Le Matin - Sunday, April 28, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
WILDE, TAYLOR ET C°
Continuation du procès--Une singulière confrérie-- L'influence de l'art dramatique--
Un peu de
chantage.
LONDRES, 27 avril.--Par fil spécial.
L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises. Le public est un peu moins nombreux qu'hier. Sir Edward Clarke, avocat de Wilde, interroge le témoin Alfred Wood. Ce témoin est celui qui fit chanter Wilde jusqu'à concurrence de 30 ou 35 livres sterling en lui vendant des lettres écrites par Wilde à lord Alfred Douglas. Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire, c'est qu'il y a toujours des noms qu'on évite de mentionner.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès, et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès, et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclara avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté â Wilde par un monsieur dont le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on le le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur dont le nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, ou ne le donne pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde par un monsieur doat le nom n'a pas paru au procès; et ce nom, on ne le donna pas.
Ainsi Wood déclare avoir été présenté à Wilde parmi monsieur dont lu nom n’a pas paru au procès ; et ce nom, on ne le donne pas.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n'est pas prononcé; c'est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner. C'est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d'aller au Moulin-Rouge; mais Atkins s'empressa de désobéir. « N'allez pas dans ces endroits; ces femmes vous perdront, » avait coutume de lui dire Oscar Wilde. Plus tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu'il l'avait emmené à Paris.
Atkins, un autre témoin, dit également avoir été présenté à Taylor par un monsieur dont le nom n’est pas prononcé ; c’est ensuite Taylor qui le présenta à Wilde au café de Florence. Là, on fit un excellent dîner. C’est Atkins que Wilde emmena à Paris. Wilde lui défendit d’aller au Moulin-Rouge ; mais Atkins s’empressa de désobéir. « N’allez pas dans ces endroits ; ces femmes vous perdront », avait coutume de lui dire Oscar Wilde. Plus tard, tu me [...] dire Oscar Wilde. Plue tard, Wilde lui recommanda de ne pas raconter qu’il l'avait emmené à Paris. Atkina se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l’abominable confrérie. On appelait Mavor « Jenny ».
« Jenny » l'ouvrière.
Atkins se rappelle avoir connu Mavor, un autre membre de l'abominable confrérie. On
appelait Mavor « Jenny ».
-- Connaissez-vous la
personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en
lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. Non.
-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier?» demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- « Non », répond Atkins.
D. « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. « Non ».
- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
- « Non », répond Atkins.
D. - « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. - « Non ».
— Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
— Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham ?
R. Non.
- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
- « Non », répond Atkins.
D. - « Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham? »
R. - « Non ».
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- Non.
-- « Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? » demande sir Edward Clarke Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- « Non » répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- « Non. »
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
-- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Non.
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit, sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins,
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
-- Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke à Atkins en lui tendant un morceau de papier.
-- Non, répond Atkins.
D. Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
--Connaissez-vous la personne dont le nom est écrit sur ce papier? demande sir Edward Clarke en lui tendant un morceau de papier.
--Non, répond Atkins.
D. -- Vous avez connu un monsieur de ce nom à Birmingham?
R. -- Non.
L'interrogatoire continue il porte sur des faits de chantage.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, d'ailleurs, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage.
Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient, même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 francs obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s’être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle do 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'etre fait d'ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient meme par grosses sommes. On parle de 5,000 frans obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, d'ailleurs, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosse sommes. On parle de 5,000 fr. obtenus d'une première victime.
Ces malheureux semblent s'être fait d’ailleurs une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. Ou parle de 5,000 francs obtenus d’une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait, en effet, une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosses sommes. On parle de 5,000 fr. obtenus d'une première victime.
Tous ces malheureux semblent s'être fait une seconde spécialité du chantage. Ils allaient même par grosse sommes.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough. Naturellement Atkins déclare n'être pour rien dans toutes ces affaires.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. -- Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée a deux Américains à l'hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l’hôtel Victoria. — Enfin une somme de 12,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin, une somme de 13,500 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hotel Victoria. -- Enfin uue somme de 12,600 francs aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 fr. aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains, à l'hôtel Victoria. Enfin, une somme de 12,500 fr. aurait été extorquée à un comte étranger, venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains a l'hôtel Victoria. Enfin une somme de 12,500 fr. aurait été extorquée à un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains à l'hotel Victoria. Enfin, une somme de 12,500 francs aurait été versée par un comte étranger venu sur son yacht à Scarborough.
Une somme plus considérable aurait été extorquée à deux Américains, à l'hôtel Victoria, et une autre somme de 12,500 fr. à un comte étranger, venu sur son yacht à Scarborough.
