Journal des débats politiques et littéraires - Saturday, May 25, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
LE PROCÈS OSCAR WILDE
Londres, le 24 mai.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la Cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris, hier matin, devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises de Londres.
Londres, 24 mai.— Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Londres, 24 mai. -- Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Londres.-- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises.
LONDRES, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
A dix heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture de l'audience il parle avec animation à son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas.
A dix heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée, et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Havick, le frère de lord Alfred Douglas.
A 10 heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son solicitor. A côté de lui se tient lord Douglas de Hawick, le frère de lord Alfred Douglas.
A dix heures et demie, Oscar Wilde fait son entrée et, en attendant l'ouverture du procès, cause vivement avec son sôlicitor. A côté de lui se tient lord Douglas qui porte toujours sur l'oeil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
Lord Douglas de Hawick porte toujours sur l'oeil gauche des traces visibles de sa rencontre avec son père.
Lord Douglas de Hawick porte toujours sur l'oeil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
Lord Douglas de Havick porte toujours sur l'oeil gauche des traces distinctes de sa rencontre avec son père.
Aussitôt que l'affaire est reprise, le ministère public cherche a montrer que le chef d'accusation se rapportant à Shelley peut être soumis au jury, et il cite un précédent, tiré de l'affaire Meunier; mais le magistrat s'en tient à l'opinion qu'il a donnée hier, et ce chef d'accusation sera soustrait au jury et pourra être soumis à la Cour des cas réservés.
Aussitôt que l'affaire est reprise, le ministère public cherche à montrer que le chef d'accusation se rapportant à Shelley peut être soumis au jury, et il cite un précédent tiré de l'affaire Meunier; mais le magistrat s'en tient à l'opinion qu'il a donné hier, et ce chef d'accusation sera soustrait au jury et pourra être soumis à la cour des cas réservés.
Aussitôt que l’affaire est reprise, le ministère public cherche à montrer que le chef d’accusation se rapportant à Shelley peut-être soumis au jury, et il cite un précédent tiré de l’affaire Meunier; mais le magistrat s'en tient à l’opinion qu’il a donnée hier, et ce chef d’accusation sera soustrait au jury et pourra être soumis à la cour des cas réservés.
Aussitôt que l’affaire est reprise, le ministère public cherche à montrer que le chef d’accusation se rapportant à Shelley peut-être soumis au jury, et il cite un précédent tiré de l’affaire Meunier; mais le magistrat s'en tient à l’opinion qu’il a donnée hier, et ce chef d’accusation sera soustrait au jury et pourra être soumis à la cour des cas réservés.
Aussitôt que l'affaire est reprise, le ministère public cherche à montrer que le chef d'accusation se rapportant à Shelley peut être soumis au jury, et il cite un précédent tiré de l'affaire Mounier ; mais le magistrat s'en tient à l'opinion qu'il a donné hier et ce chef d'accusation sera soustrait au jury et pourra être soummis à la cour des cas réservés.
Aussitôt que l'affaire est reprise, le ministère public cherche montrer que le chef d'accusation se rapportant à Shelly peut être soumis au jury, et il cite un précédent tiré de l'affaire Meunier; mais le magistrate s'en tient à l'opinion qu'il a donnée hier, et ce chef d'accusation sera soustrait au jury et pourra être soumis à la cour des cas réservés.
Sir Edward Clarke prononce la défense d'Oscar Wilde. Il reproche au ministère public d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L’avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d’avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d’une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L’avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d’avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d’une parfaite justice.
Sir Edward Clarke défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
L’avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public, auquel il reproche d’avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l’application d’une parfaite justice.
L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public, auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas a obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sorti très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer d'entrer tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par témoins, parce que ces preuves sont très imcomplètes.
Il refuse tout d’abord d'entrer dans le détail des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcout rapidement les diverses phrases du procès.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
L'avocat refuse d'entrer clans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phrases du procès.
Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dés qu'il a termine, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès qu'il a terrine, Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Dès que sir Edward Clarke a terminé, M. Oscar Wilde est appelé à témoigner. On lui donne une chaise.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant plusieurs années la famille Queensberry et que, actuellement, il entretient encore des relations d'amitié avec elle. Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles. En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore avec elle dans des termes d'amitié. Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'y a ni à expliquer ni à modider aucune d'entre elles. En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
Interrogé par son défenseur, Wilde raconte qu'il a connu pendant des années la famille Queensberry et que, actuellement, il est encore dans les termes de l'amitié avec elle (excepté le chef, le marquis). Il déclare que toutes ses affirmations dans les procès précédents ont été l'expression de la vérité. Il n'a ni à expliquer ni à modifier aucune d'entre elles. Il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
Oscar Wilde, interrogé par le ministère public, déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. Il a été constamment en communication avec lui.
Oscar Wilde, interrogé par le ministère public, déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. Il a été constamment en communication avec lui.
Oscar Wilde, interrogé par le ministère public, déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. Il a été constamment en communication avec lui.
Oscar Wilde, interrogé par le ministère public, déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. Il a été constamment en communication avec lui.
Oscar Wilde, interrogé par le ministère public, déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. Il a été constamment en communication avec lui.
Interrogé par le ministère public, il déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. Il a été constamment en communication avec ce dernier.
Oscar Wilde, interrogé par le ministère public déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris.
Interrogé par le ministère public, il déclare que lord Alfred Douglas habite actuellement Paris. (Rouen?)
Le ministère public parle de la correspondance que Wilde entretenait avec lord Alfred Douglas, et, citant en particulier une lettre où l'on remarque cette phrase: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public lit la fameuse lettre à lord Douglas dans laquelle Wilde s'exprime ainsi: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers. » Il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considers comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des bêtises », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère come un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'était là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un «poème en prose» et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers, » demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un homme.
Par exemple : Le ministère public prend eu main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème eu prose, en y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers; » il demande à Wilde si c'est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public, relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et la folie des baisers», demande à l’accusé si c’est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Les lettres adressées par Oscar Wilde à lord Alfred Douglas ont été l’objet de plusieurs questions. Le ministère public relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers » demande à l’accusé si c’est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
« C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction. »
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C’est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
—C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste, c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare : c'est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, pleind de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeun homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune tomme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante, je le veux bien, d'écrire à un jeune homme. Mais la question n'est pas de savoir ici si cette chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire, rien de plus. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
L'interrogatoire de Wilde porte ensuite sur ses relations avec Taylor. Il avoue qu'il est allé chez Taylor cinq ou six fois, qu'il y a rencontré Mavor et Schwabe, ainsi que Wood. Il n'y a jamais rencontré les frères Parker. D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils l'intéressaient, car il aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs la société qui se réunissait chez Taylor n’était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n’avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde ; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
D'ailleurs, la société qui se réunissait chez Taylor n'était pas uniquement composée de jeunes gens. Il y avait aussi des hommes de son âge. Wilde considérait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde; car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur an piédestal.
« La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse. »
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je
trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel,
mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- « Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvai en Taylor un homme de beaucoup de bon gout; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde ; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit. »
-- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
—Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût ; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût ; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit.
Wilde connaissait déjà Taylor depuis cinq mois quand il lui offrit un dîner à l'occasion de sa fête. C'est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation, Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre à l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit. Wilde continue à nier, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de Savoy hôtel.
C'est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker. L'interrogatoire se poursuit ainsi sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'Hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hotel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclaration de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cette interrogatoire, se tenait débout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec intention les déclarations de Wilde.
Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le sollicitor général commence sa répliqua dont 1a fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à aujourd'hui.
Après la déposition de Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le soliciter général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain. Service spéc.
Après la déposition de l’accusé, son défenseur a repris la parole, puis le solicitor général a commencé sa réplique dont la fin a été renvoyée à demain.
