La Petite République - Sunday, May 26, 1895
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TRIBUNAUX
Le Procès d'Oscar Wilde
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises de Londres.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la Cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris, hier matin, devant la cour d’assises.
C'est hier qu’Oscar Wilde et Taylor ont comparu devant la cour d’assises de Londres.
Londres, 24 mai.— Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Londres, 24 mai. -- Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises de Londres.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la Cour d'assises de Londres.
L'affaire d'Oscar Wilde et de Taylor a commencé hier devant la cour d'assises de Londres.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde ont continué hier devant la Cour d'assises de Londres.
Oscar Wilde fait son entrée, accompagné de lord Douglas de Harwick, qui porte encore sur l’œil gauche les traces distinctes de sa dernière rencontre avec son père.
Le ministère public, en ce qui touche le chef d’accusation, se rapportant à Shelley, déclare qu’il sera soustrait au jury et pourra être soumis à la cour des cas réservés.
Sir Edward Clarke prononce la défense.
L’avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public, auquel il reproche d’avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l’application d’une parfaite justice.
L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public, auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas a obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L'avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L’avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d’avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d’une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense. L’avocat de Wilde défend son client en faisant le procès du ministère public auquel il reproche d’avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d’une parfaite justice.
Sir Edward Clarke prononce la défense d'Oscar Wilde. Il reproche au ministère public d'avoir oublié que sa mission ne consiste pas à obtenir coup sur coup des verdicts de condamnation contre les accusés, mais bien à concourir à l'application d'une parfaite justice.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sorti très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer d'entrer tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par témoins, parce que ces preuves sont très imcomplètes.
Il refuse tout d’abord d'entrer dans le détail des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes.
L'avocat refuse d'entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcout rapidement les diverses phrases du procès.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
L’avocat refuse d’entrer dans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
L'avocat refuse d'entrer clans tous les détails des preuves apportées par les témoins, parce que ces preuves sont très incomplètes. Néanmoins il parcourt rapidement les diverses phrases du procès.
Néanmoins, il parcourt rapidement les diverses phases du procès.
Dès qu'il a terminé, Oscar Wilde est appelé à témoigner.
Il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la façon la plus formelle toutes les accusations portées contre lui.
En un mot, il nie de la manière la plus formelle toutes les accusations d'immoralité portées contre lui.
Une fois de plus il a nié avec énergie toutes les accusations portées contre lui.
Cependant, au moment où il est interrogé par le ministère public, il a des réponses extrêmement curieuses.
Par exemple : Le ministère public prend eu main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème eu prose, en y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers; » il demande à Wilde si c'est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considers comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des bêtises », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère come un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'était là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un «poème en prose» et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers, » demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un homme.
Le ministère public lit la fameuse lettre à lord Douglas dans laquelle Wilde s'exprime ainsi: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers. » Il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public, relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et la folie des baisers», demande à l’accusé si c’est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public parle de la correspondance que Wilde entretenait avec lord Alfred Douglas, et, citant en particulier une lettre où l'on remarque cette phrase: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Les lettres adressées par Oscar Wilde à lord Alfred Douglas ont été l’objet de plusieurs questions. Le ministère public relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers » demande à l’accusé si c’est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare : c'est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, pleind de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
« C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction. »
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C’est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
—C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste, c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeun homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune tomme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante, je le veux bien, d'écrire à un jeune homme. Mais la question n'est pas de savoir ici si cette chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire, rien de plus. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
Et a propos de Taylor : Wilde considérait Taylor comm un gai compagnon.
Lui et d’autres jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde, car ce dernier aimait beaucoup la louange et l’admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
Les jeunes hommes qu'il y rencontrait n'avalent pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils intéressaient Wilde: car ce dernier aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il aimait à être placé par eux sur un piédestal.
Wilde considerait Taylor comme un gai compagnon. Ces jeunes hommes n'avaient pour Wilde aucun charme intellectuel, mais ils l'intéressaient, car il aimait beaucoup la louange et l'admiration. Il se plaisait à être placé par eux sur un piédestal.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le
ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde ; mais je trouvais Taylor un homme
de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un
intellectuel, mais il était adroit.
