Le Moniteur universel - Sunday, April 21, 1895
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LES SCANDALES DE LONDRES
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu hier devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu hier devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition,
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dant la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Tayor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Londres, 19 avril. — Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Londres, 19 avril. -- Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu hier devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, pour les faits que le Petit Parisien, a déjà exposés.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusée font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi 20.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi 20.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est combie. Les accusés font leur entrée à midi vingt.
La salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
La salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
La salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un desespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pale, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wille paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore quelors de sa dernière comparution. Sa figura porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraissait plus pale, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle encore que lors de sa dernière comparution, et sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution à Bow-Street.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa téte sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, e dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge qui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. II se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et, dais un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylord, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quand à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’cet toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gonaillense, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse. Il continue à être très attentif aux débats.
Après une nouvelle audition de témoins, le ministère public demande le renvoi des deux accusés devant les assises criminelles.
Après une nouvelle audition de témoins, le ministère public demande le renvoi des deux accusés devant les assises criminelles.
Les défenseurs demandent que les prévenus soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs demandent que les prévenus soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accuses demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des des accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs demandent que leurs clients soient admis à fournir caution et remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et âkpouvoir ainsi être remis en liberté provisoire.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
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Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclaré que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Enfin, sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde est Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Widde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
THE LONDON SCANDALS
Oscar Wilde and Taylor appeared again yesterday before Sir John Bridge, the Magistrate of Bow Street, in the small room usually used for extradition cases.
When the magistrate takes his place, the room is full. The two defendants make their entry at twelve twenty.
Oscar Wilde looks paler, even more emaciated than when he last appeared. His face bears the traces of bitter despair.
The judge allows him to sit down. He drops into the chair that is handed to him, and in a gesture of fatigue, leans his head heavily on his arm.
As for Taylor, it is always the same cheeky face, but attentive to the debates.
After a new hearing of witnesses, the public prosecutor requests the referral of the two defendants to the criminal assizes.
The defenders demand that the defendants be allowed to provide bail and thus be released on bail.
Sir John Bridge refuses any bail and declares that the two defendants will appear before the next assizes.
Oscar Wilde and Taylor are returned to their respective cells.