OSCAR WILDE EN ASSISES

Londres, 30 avril.

Les débats de l’affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la Cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.

Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle Centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris, ce matin, devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leurs clients respectifs de nombreuses conversations.
Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont été repris ce matin devant la cour criminelle centrale. Les avocats des accusés ont eu entre eux et avec leur clients respectifs de nombreuses conversations.

M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l’audience, qu’il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.

M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l’audience, qu’il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux,
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare que, pour permettre aux accusés d’être entendus comme témoins, il retire l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare que, pour permettre aux accusés d'être entendus comme témoins, il retire l'accusation d'avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
M. Gill, du ministère publie déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert en vue de procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre public, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d’actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l'accusation d'avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétration d'actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d'avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétuation d'actes immoraux.
Après un court débat M. Gill ministre publie, déclare retirer l’accusation d’avoir agi de concert dans le but de se procurer des personnes pour la perpétuation d’actes immoraux.
M. Gill, un des membres du ministère public, déclare, au début de l'audience, qu'il retire l'accusation formulée contre les inculpés d'avoir agi de concert dans des entremises coupables.

Sir Edward Clarke, l’avocat de Wilde, déclare alors que, s’il avait su que ce chef d’accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d’acquittement sur le chef d’accusation retiré.

Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l’avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d’accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés furent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d’accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare que, s'il avait su que ce chef d'accusation serait retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.
Sir Edward Clarke, l'avocat de Wilde, déclare alors que, s'il avait su que ce chef d'accusation devait être retiré, il aurait demandé que les accusés fussent jugés séparément. Il demande un verdict d'acquittement sur le chef d'accusation retiré.

M. Gill répond qu’il a retiré ce chef d’accusation pour donner aux accusés toute liberté d’être entendus comme témoins.

M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu’il a retiré ce chef d’accusation pour donner aux accusés toute liberté d’être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.
M. Gill répond qu'il a retiré ce chef d'accusation pour donner aux accusés toute liberté d'être entendus comme témoins.

Le juge accepte ce retrait du chef d’accusation, mais repousse la demande de l’avocat d’Oscar Wilde.

Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d’accusation, mais repousse la demande de l’avocat d’Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.
Le juge accepte ce retrait du chef d'accusation, mais repousse la demande de l'avocat d'Oscar Wilde.

La défense

Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.

Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.
Sir Edward Clarke commence la défense de son client. Il a, dès le début, repoussé toutes les accusations qui pèsent sur ce dernier.

Il se plaint amèrement de la presse dont les commentaires ont porté un grand préjudice à Oscar Wilde.

Il se plaint amèrement de la presse dont les commentaires ont porté un grand préjudice à Oscar Wilde.
Il se plaint amèrement de la presse dont les commentaires ont porté un grand préjudice à Oscar Wilde.
Il se plaint amèrement de la presse, dont les commentaires ont porté un grand préjudice à Oscar Wilde.

Celui-ci est l’auteur de Dorian Grey; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l’abominable crime reproché à son auteur.

Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey, mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Grey; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est l'auteur de Dorian Gre; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Celui-ci est auteur de Dorian Grey ; mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.
Oscar Wilde est l'auteur de Dorian Grey : mais ce livre ne mentionne aucun personnage ayant commis l'abominable crime reproché à son auteur.

Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia Le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.

Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia Le prêtre et son servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son Servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lorsque ce magazine publia le Prêtre et son servant, Wilde écrivit à l'éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.
Wilde a écrit dans le Caméléon, et lors que ce magazine publia le Prêtre et son Servant Wilde écrivit à l’éditeur pour décliner toute nouvelle collaboration de sa part.

Le défenseur s’efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu’elles soient, n’ont rien à faire ici.

Le défenseur s'efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu'elles soient, n'ont rien à faire ici.
Le défenseur s’efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu’elles soient, n’ont rien à faire ici.
Le défenseur s'efforce de montrer que les controverses littéraires, de quelque nature qu'elles soient, n'ont rien à faire ici.

Quant aux relations d’Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l’ami de lady Queensberry, qui est divorcée d’avec son mari.

Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quant aux relations d’Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l’ami de lady Queensberry, qui est divorcée d’avec son mari.
Quant aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quand aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari.
Quand aux relations d'Oscar Wilde avec la famille Queensberry, il explique que Wilde est encore l'ami de lady Queensberry, qui est divorcée d'avec son mari. Du reste, si Wilde avait été coupable, aurait-on intenté un procès en diffamation?

M. Gill s'oppose toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.

M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry, qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s’oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n’est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry, qui n'est pas représenté par un avocat.
M. Gill s'oppose à toute attaque contre lord Queensberry qui n'est pas représenté par un avocat.

Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?

Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation ?
Sir Edward Clarke poursuit sa defense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-il intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?
Sir Edward Clarke poursuit sa défense. Si Oscar Wilde avait été coupable, aurait-on intenté contre lord Queensberry un procès en diffamation?

La comparution de Wilde

Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.

Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis â prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.
Oscar Wilde est alors appelé comme témoin et admis à prêter serment.

L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.

L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées, sur un ton de voix très bas.
L'accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.
L’accusé répond aux questions qui lui sont posées sur un ton de voix très bas.

