La République Française - Sunday, May 26, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
LES TRIBUNAUX
ÉTRANGER
Oscar Wilde
Sir Edward Clarke, l'avocat d'Oscar Wilde, a présenté hier la défense de son client.
Il refuse tout d’abord d'entrer dans le détail des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer d'entrer tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sorti très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par témoins, parce que ces preuves sont très imcomplètes.
Dés qu'il a termine, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terrine, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès que sir Edward Clarke a terminé, M. Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu’il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l’amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu’il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l’amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu’il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l’amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raonte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry, et que, actuellement, il est encore dans les meilleurs termes avec elle.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l’expression de la vérité. Il n’a ni à expliquer ni à modifier aucune d’entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité, il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité, il n'a ni à expliquer, ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l’expression de la vérité. Il n’a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l’expression de la vérité. Il n’a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédent ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles. En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l’étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Il a été constamment en communication avec lui. Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'etranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l’étranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l’étranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas :
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Il reconnaît qu'il a été constamment en correspondance, avec Douglas.
Le ministère public demande :
« Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme exemple du style dont vous vous serviez pour lui écrire ?
« Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour lui écrire? »
— Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour lui écrire ?
— Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour lui écrire ?
—Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour Iui écrire?
— Non, répond Wilde. Une de ces lettres, datée de Torquey, était uue sorte de poème en prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m’avait envoyé. »
—Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème en prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé.
-- Non, répond Wilde. Cette lettre, datée de Torquay, était une sorte de poème en prose répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé.
— Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème eu prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m’avait envoyé.
— Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème eu prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m’avait envoyé.
L'interrogatoire porte ensuite sur ses relations avec Taylor. C'est le point le plus délicat du procès. Il avoue qu’il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu’il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n’y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood, il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoua qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuire sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L’interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu’il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu’il y a rencontré Mavor et Scnwabe, ainsi que Wood, Il n’y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L’interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu’il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu’il y a rencontré Mavor et Scnwabe, ainsi que Wood, Il n’y a jamais rencontré les deux frères Parker.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. II y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes gens n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur an piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressent Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. II aimait à être placé par eux sur un piédestal.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le
ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme
de beaucoup de bon goût; ce n’était pas un
intellectuel, mais il était adroit. »
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde ; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- « Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvai en Taylor un homme de beaucoup de bon gout; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
Le principe de Wilde est de nier tout, même les preuves les plus probantes, même les déclarations du masseur et de la femme.
COURTS
FOREIGN
Oscar Wilde
Sir Edward Clarke, Oscar Wilde's lawyer, yesterday presented his client's defence.
First of all, he refuses to go into the details of the evidence given by the witnesses, because this evidence is very incomplete.
As soon as he has finished, Oscar Wilde is called to testify. They give him a chair.
Questioned by his defender, Wilde recounts that he has known the Queensberry family for years and that, currently, he is still on friendly terms with them.
He declares that all his assertions in the previous trials have been the expression of the truth. He does not have to explain or modify any of them.
Lord A. Douglas remained in London for three weeks, after the Queensberry trial; but he went abroad, at the very wish expressed to him by Wilde before the first trial against him.
Oscar Wilde acknowledges that he constantly corresponded in writing with Alfred Douglas:
The prosecution asks:
“Can the two letters that have been produced be considered an example of the style you used to write to him?
"No," replies Wilde. One of these letters, dated Torquey, was a kind of prose poem, replying to a poem in verse that Lord Alfred Douglas had sent me. »
The questioning then turns to his relationship with Taylor. This is the most delicate point of the trial. He confesses that he went to Taylor's five or six times, that he met Mavor and Schwabe there, as well as Wood. He never met the two Parker brothers there.
Besides, the society that met at Taylor's was not composed solely of young people. There were also men of his age. Wilde considered Taylor a cheerful companion. These young people had no intellectual charm for Wilde, but they interested Wilde; for the latter was very fond of praise and admiration. He liked to be placed by them on a pedestal.
— Praise, he said, coming from anyone, is always delicious.
"What charm did you find in Taylor?" asks the public
prosecutor.
"Charm is not the right word," said Wilde; but I found Taylor a man of great taste;
he was not an intellectual, but he was skilful.
»
Wilde's principle is to deny everything, even the most convincing evidence, even the statements of the masseur and the woman.