Après cette déposition, l'avocat de l'accusé reprend la parole; puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Le défenseur d'Oscar Wilde reprend alors la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après quelques questions posées par le ministère public, le défenseur d'Oscar Wilde reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après une nouvelle plaidoirie du défenseur, le solicitor commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
THE OSCAR WILDE TRIAL
London, May 24.
Oscar Wilde's trial resumed this morning before the Assize Court.
At half-past ten Oscar Wilde made his entrance and, while waiting for the opening of the hearing, he spoke animatedly to his solicitor. Beside him stands Lord Douglas of Hawick, brother of Lord Alfred Douglas.
Lord Douglas of Hawick still bears visible traces of his encounter with his father on his left eye.
As soon as the case is resumed, the Crown seeks to show that the count relating to Shelley can be put to the jury, and it cites a precedent, drawn from the Meunier case; but the magistrate stands by the opinion he gave yesterday, and this charge will be withdrawn from the jury and may be submitted to the Court of Reserved Cases.
Sir Edward Clarke delivers the defense of Oscar Wilde. He criticizes the public ministry for having forgotten that its mission does not consist in obtaining one after the other verdicts of conviction against the defendants, but indeed to contribute to the application of perfect justice.
The lawyer refuses to go into all the details of the evidence given by the witnesses, because this evidence is very incomplete.
Nevertheless, he quickly goes through the various phases of the trial.
As soon as he's finished, Oscar Wilde is called to testify. They give him a chair.
Questioned by his defender, Wilde recounts that he had known the Queensberry family for several years and that, currently, he still maintains relations of friendship with them. He declares that all his assertions in the previous trials have been the expression of the truth. He does not have to explain or modify any of them. In a word, he denies in the most formal way all the charges brought against him.
Oscar Wilde, questioned by the public ministry, declares that Lord Alfred Douglas currently lives in Paris. He was constantly in communication with him.
The Crown speaks of Wilde's correspondence with Lord Alfred Douglas, and, citing in particular a letter in which one notices this phrase: "Your purple lips are made for the music of songs and for the madness of kisses", he asks Wilde if that is a decent way to write to a young man.
"It's a literary thing," replies Wilde. It's like a Shakespearean sonnet; it is a whimsical and extravagant way of writing to a young man. The question is not whether something is proper or right: it is a literary expression. I consider this sentence for an artist, as a magnificent way of addressing a young man of cultured spirit, full of charm, of distinction. »
Wilde's questioning then turns to his relationship with Taylor. He confesses that he went to Taylor's five or six times, that he met Mavor and Schwabe there, as well as Wood. He never met the Parker brothers there. Besides, the society that met at Taylor's was not composed solely of young people. There were also men of his age. Wilde considered Taylor a cheerful companion. These young men had no intellectual charm for Wilde, but they interested him, for he was very fond of praise and admiration. He liked to be placed by them on a pedestal.
“Praise, he said, coming from anyone, is always delicious. »
"What charm did you find in Taylor?" asks the public prosecutor.
"Charm is not the right word," said Wilde; but I found
Taylor to be a man of great taste; he was not an intellectual, but he was skilful.
Wilde had already known Taylor for five months when he treated her to dinner on her birthday. It was at this dinner that Taylor introduced her to the two Parker brothers.
The interrogation continues, on all counts, Wilde denies everything, even the statements of the masseur and the chambermaid of the Savoy hotel.
The Marquess of Queensberry, throughout this interrogation, stood in full view of all, listening intently to Wilde's statements.
After Oscar Wilde's deposition, his defender takes the floor again, then the solicitor general begins his reply, the end of which is postponed until tomorrow.
- L'Echo de Paris - Sunday, May 26, 1895 - 70.3%
Compare - Le Réveil - Monday, May 27, 1895 - 70.2%
Compare - Le Mot d'ordre - Monday, May 27, 1895 - 70.2%
Compare - Le Journal - Saturday, May 25, 1895 - 69.7%
Compare - Le Jour - Saturday, May 25, 1895 - 65.9%
Compare - La Petite République - Sunday, May 26, 1895 - 61.3%
Compare