Mavor est ensuite interrogé; c'est lui que le témoin précédent appelait Jenny. Comme ce nom l'indique, ces pratiques honteuses étaient chez Mavor une profession. Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent; Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent., Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d'indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent, Mavor n’en déclare pas moins que rien d’indécent ne s’est passé entre lui et Wilde, auquel ii fut présenté par un monsieur d’un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarette en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il futprésenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditiounel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel il fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarette en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mavor n'en déclare pas moins que rien d'indécent ne s'est passé entre lui et Wilde, auquel if fut présenté par un monsieur d'un rang social très élevé, dans un diner donné par ce monsieur dont le nom est gardé secret.
Wilde ne manqua pas de lui offrir le traditionnel porte-cigarettes en argent. Mayor n'en déclare pas moins que rien d'incident ne s'est passé entre lui et Wilde auquel il fut présenté par un Monsieur d'un rang social très élevé, dans un dîner donné par ce Monsieur dont le nom est gardé secret.
Pudibond.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nouvel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses precédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentee déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Sheilêy, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évité la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d’un nofivel examen et qu’on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère publie est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel examen et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et lui fait raconter tous les faits par le menu. Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu’on lui évite la honte d'un nouvel examen. Mais le ministère public est inflexible et lui lait raconter tous les faits par le menu.
Un autre témoin, Shelley, demande par grâce qu'on lui évite la honte d'un nouvel interrogatoire et qu'on lise ses précédentes déclarations. Mais le ministère public est inflexible et persiste à vouloir l'interroger.
Le malheureux s'excuse lui-même d'avoir été un fou.
Le témoin Shelley dit qu'il n'a jamais reçu d'argent de l'accusé, qui néanmoins s'est montré bon pour lui.
Il éprouvait de l'admiration pour l'œuvre dramatique de M. Wilde. Les actes d'indécence ont été suggérés à l'hôtel Savoy en mars 1893. Le témoin a été renvoyé de sa place chez le libraire-éditeur à cause de son intimité avec Oscar Wilde, et il a été chassé de la maison paternelle pour le même motif. Il a eu des petits embarras d'argent, et, en 1894, il écrivit diverses lettres à Wilde, commençant par ces mots « Mon cher Oscar. » Dans ces lettres, il demandait quelque argent et priait l'auteur de l'aider à trouver une place, soit chez un libraire-éditeur, soit dans un bureau de journal.
Dans une de ces lettres, il qualifiait son ancien patron de vipère.
-- Mais, dit le témoin, j'avais alors le cerveau détraqué. Ce n'est qu'au mois d'octobre de l'année passée que j'ai repris mon bon sens.
L'avocat de la défense demande à savoir si le cerveau du témoin Stelley ne s'est pas de nouveau dérangé depuis. (Rires.) Stelley reconnaît avoir été arrêté en janvier 1895 pour avoir rossé son père. Il demanda alors à M. Wilde de se porter caution, mais le père ayant retiré sa plainte, cette demande ne fut pas suivie d'effet.
Un « gentleman ».
L'avocat de M. Wilde demande qu'on rappelle le témoins Atkin. Atkins reconnaît qu'en juin 1891, Burton et lui furent conduits au commissariat de police pour avoir frappé un gentleman, très connu d'Atkins, au théâtre de l'Alhambra. Atkins déclara au commissaire avoir été surpris par Burton avec ce gentleman.
L'avocat de Wilde fait observer à ce témoin qu'il'a menti en déclarant qu'il n'avait jamais été en prison.
Atkins répond qu'il ne se rappelait pas ce détail.
Le tribunal entend ensuite le comptable de l'hôtel Savoy, le propriétaire de l'hôtel Albemarle et plusieurs témoins dont les dépositions sont sans grande importance; puis les débats sont renvoyés à lundi prochain.
Le tribunal entend ensuite le comptable de l’hôtel Savoy, le propriétaire de l'hôtel Albermarle et plusieurs témoins dont les dépositions sont sans grande importance; puis les débats sont renvoyés à lundi prochain.
WILDE, TAYLOR AND C°
Continuation of the trial--A singular brotherhood--The influence of dramatic art--A
bit of
blackmail.
LONDON, April 27.--By special wire.
The Oscar Wilde and Taylor case is resumed this morning before the Assize Court. The public is a little less numerous than yesterday. Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, examines witness Alfred Wood. This witness is the one who blackmailed Wilde up to £30 or £35 by selling him letters written by Wilde to Lord Alfred Douglas. What is curious about this case is that there are always names that we avoid mentioning.
