence.

Taylor, à son tour, présenta Atkins à Wilde, et le commencement de leur liaison fut célébré par un dîner fin au café de Florence.
Taylor, à son tour, présenta Atkins à Wilde, et le commencement de leur liaison fut célébré par un dîner fin au café de Florence.

Lorsque Wilde revint à Paris, Atkins l'a accompagna, mais l'esthète était jaloux; à tel point qu'il défendit à Atkins d'aller au Moulin-Rouge.

Lorsque Wilde revint à Paris, Atkins l’accompagna mais l’esthète était jaloux ; à tel point qu’il défendit à Atkins d’aller au Moulin-Rouge.
Lorsque Wilde revint à Paris, Atkins l'accompagna mais l'esthète était jaloux; a tel point qu'il défendit à Atkins d'aller au Moulin-Rouge.

Atkins s'empressa de désobéir et s'attira une verte semonce.

Oscar Wilde ayant eu connaissance de son escapade le réprimanda: « Ces femmes vous perdront, lui dit-il; ne les fréquentez pas ».

Oscar Wilde ayant eu connaissance de son escapade le réprimanda : « Ces femmes vous perdront, lui dit-il ; ne les fréquentez pas ».
Oscar Wilde ayant eu connaissance de son escapade le réprimanda: « Ces femmes vous perdront, lui dit-il; ne les fréquentez pas ».

Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».

Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait. Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny. »
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
Atkins se rappelle avoir connu Maver, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor «Jenny».
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'odieuse société que fréquentait Oscar Wilde. On appelait Mavor «Jenny».

-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- Non.

-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier?» demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- « Non », répond Atkins.
D. « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. « Non ».
- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
- « Non », répond Atkins.
D. - « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. - « Non ».
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham ?
R. Non.
- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
- « Non », répond Atkins.
D. - « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. - « Non ».
-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- « Non » répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- « Non. »
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
-- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Non.
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit, sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins,
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
--Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke en lui tendant un morceau de papier.
--Non, répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- Non.
-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau do papier.
-- Non, répond Atkins.
-- Vous avez connu, poursuit sir E. Clarke, un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Non, répond Atkins.
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. Non.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier ? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
—Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke a Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant uu morceau de papier.
— « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant uu morceau de papier.

L'interrogatoire porte ensuite sur des faits de chantage.

Tous ces malheureux semblent s'être fait une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosse sommes.

Tous ces malheureux semblent s'être fait, en effet, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 fr. obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, d'ailleurs, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosse sommes. On parle de 5,000 fr. obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'etre fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient meme par grosses sommes. On parle de 5,000 frans obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, d'ailleurs, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle do 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage.
Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient, même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.

On dit qu'ils extorquérent en une seule fois à une de leurs victimes une somme de 5,000 francs.

On dit qu’ils extorquèrent en une seule fois à une de leurs victimes une somme de 5,000 francs.
On dit qu'ils extorquérent en une seule fois à une de leurs victimes une somme de 5,000 francs.

Des sommes plus considérables auraient été excroquées à deux Américains à l'hôtel Victoria et à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.

Des sommes plus considérables auraient été escroquées à deux Américains à l’hôtel Victoria et à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Des sommes plus considérables auraient été escroquées à deux Américains à l'hôtel Victoria et à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. -- Enfin une somme de 12,500 étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains, à l'hôtel Victoria, et une autre somme de 12,500 fr. à un comte étranger, venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 fr. aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains, à l'hôtel Victoria. Enfin, une somme de 12,500 fr. aurait été extorquée à un comte étranger, venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains a l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 fr. aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hotel Victoria. Enfin, une somme de 12,500 francs aurait été versée par un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin, une somme de 13,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hotel Victoria. -- Enfin uue somme de 12,600 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. -- Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée a deux Américains à l'hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.

Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.

Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’ètre pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement, Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement, Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement, Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n’être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.

Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.

Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précèdent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précèdent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin précèdent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.
Mavor est ensuite interrogé ; c’est lui que le témoin procèdent appelait Jenny. Comme ce nom l’indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession.

Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarette en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.

Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarette en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent; Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent., Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d'indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel ii fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditiounel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel if fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il futprésenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mayor n'en déclare pas moins que rien d'incident ne s'est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde lui avait offert le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que ses rotations avec Wilde n'ont pas été de nature à justifier l'accusation. Il lui avait été présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur, dont le nom est gardé secret.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession. Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.

Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.

Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses precédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentee déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Sheilêy, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évité la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère publie est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu. Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d'un nouvel examen. Mais le ministère public est inflexible et lui lait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel interrogatoire et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et persiste à vouloir l'interroger.

Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou.

Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; mais l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.

Shelley, le commis de librairie qui s’est laissé fasciner par le talent d’Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l’argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie, qui s,est laissé fasciner par le talent d’Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle et il a demandé de l’argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie, qui s’est laissé fasciner par le talent d’Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle et il a demandé de l’argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie, qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire, il s'est trouvé dans la misère, chasse de la maison paternelle et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donnée.
Shelley, le commis de librairie, qui s’est laissé fasciner par le talent d Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle el il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; mais l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé, dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, le commis de librairie qui s’est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare n’avoir jamais reçu d’argent de son protecteur ; mais I’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire ; il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l’argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Shelley, commis de librairie, qui s’est laissé fasciner par le talent d Oscar Wilde, déclare d’abord n’avoir jamais reçu d'argent de son protecteur ; l’avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire. Il s’est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle et il a demandé de l'argent à M. Wilde qui lui en a donné.
Londres, 27 avril. - Shelley, le commis de librairie, qui s'est laissé fasciner par le talent d'Oscar Wilde, déclare d'abord n'avoir jamais reçu d'argent de son protecteur; l'avocat de celui-ci fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de ia maison paternelle, et il a demandé de l'argent à M. Wilde, qui lui en a donné.
Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou. Il déclare n'avoir jamais reçu d'argent d'Oscar Wilde, mais l'avocat de celui-ci lui fait aussitôt avouer le contraire; il s'est trouvé dans la misère, chassé de la maison paternelle, et il a demandé de l'argent à Oscar Wilde qui lui en a donné.

Shelley prétend aussi n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait même retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.

Shelley prétend aussi n’avoir jamais eu maille à partir avec la police ; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait même retourné sans l’indulgence de son père qu’il avait rossé d’importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley prétend aussi n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure: il a été en prison. II y serait même retourné sans l'indulgence de son père qu'il rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille à partir avec la police; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure, il a été en prison. Il y serait retourné sans l’indulgence de son père qu'il avait rossé d’importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père, qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille à partir avec la police ; l’avocat lui fait avouer qu'il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille a partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure, il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêtr pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n’avoir jamais eu maille à partir avec la police; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu’il avait rossé d’importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite relire sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police ; l’avocat lui fait avouer qu’il se parjure : il a été en prison. Il y serait retourné sans l’indulgence do son père qu’il avait rossé d'importance. Son père l’a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait retourné sans l'indulgence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son père l'a fait arrêtr pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.
Shelley déclare n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure: il a été en prison. Il y serait retourné sans l'induigence de son père qu'il avait rossé d'importance. Son pêro la fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré plainte.
Shelley déclare ensuite n'avoir jamais eu maille à partir avec la police; l'avocat lui fait avouer qu'il se parjure; il a été en prison. Il y serait même retourné sans l'indulgence de son père, qu'il avait frappé. Son père l'a fait arrêter pour ce fait, mais il a ensuite retiré sa plainte.

Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.

Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque le cerveau malade ; il n’a retrouvé sa tète qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade: il n’a retrouvé sa tête qu'au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley honteux; et confus, déclare qu'il avait à cette époque, le cerveau malade: il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade: il n’a retrouvé sa tête qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque le cerveau malade ; il n’a retrouvé sa tête qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait, à cette époque, le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade : il n’a retrouvé sa tête qu’au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu’il avait à cette époque, le cerveau malade: il n’a retrouvé sa tète qu’au mois d’octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au mois d'octobre dernier.
Shelley, honteux et confus, déclare qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu au mois d'octobre dernier.
Shelley honteux et confus, déclaré qu'il avait à cette époque le cerveau malade; il n'a retrouvé sa tête qu'au d'octobre dernier.

L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.

L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s’il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L’avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s’il ne l’aurait pas reperdue depuis.
L’avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s'il ne l’aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande, avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s'il ne l’aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L’avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s'il ne l’aurait pas reperdue denuis.
L’avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l’assistance, s’il ne l’aurait pas reperdue denuis.
L'avocat de M. Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat d'Oscar Wilde demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait pas reperdue depuis.
L'avocat de M. Wilde, demande avec intérêt au témoin, au milieu des rires de l'assistance, s'il ne l'aurait reperdue denuis.

L'affaire est renvoyée à lundi.

*

Notre correspondant nous signale en outre l'impression que la première audience a produite à Londres:

Notre correspondant nous signale en outre l’impression que la première audience a produite à Londres :
Notre correspondant nous signale en outre l'impression que la première audience a produite à Londres:

La première aidience a aggravé la situation de l'accusé devant l'opinion. Ce qu'on lui reproche est pour ainsi dire étranger à l'accusation même. Le public anglais est trop respectueux des décisions de la justice pour escompter un verdict. Aussi discute-t-il seulement l'attitude d'Oscar Wilde en présence de faits établis.

La première audience a aggravé la situation de l’accusé devant l’opinion. Ce qu’on lui reproche est pour ainsi dire étranger à l’accusation même. Le public anglais est trop respectueux des décisions de la justice pour escompter un verdict Aussi discute-t-il seulement l’attitude d’Oscar Wilde en présence de faits établis.
La première audience a aggravé la situation de l'accusé devant l'opinion. Ce qu'on lui reproche est pour ainsi dire étranger à l'accusation même. Le public anglais est trop respectueux des décisions de la justice pour escompter un verdict. Aussi discute-t-il seulement l'attitude d'Oscar Wilde en présence de faits établis.

Les dépositions de Charles Parker et de son frère William ont producuit une impression profonde par leurs détails nauséabonds, - impression que le contre-examen auquel a procédeé sir Edward Clarke n'a nullement affaiblie, La question n'est pas de prouver que ces hommes ont ou non pris part à un chantage avant les faits qui amènent Wilde en cours d'assises, mais s'ils mentent sur les faits dont ils déposent. Qu'ils soient tous d'affreux drôles, capabales de tout pour de l'argent, nul n'en doute, mais cette considération n'infirme leur témoignange qu'à l'égard des faits qui ne seraient point confirmés par d'autres.

Les dépositions de Charles Parker et de son frère William ont produit une impression profonde par leurs détails nauséabonds, — impression que le contre-examen auquel a procédé sir Edward Clarke n’a nullement affaiblie. La question n’est pas de prouver que ces hommes ont ou non pris part à un chantage avant les faits qui amènent Wilde en cour d’assises, mais s'ils mentent sur les faits dont ils déposent. Qu'ils soient tous d’affreux drôles, capables de tout pour de l’argent, nul n’en doute, mais cette considération n’infirme leur témoignage qu’à l’égard des faits qui ne seraient point confirmés par d’autres.
Les dépositions de Charles Parker et de son frère William ont produit une impression profonde par leurs détails nauséabonds,—impression que le contre-examen auquel a procédé sir Edward Clarke n'a nullement affaiblie. La question n'est pas de prouver que ces hommes ont ou non pris part à un chantage avant les faits qui amènent Wilde en cour d'assises, mais s'ils mentent sur les faits dont ils déposent. Qu'ils soient tous d'affreux drôles, capables de tout pour de l'argent, nul n'en doute, mais cette considération n'infirme leur témoignage qu'à l'égard des faits qui ne seraient point confirmés par d'autres.

