Les Scandales de Londres
Le procès Oscar Wilde

Londres, 19 avril.

Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dant la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.

Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition,
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Tayor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu hier devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu hier devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Londres, 19 avril. — Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Londres, 19 avril. -- Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu hier devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, pour les faits que le Petit Parisien, a déjà exposés.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition. Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d'extradition. Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Oscar Wilde et Taylor ont de nouveau comparu devant sir John Bridge, le magistrat de Bow-Street, dans la petite salle qui sert habituellement aux affaires d’extradition. Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.

Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi 20.

Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi 20.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusés font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est comble. Les deux accusée font leur entrée à midi vingt.
Lorsque le magistrat prend sa place, la salle est combie. Les accusés font leur entrée à midi vingt.

Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.

Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
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Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un desespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
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Oscar Wilde parait plus pale, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
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Oscar Wilde paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d’un désespoir amer.
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Oscar Wille paraît plus pâle, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
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Oscar Wilde paraissait plus pale, plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution. Sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde paraît plus pâle encore que lors de sa dernière comparution, et sa figure porte les traces d'un désespoir amer.
Oscar Wilde parait plus amaigri encore que lors de sa dernière comparution à Bow-Street.

Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.

Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
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Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et, dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et dans un geste de fatigue appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, e dans un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge qui permet de s'asseoir. Il se laisse tomber sur la chaise qu'on lui tend, et dans un geste de fatigue appuie lourdement sa tête sur son bras.
Le juge lui permet de s’asseoir. II se laisse tomber sur la chaise qu’on lui tend, et, dais un geste de fatigue, appuie lourdement sa tête sur son bras.

Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.

Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
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Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylord, c’est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quand à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’cet toujours la même physionomie gouailleuse, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c’est toujours la même physionomie gonaillense, mais attentive aux débats.
Quant à Taylor, c'est toujours la même physionomie gouailleuse. Il continue à être très attentif aux débats.

Le témoin Charles Parker, de nouveau interroge par le ministère public sur ses relations nvec Taylor, raconte que celui-ci lui a parlé d’un certain Charlie Mason, ajoutant que Taylor et Mason étaient mariés. Une autre fois Taylor lui racontait des scènes dans lesquelles il était habillé en femme.

Le témoin Charles Parker, de nouveau interrogé par le ministère public sur ses relations avec Taylor, raconte que Taylor lui a parlé d’un certain Charlie Mason, ajoutant que Taylor et Mason étaient maries. Une autre fois Taylor lui racontait des scènes dans lesquelles ii était habillé en femme.

Ces faits remontent à 1893.

William Parker, frère du témoin précédent, est interrogé et déclare avoir commis avec Taylor des actes d'indécence. C'était également en 1893.

William Parker, frère du témoin précédent, est interrogé et déclare avoir commis avec Taylor des actes d’indécence. C’était également en 1893.
William Parker, frère du témoin précèdent, déclare avoir commis avec Taylor des actes d'indécence, également en 1893.

Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont pour la plupart des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.

Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d’une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont pour la plupart des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d’une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendezvous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont pour la plupart des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendezvous.
Il est ensuite donné lecture d’une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendezvous.
Il est ensuite donné lecture d’une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez vous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour fa plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d'une série de petits papiers saisis cher Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant, des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d’une série de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés […] car et donnant ou modifiant des rendez-vous.
Il est ensuite donné lecture d’une séné de petits papiers saisis chez Taylor. Ce sont, pour la plupart, des télégrammes signés Oscar et donnant ou modifiant des rendez-vous.

Le ministère public remet ensuite au magistrat un document contenant l'énumération des charges relevées contre les accusés et demande qu’ils soient renvoyés eu cour d'assises.

Le ministère public remet ensuite au magistrat un document contenant l’énumération des charges relevées contre les accusés et demande qu’ils soient renvoyés en cour d’assises.
Le ministère public se lève quand le défilé des témoins est terminé; il remet au magistrat un document qui contient l'énumération des charges relevées contre les deux accusés. Il demande qu'ils soient renvoyés devant les assises.
Le ministère public se lève quand le défilé des témoins est terminé ; il remet au magistrat un document qui contient l’énumération des charges relevées contre les deux accusés. Il demande qu’ils soient renvoyés devant les assises.
Le ministère public se lève, quand le défilé des témoins est terminé. Il remet au magistrat un document qui contient l'énumération des charges relevées contre les deux accusés. Il demande qu'ils soient renvoyés devant les assises.
Le ministère public se lève quand le défilé des témoins est terminé; il remet au magistrat un document qui contient l'énumération des charges relevées contre les deux accusés. Il demande qu'ils soient renvoyés devant les assises.
Le ministère public se lève quand le défilé des témoins est terminé ; il remet au magistrat un document qui contient l’énumération des charges relevées contre les deux accusés. Il demande qu’ils soient renvoyés devant les assises.
Le ministère public se lève quand le défilé des témoins est terminé ; il remet au magistrat an document qui contient l'énumération des charges relevées contre les deux accusés. Il demande qu’ils soient renvoyés devant les assises.

Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu’il n’a rien à dire pour le moment.

Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu’il n’a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu’il n’a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
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Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
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Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu’il n’a rien à dire pour le moment.
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Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu’il n’a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu'il n'a rien à dire pour le moment.
Interrogé par le magistrat, Oscar Wilde déclare qu’il n’a rien à dire pour le moment.

Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.

Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accuses demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des des accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et à pouvoir être remis en liberté provisoire.
Les défenseurs des deux accusés demandent que ceux-ci soient admis à fournir caution et âkpouvoir ainsi être remis en liberté provisoire.
Les défenseurs demandent que les prévenus soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs demandent que les prévenus soient admis à fournir caution et à pouvoir être ainsi remis en liberté provisoire.
Les défenseurs demandent que leurs clients soient admis à fournir caution et remis en liberté provisoire.

Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.

Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclaré que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.
Enfin, sir John Bridge refuse toute caution et déclare que les deux accusés passeront devant les prochaines assises.

Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.

Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Wilde est Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.
Oscar Widde et Taylor sont reconduits dans leurs cellules respectives.

The London Scandals
The Oscar Wilde Trial

London, April 19.

Oscar Wilde and Taylor again appeared before Sir John Bridge, the Magistrate of Bow Street, in the small room usually used for extradition cases.

When the magistrate takes his place, the room is full. The two accused enter at 12:20 p.m.

Oscar Wilde looks paler, even more emaciated than when he last appeared. His face bears the traces of bitter despair.

The judge allows him to sit down. He lets himself fall into the chair offered to him, and, in a gesture of fatigue, leans his head heavily on his arm.

As for Taylor, it is always the same cheeky face, but attentive to the debates.

The witness Charles Parker, again questioned by the public ministry on his relationship with Taylor, recounts that the latter spoke to him about a certain Charlie Mason, adding that Taylor and Mason were married. Another time Taylor told him scenes in which he was dressed as a woman.

These facts date back to 1893.

William Parker, brother of the previous witness, is questioned and declares having committed acts of indecency with Taylor. It was also in 1893.

A series of small papers seized from Taylor are then read. Most of them are telegrams signed Oscar and giving or modifying appointments.

The public prosecutor then gives the magistrate a document containing the list of charges against the defendants and asks that they be returned to the court of assizes.

Questioned by the magistrate, Oscar Wilde declares that he has nothing to say for the moment.

The defenders of the two defendants request that they be allowed to provide bail and to be able to be released on bail.

Sir John Bridge refuses any bail and declares that the two defendants will appear before the next assizes.

Oscar Wilde and Taylor are returned to their respective cells.