Le Rappel - Sunday, May 26, 1895
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LES TRIBUNAUX
L'affaire Wilde
Londres, 24 mai.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la Cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris, hier matin, devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises de Londres.
Londres, 24 mai.— Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Londres, 24 mai. -- Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Londres.-- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises.
LONDRES, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Sir Edouard Clarke prononce la défense.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sorti très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer d'entrer tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par témoins, parce que ces preuves sont très imcomplètes.
Il refuse tout d’abord d'entrer dans le détail des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcout rapidement les diverses phrases du procès.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
L'avocat refuse d'entrer clans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phrases du procès.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dés qu'il a termine, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terrine, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès que sir Edward Clarke a terminé, M. Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu’il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l’amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu’il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l’amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu’il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l’amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raonte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry, et que, actuellement, il est encore dans les meilleurs termes avec elle.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité, il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité, il n'a ni à expliquer, ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l’expression de la vérité. Il n’a ni à expliquer ni à modifier aucune d’entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l’expression de la vérité. Il n’a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l’expression de la vérité. Il n’a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédent ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles.
Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles. En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l’étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Il a été constamment en communication avec lui. Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui a exprimé Wilde avant le premier procès contre lui.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'étranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l'etranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l’étranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Lord A. Douglas resta à Londres pendant trois semaines, après le procès Queensberry; mais il alla à l’étranger, sur le désir même que lui exprima Wilde avant le premier procès contre lui. Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnait qu'il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas.
Oscar Wilde reconnaît qu’il a constamment correspondu par écrit avec Alfred Douglas :
Il reconnaît qu'il a été constamment en correspondance, avec Douglas.
Le ministère public demande:
« Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un
exemple du style
dont vous vous serviez pour lui écrire?»
« Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème en prose,
répondant à un poème
en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé. »
Le ministère public demande:
-- Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple de style dont vous vous serviez pour lui écrire?
-- Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey, était une sorte de poème en prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé.
«Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour lui écrire?»
« Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème en prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé ».
- Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour lui écrire?
-Non, répond Wilde. Cette lettre, datée de Torquey, était une sorte de poème en prose, répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé.
-- « Les dèux lettres-qui ont été produites peuvent-elles être considéra comme un exemple de style dont vous vous serviez pour lui écrire? »
-- « Non, répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème en prose répondant à un poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé. »
Le ministère public pose à l'accusé la question suivante: --Les deux lettres qui ont été produites peuvent-elles être considérées comme un exemple du style dont vous vous serviez pour écrire à lord Alfred Douglas?
--Non répond Wilde. Cette lettre datée de Torquey était une sorte de poème en vers que lord Alfred Douglas m'avait envoyé.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: «My own boy», en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: «My own boy», en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habitude de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune, que lui par des années, par la tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habille de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots : « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Wilde excuse son habille de commencer ses lettres à lord Alfred Douglas par ces mots : « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Il excuse son habitude de commencer ses lettres à Douglas par ces mots: « My own boy », en disant que lord Alfred Douglas était plus jeune que lui par les années, par le tempérament et par le caractère.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère come un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'était là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considers comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des bêtises », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un «poème en prose» et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers, » demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un homme.
Par exemple : Le ministère public prend eu main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème eu prose, en y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers; » il demande à Wilde si c'est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public lit la fameuse lettre à lord Douglas dans laquelle Wilde s'exprime ainsi: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers. » Il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public, relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et la folie des baisers», demande à l’accusé si c’est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public parle de la correspondance que Wilde entretenait avec lord Alfred Douglas, et, citant en particulier une lettre où l'on remarque cette phrase: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Les lettres adressées par Oscar Wilde à lord Alfred Douglas ont été l’objet de plusieurs questions. Le ministère public relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers » demande à l’accusé si c’est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune tomme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
« C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction. »
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C’est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
—C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste, c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare : c'est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, pleind de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeun homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante, je le veux bien, d'écrire à un jeune homme. Mais la question n'est pas de savoir ici si cette chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire, rien de plus. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood, il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoua qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuire sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L’interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu’il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu’il y a rencontré Mavor et Scnwabe, ainsi que Wood, Il n’y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L’interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu’il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu’il y a rencontré Mavor et Scnwabe, ainsi que Wood, Il n’y a jamais rencontré les deux frères Parker.
L'interrogatoire porte ensuite sur ses relations avec Taylor. C'est le point le plus délicat du procès. Il avoue qu’il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu’il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n’y a jamais rencontré les deux frères Parker.
Lord Queensberry n'a jamais produit d'accusation précise pour expliquer sa réprobation de l'amitié qui existait entre lord Alfred Douglas et Wilde. L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les deux frères Parker.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur an piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressent Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. II aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. II y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes gens n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les frères Parker. D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils l'intéressaient, car il aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
« La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse. »
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je
trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel,
mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- « Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvai en Taylor un homme de beaucoup de bon gout; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde ; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit. »
-- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
—Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût ; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût ; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit.
L'appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l'admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec une certaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas.
L'appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l'admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec une certaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas.
L'appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l'admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec une certaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas.
L'appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l'admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec une certaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms dequels Wilde ne se souvient pas.
L'appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l'admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec une certaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas. Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois, quand il lui offrit un dîner a l'occasion de sa fête.