Tout autre est la déposition de Mme Ellen Grant, la propriétaire de Taylor, qui a décrit l'appartement de son locataire, sa garde-robe de famme galante et son hospitalité offerte à Wilde en termes dont nul n'a le droit de suspecter la véracité.

Tout autre est la déposition de Mme Ellen Grant, la propriétaire de Taylor, qui a décrit l'appartement de son locataire, sa garde-robe de femme galante et son hospitalité offerte à Wilde en termes dont nul n’a le droit de suspecter la véracité.
Tout autre est la déposition de Mme Ellen Grant, la proprietaire de Taylor, qui a décrit l'appartement de son locataire, sa garde-robe de femme galante et son hospitalité offerte à Wilde en termes dont nul n'a le droit de suspecter la véracité.

Dans ce procès, où son honneur et sa liberté sont en jeu, l'écrivain apporte une attitude accablée qui ne plaide pas en sa faveur. On dirait d'un homme qui renonce à sa défense et s'abandonne à la destinée.

Dans ce procès, où son honneur et sa liberté sont en jeu, l’écrivain apporte une attitude accablée qui ne plaide pas en sa faveur. On dirait d’un homme qui renonce à sa défense et s’abandonne à la destinée.
Dans ce procès, où son honneur et sa liberté sont en jeu, l'écrivain apporte une attitude accablée qui ne plaide pas en sa faveur. On dirait d'un homme qui renonce à sa défense et s'abandonne à la destinée.

C'est seulement au sortir de l'audience que l'on a connu le départ de lord Alfred Douglas pour l'Italie et l'explication qu'il a tenu à en fournir aux journaux. Il y était appelé disait-il, par une dépêche lui annonçant que sa mère venait de tomber gravement malade.

C'est seulement au sortir de l’audience que l’on a connu le départ de lord Alfred Douglas pour l’Italie et l’explication qu’il a tenu à en fournir aux journaux. Il y était appelé, disait il, par une dépêche lui annonçant que sa mère venait de tomber gravement malade.
C'est seulement au sortir de l'audience que l'on a connu le départ de lord Alfred Douglas pour l'Italie et I'explication qu'il a tenu à en fournir aux journaux. II y était appelé, disait-il, par une dépêche lui annonçant que sa mère venait de tomber gravement malade.

Or l'un de nos grands confrères de Londres, ayant télégraphié en Italie pour vérifier cette explication, a reçu l'assurance que l'épouse divorcée de lord Queensberry se trouve en bonne santé et que lord Alfred Douglas n'avait pas été mandé.

Or l’un de nos grands confrères de Londres, ayant télégraphié en Italie pour vérifier cette explication, a reçu l’assurance que l’épouse divorcée de lord Queensberry se trouve en bonne santé et que lord Alfred Douglas n’avait pas été mande.
Or l'un de nos grands confrères de Londres, ayant télégraphié en Italie pour vérifier cette explication, a reçu l'assurance que l'épouse divorcée de lord Queensberry se trouve en bonne santé et que lord Alfred Douglas n'avait pas été mandé.

Chronicle of the Courts Oscar Wilde

The Oscar Wilde case was resumed this morning, before the Assize Court; the public that throngs to the doors of the room is less numerous.

The witness Alfred Wood was questioned by Mr. Edward Clarke, defender of Oscar Wilde.

This this Wood who sold Wild, for the sum of thirty pounds, the letters he had written to Lord Douglas.

How did Wood come into contact with Wilde? Through a gentleman, he replies, whose name he cannot say. No one urges him to do so. It seems that we don't want to dig into the matter.

Similarly, the witness Atkins was introduced to Taylor by a gentleman whom he refuses to refer to otherwise. Neither the lawyers nor the president insist on extracting his secret from him. Everyone fears, no doubt, revelations that could be embarrassing.

Taylor, in turn, introduced Atkins to Wilde, and the beginning of their affair was celebrated with a fine dinner at the Cafe de Florence.