— La louange, dit-il, venant de n’importe qui, est toujours délicieuse.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n’est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n’était pas un intellectuel, mais il était adroit. »
-- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
- La louange, dit-il, venant de n'importe qui, est toujours délicieuse.
- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais Taylor un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- « Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvai en Taylor un homme de beaucoup de bon gout; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
— Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
— Charme, ce n'est pas le mot propre, dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
-- Quel charme trouviez-vous dans Taylor? demande le ministère public.
-- Charme, ce n'est pas le mot propre dit Wilde; mais je trouvais que Taylor était un homme de beaucoup de bon goût; ce n'était pas un intellectuel, mais il était adroit.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation, Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit, sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L’interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d’accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre à l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur de l'hôtel Savoy.
L'interrogatoire se poursuit. Wilde continue à nier, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de Savoy hôtel.
C'est à ce dîner que Taylor lui présenta les deux frères Parker. L'interrogatoire se poursuit ainsi sur tous les chefs d'accusation. Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'Hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hotel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l'hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
Wilde nie tout, même les déclarations du masseur et de la femme de chambre de l’hôtel Savoy.
L’interrogatoire se termine brusquement là-dessus.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec intention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclaration de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cette interrogatoire, se tenait débout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le sollicitor général commence sa répliqua dont 1a fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à aujourd'hui.
Après la déposition de Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le soliciter général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain. Service spéc.
Après la déposition de l’accusé, son défenseur a repris la parole, puis le solicitor général a commencé sa réplique dont la fin a été renvoyée à demain.
Après cette déposition, l'avocat de l'accusé reprend la parole; puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Le défenseur d'Oscar Wilde reprend alors la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après quelques questions posées par le ministère public, le défenseur d'Oscar Wilde reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après une nouvelle plaidoirie du défenseur, le solicitor commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
LAW COURTS
The Trial of Oscar Wilde
Oscar Wilde's trial resumed this morning before the London Assize Court.
Oscar Wilde enters, accompanied by Lord Douglas of Harwick, who still bears the distinct traces of his last meeting with his father in his left eye.
The Crown, with respect to the count, relating to Shelley, declares that he will be shielded from the jury and may be tried in the court of reserved cases.
Sir Edward Clarke delivers the defence.
Wilde's lawyer defends his client by prosecuting the public prosecutor, whom he criticizes for having forgotten that his mission does not consist in obtaining one after the other verdicts of conviction against the accused, but to contribute to the application of perfect justice.
The lawyer refuses to go into all the details of the evidence given by the witnesses, because this evidence is very incomplete.
Nevertheless, he quickly goes through the various phases of the trial.
As soon as he's finished, Oscar Wilde is called to testify.
He denies in the most formal way all the charges brought against him.
However, when he is questioned by the prosecution, he has extremely curious answers.
For example: The public ministry takes in hand the famous letter which Wilde regards as a poem in prose, noting in it the following sentence: “Your purple lips are made for the music of songs and for the madness of kisses; he asks Wilde if that is a decent way to write to a young man.
"It's a literary thing," replies Wilde. It's like a Shakespearean sonnet: it's a whimsical and extravagant way to write a young man. The question is not whether something is proper or right: it is a literary expression. I consider this sentence, for an artist, as a magnificent way of addressing a young man of cultivated spirit, full of charm, of distinction.
And about Taylor: Wilde considered Taylor a gay companion.
He and other young men had no intellectual charm for Wilde, but they interested Wilde, for the latter was very fond of praise and admiration. He liked to be placed by them on a pedestal.
— Praise, he said, coming from anyone, is always delicious.
"What charm did you find in Taylor?" asks the public
prosecutor.
"Charm is not the right word," said Wilde; but I found Taylor a man of great taste;
he was not an intellectual, but he was skilful.
The questioning continues on all counts. Wilde denies everything, even the statements of the masseur and the chambermaid of the Savoy hotel.
The interrogation ends abruptly there.
The Marquess of Queensberry, throughout this interrogation, stood in full view of all, listening intently to Wilde's statements.
After Oscar Wilde's deposition, his defender takes the floor again, then the solicitor general begins his reply, the end of which is postponed until tomorrow.