Thus Wood declares that he was introduced to Wilde by a gentleman whose name did not appear at the trial and this name is not given.
Atkins, another witness, also says he was introduced to Taylor by an unnamed gentleman; it was then Taylor who introduced him to Wilde at the cafe in Florence. There we had an excellent dinner. It was Atkins whom Wilde took to Paris. Wilde forbade him to go to the Moulin Rouge; but Atkins hastened to disobey. “Don't go to these places; these women will ruin you,” Oscar Wilde used to tell him. Later, Wilde advised him not to tell that he had taken him to Paris.
“Jenny” the worker.
Atkins remembers knowing Mavor, another member of the Abominable Brotherhood. Mavor
was called "Jenny".
-- Do you know the
person whose name is written on this paper? Sir Edward Clarke asks Atkins, handing
him a piece of paper.
-- No, Atkins replies.
Q. You knew a
gentleman of that name in Birmingham?
A. No.
The interrogation continues, it relates to acts of blackmail.
All these unfortunates seem to have made a second specialty of blackmail. They even went in large sums. We are talking about 5,000 francs obtained from a first victim.
A larger sum was allegedly extorted from two Americans at the Hotel Victoria. Finally, a sum of 12,500 francs was allegedly extorted from a foreign earl who came on his yacht to Scarborough. Naturally Atkins declares to have nothing to do with all these affairs.
Mavor is then interrogated; the previous witness called him Jenny. As the name suggests, these shameful practices were a profession at Mavor. Wilde did not fail to offer him the traditional silver cigarette case. Mavor nevertheless declares that nothing indecent happened between him and Wilde, to whom he was introduced by a gentleman of very high social rank, at a dinner given by this gentleman whose name is kept secret. .
Prudish.
Another witness, Shelley, begs to be spared the shame of a re-examination and to have her previous statements read. But the public prosecutor is inflexible and makes him tell all the facts in detail.
The unfortunate man excuses himself for having been a madman.
Witness Shelley says he never received any money from the accused, who nevertheless proved kind to him.
He felt admiration for Mr. Wilde's dramatic work. The acts of indecency were suggested at the Savoy Hotel in March 1893. The witness was fired from his place at the bookseller-publisher on account of his intimacy with Oscar Wilde, and he was driven out of his father's house for the same motive. He had some small financial difficulties, and in 1894 he wrote various letters to Wilde, beginning with these words "My dear Oscar." In these letters he asked for some money and begged the author to help him find a job, either with a bookseller-publisher or in a newspaper office.
In one of these letters, he described his former boss as a viper.
"But," said the witness, "my brain was out of whack then." It was only in October of last year that I regained my common sense.
The defense lawyer asks to know if the brain of the witness Stelley has not been disturbed again since. (Laughs.) Stelley admits he was arrested in January 1895 for beating his father. He then asked Mr Wilde to stand surety, but the father having withdrawn his complaint, this request was not acted upon.
A “gentleman”.
Mr. Wilde's attorney requests that the witnesses Atkin be called back. Atkins admits that in June 1891, he and Burton were taken to the police station for striking a gentleman, well known to Atkins, at the theater of the Alhambra. Atkins declared to the commissioner to have been surprised by Burton with this gentleman.
Wilde's lawyer points out to this witness that he lied to him by stating that he had never been in prison.
Atkins replies that he did not remember this detail.
The court then hears the accountant of the Savoy hotel, the owner of the Albemarle hotel and several witnesses whose depositions are of little importance; then the debates are adjourned to next Monday.
- Le Public - Monday, April 29, 1895 - 70.8%
Compare - Paris - Monday, April 29, 1895 - 70.7%
Compare - La Justice - Monday, April 29, 1895 - 70.6%
Compare - Le Journal - Sunday, April 28, 1895 - 70.4%
Compare - Le Voltaire - Monday, April 29, 1895 - 70.1%
Compare - La Lanterne - Monday, April 29, 1895 - 69.8%
Compare - La Loi - Sunday, April 28, 1895 - 69.8%
Compare - La France - Monday, April 29, 1895 - 69.6%
Compare - La Petite République - Wednesday, May 1, 1895 - 69.6%
Compare - L'Intransigeant - Monday, April 29, 1895 - 69.0%
Compare - Le Quotidien illustré - Monday, April 29, 1895 - 67.9%
Compare - Le Radical - Monday, April 29, 1895 - 63.0%
Compare - Journal des débats politiques et littéraires - Sunday, April 28, 1895 - 60.8%
Compare - Le Rappel - Monday, April 29, 1895 - 60.6%
Compare - Le XIXe Siècle - Monday, April 29, 1895 - 60.6%
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