When Wilde returned to Paris, Atkins accompanied him, but the aesthete was jealous; so much so that he forbade Atkins to go to the Moulin Rouge.

Atkins hastened to disobey and drew a sharp reprimand.

Oscar Wilde, having learned of his escapade, reprimanded him: "These women will ruin you," he told her; do not visit them”.

Atkins remembers knowing Mavor, another member of the Abominable Brotherhood. Mavor was called "Jenny".

-- Do you know the person whose name is written on this paper? Sir Edward Clarke asks Atkins, handing him a piece of paper.
-- No, Atkins replies.
D. -- You knew a gentleman of that name in Birmingham?
A. -- No.

The interrogation then relates to acts of blackmail.

All these unfortunates seem to have made a second specialty of blackmail. They even went in large sums.

It is said that they extorted at one time from one of their victims the sum of 5,000 francs.

Larger sums are said to have been extorted from two Americans at the Victoria Hotel and from a foreign earl who came on his yacht to Scarborough.

Naturally Atkins declares to have nothing to do with all these affairs.

Mavor is then interrogated; the previous witness called him Jenny. As the name suggests, these shameful practices were a profession at Mavor.

Wilde did not fail to offer him the traditional silver cigarette case. Mavor nevertheless declares that nothing indecent happened between him and Wilde to whom he was introduced by a gentleman of very high social rank, at a dinner given by this gentleman whose name is kept secret.

Another witness, Shelley, asks for grace that he be spared the shame of a new examination and that his previous statements be read. But the public prosecutor is inflexible and makes him tell all the facts in detail.

The unfortunate man excuses himself for having been a madman.

Shelley, the bookshop clerk who let himself be fascinated by the talent of Oscar Wilde, first declares that he never received any money from his protector; but the latter's lawyer immediately makes him confess the contrary; he found himself in poverty, driven from his father's house, and he asked M. Wilde for money, who gave it to him.

Shelley also claims never to have had any trouble with the police; the lawyer makes him confess that he perjures himself; he was in prison. He would even have gone back there had it not been for the indulgence of his father, whom he had thrashed so badly. His father had him arrested for this fact, but he later withdrew his complaint.

Shelley, ashamed and confused, states that he was at that time brain-sick; he only regained his senses last October.

Mr. Wilde's lawyer asks the witness with interest, amid laughter from the audience, if he hasn't lost her since.

The case is adjourned to Monday.

*

Our correspondent further informs us of the impression produced by the first audience in London:

The first aid has aggravated the situation of the accused before public opinion. What he is reproached for is, so to speak, foreign to the accusation itself. The English public is too respectful of court decisions to expect a verdict. So he only discusses Oscar Wilde's attitude in the presence of established facts.

The depositions of Charles Parker and his brother William have made a deep impression by their nauseous detail - an impression which Sir Edward Clarke's cross-examination has in no way weakened. The question is not to prove that these men whether or not they took part in a blackmail before the facts which bring Wilde to the assizes, but if they lie on the facts of which they deposit. No one doubts that they are all dreadful fellows, capabales of anything for money, but this consideration only invalidates their testimony with regard to facts which would not be confirmed by others. .

Quite different is the evidence of Mrs. Ellen Grant, Taylor's landlady, who described her tenant's apartment, her gallant wardrobe and her hospitality extended to Wilde in terms of which no one has the right to suspect the veracity.

In this trial, where his honor and his freedom are at stake, the writer brings an overwhelmed attitude that does not plead in his favor. It looks like a man who gives up his defense and surrenders to fate.

It was only after the hearing that we learned of Lord Alfred Douglas's departure for Italy and the explanation he insisted on giving to the newspapers. He was called there, he said, by a telegram announcing that his mother had just fallen seriously ill.

However, one of our great colleagues in London, having telegraphed to Italy to verify this explanation, received the assurance that the divorced wife of Lord Queensberry is in good health and that Lord Alfred Douglas had not been summoned.