L'appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l'admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec une certaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas. Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l'occasion de sa fête. C'est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker.
L’appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l’admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec incertaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas. Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l’occasion de sa fête. C’est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker.
L’appartement de Taylor était très gai, placé tout auprès de l’admirable abbaye de Westminster. Taylor, qui avait décoré cet appartement avec incertaine science artistique, lui présenta sept ou huit jeunes gens des noms desquels Wilde ne se souvient pas. Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l’occasion de sa fête. C’est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker.
Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l'occasion de sa été.
Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l'occasion de sa fête.
Il connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l'occasion de sa fête.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation, Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre à l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit. Wilde continue à nier, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de Savoy hôtel.
C'est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker. L'interrogatoire se poursuit ainsi sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'Hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hotel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se termine brusquement là-dessus.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclaration de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cette interrogatoire, se tenait débout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec intention les déclarations de Wilde.
Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le sollicitor général commence sa répliqua dont 1a fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à aujourd'hui.
Après la déposition de Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le soliciter général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain. Service spéc.
Après la déposition de l’accusé, son défenseur a repris la parole, puis le solicitor général a commencé sa réplique dont la fin a été renvoyée à demain.
Après cette déposition, l'avocat de l'accusé reprend la parole; puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Le défenseur d'Oscar Wilde reprend alors la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après quelques questions posées par le ministère public, le défenseur d'Oscar Wilde reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après une nouvelle plaidoirie du défenseur, le solicitor commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
COURTS
The Wilde Affair
London, May 24.
Oscar Wilde's trial resumed this morning before the Assize Court.
Sir Edward Clarke delivers the defence.
The lawyer refuses to go into all the details of the evidence given by the witnesses, because this evidence is very incomplete.
As soon as he's finished, Oscar Wilde is called to testify. They give him a chair.
Questioned by his defender, Wilde recounts that he has known the Queensberry family for years and that, currently, he is still on friendly terms with them.
He declares that all his assertions in the previous trials have been the expression of the truth. He does not have to explain or modify any of them.
Lord A. Douglas remained in London for three weeks, after the Queensberry trial; but he went abroad, at the very wish expressed to him by Wilde before the first trial against him.
Oscar Wilde acknowledges that he constantly corresponded in writing with Alfred Douglas.
The prosecution asks:
"Can the two letters that were produced be considered an example of the style you
used to write to
him?"
"No," replies Wilde. This letter dated Torquey was a sort of prose poem, replying
to a poem in verse that Lord Alfred Douglas had sent me.
»
Wilde excuses his habit of beginning his letters to Lord Alfred Douglas with these words: "My own boy", by saying that Lord Alfred Douglas was younger than him in years, in temperament, and in character.
The public ministry takes in hand the famous letter which Wilde regards as a poem in prose, by noting the following sentence there: "Your purple lips are made for the music of the songs and for the madness of the kisses", asks Wilde if it that's a decent way to write to a young man.
"It's a literary thing," replies Wilde. It's like a Shakespearean sonnet; it is a whimsical and extravagant way of writing to a young man. The question is not whether something is proper or right: it is a literary expression. I consider this sentence, for an artist, as a magnificent way of addressing a young tome of cultured spirit, full of charm, of distinction.
Wilde's questioning then turns to his relationship with Taylor. He confesses that he went to Taylor's five or six times, that he met Mavor and Schwabe there, as well as Wood. He never met the two Parker brothers there.
Besides, the society that met at Taylor's was not composed solely of young people. There were also men of his age. Wilde considered Taylor a cheerful companion. These young men had no intellectual charm for Wilde, but they interested Wilde; for the latter was very fond of praise and admiration. He liked to be placed by them on a pedestal.
“Praise, he said, coming from anyone, is always delicious. »
-- What charm did you find in Taylor? asks the public prosecutor.
"Charm is not the proper word," said Wilde; but I found
Taylor a man of great taste; he was not an intellectual, but he was skilful.
Taylor's apartment was very gay, placed close to the admirable Westminster Abbey. Taylor, who had decorated this apartment with a certain artistic skill, introduced him to seven or eight young people whose names Wilde does not remember.
He had already known Taylor for five months when he offered her a dinner on the occasion of his summer.
The questioning continues on all counts. Wilde denies everything, even the statements of the masseur and the chambermaid of the Savoy hotel.
The interrogation ends abruptly there.
The Marquess of Queensberry, throughout this interrogation, stood in full view of all, listening intently to Wilde's statements.
After Oscar Wilde's statement, his defender takes the floor again, then the solicitor general begins his reply, the end of which is postponed until tomorrow.
- Le XIXe Siècle - Sunday, May 26, 1895 - 99.8%
Compare - La Justice - Sunday, May 26, 1895 - 76.1%
Compare - Le Temps - Sunday, May 26, 1895 - 71.2%
Compare - Le Réveil - Monday, May 27, 1895 - 68.7%
Compare - Le Mot d'ordre - Monday, May 27, 1895 - 68.7%
Compare - L'Echo de Paris - Sunday, May 26, 1895 - 68.6%
Compare - Le Journal - Saturday, May 25, 1895 - 68.1%
Compare - Le Matin - Saturday, May 25, 1895 - 65.8%
Compare - Le Jour - Saturday, May 25, 1895 - 65.5%
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