C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite su sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.

C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux Écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord, sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C'est d'abord sur son passage aux écoles de Dublin et d'Oxford, et ensuite sur sa carrière d'auteur dramatique, que Wilde est interrogé par son défenseur; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d’Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l’affaire actuelle.
C’est d’abord sur son passage aux écoles de Dublin et d Oxford et ensuite sur sa carrière d’auteur dramatique que Wilde est interrogé par son défenseur ; puis on arrive aux questions visant l'affaire actuelle.

— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?

— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
—Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité ?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edwark Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
— Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage, était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.
-- Dans votre procès contre lord Queensberry, demande sir Edward Clarke, vous avez nié toutes les accusations formulées contre vous. Votre témoignage était-il absolument conforme à la vérité?
-- Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.

— Absolument conforme à la vérité, répond Wilde.

Le défenseur reprend :

— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?

— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence?
- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
—Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence ?
— Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défendeur reprend : — Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d’indécence ?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?
Le défenseur reprend:
-- Y a-t-il la moindre chose qui soit vraie dans les allégations que vous auriez commis des actes d'indécence?

L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.

L’accusé répond qu'il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L’accusé répond qu’il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L'accusé répond qu'il n'y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.
L’accusé répond qu’il n’y a absolument rien de vrai dans aucune de ces allégations.

Histoire d’un sonnet

M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour b’agissait-il dans cette pièce de vers? »

M. Gill, ministère public, procède â un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère publie; procède à un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public, procède à un contre-interrogatoire de Wilde.
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
M. Gill, ministère public, procède un contre-interrogatoire de Wilde. Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quel espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
M. Gill, ministère public dans l’affaire Wilde, parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas dans equel est qu stion d'amour a demandé à l’accusé : « De quel espèce d'amour, s'agissait-il dans ceite pièce de vers ? »
Parlant d’un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d’amour, M. Gill demande : « De quelle espèce d’amour s’agissait-il dans cette pièce de vers ? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Douglas, dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »
Parlant d'un sonnet de lord Alfred Donglas dans lequel il est question d'amour, M. Gill demande: « De quelle espèce d'amour s'agissait-il dans cette pièce de vers? »

Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :

Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde, à cette question, reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:
Wilde à cette question reprend tout son aplomb et répond avec chaleur :
A cette question, Wilde reprend tout son aplomb et répond avec chaleur:

« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.

« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l'art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
«C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
-- C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l'amour de David pour Jonathan. C’est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite.C’est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d’œuvre de l’art.
C'est un amour qui n’est pas compris dans ce siècle ! C’est l’amour de David pour Jonathan. C’est l’amomr que Platon dans, sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C’est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu’elle est parfaite. C’est elle qui donne naissance aux plus grand chefs-d’œuvre de l’art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement ae la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'oeuvre de l'art.
C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est I'amour de David pour Jonathan. C'est I'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs-d'œuvre de l'art.
« C'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan, C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagessse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grande chefs-d'oeuvre de l'art.
« C’est un amour qu n'est pas compris dans ce sècle ! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa pbilosopuie, décrit comme le commencement de la sag sse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'œuvre de l’art.
« Oui, dans cette pièce de vers, il s'agit d'amour; mais c'est un amour qui n'est pas compris dans ce siècle! C'est l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon dans sa philosophie décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance au plus grands chefs-d'oeuvre de l'art. »
« C'est, dit-il, l'amour de David pour Jonathan. C'est l'amour que Platon, dans sa philosophie, décrit comme le commencement de la sagesse. C'est une affection spirituelle et profonde, aussi pure qu'elle est parfaite. C'est elle qui donne naissance aux plus grands chefs d'oeuvre de l'art. »

« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que Notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »

Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune; le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
«Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!»
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui !C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori. »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là, une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l’expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l’espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori ! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd’hui ! C’est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l’autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, lespérance, le charme de la vie. C’est lâ une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori.
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
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« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jaune renfermant en lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est la une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori! »
Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l'un plus âgé, l'autre plus jeune, le plus âgé possédant l'expérience du monde, le plus jeune renfermant en Iui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C'est là une chose, je le répète, que notre époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes au pilori!
« Un semblable amour est bien mal compris aujourd'hui ! C'est une affection intellectuelle entre deux hommes, l’un plus agé l’autre plus jeune, le plus agé possédant l’expérience du monde, le plus jeune possédant un lui la joie, l'espérance, le charme de la vie. C’est là une chose, je le répète, que no're époque ne comprend pas. Elle est le but des risées de tous et conduit ses adeptes an pilori ! »

Un incident

A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.

A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse, que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse, que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde a-t-il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
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A peine Wilde a-t-il terminé cette réponse que des applaudissements éclatent dans la galerie où se trouve le public.
A peine Wilde avait il terminé cette longue réponse que des applaudissements éclatèrent dans la galerie où se trouvait le public.

Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.

Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
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Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
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Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu’il fera évacuer la salle par toutes les personnes étrangères, à la première manifestation du public.
Le magistrat déclare qu'il fera évacuer la salle à la première manifestation du public.

M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.

M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l’accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l’hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
M. Gill presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.
Le magistrat menace de faire évacuer la salle. M. Gill poursuit son interrogatoire. Il presse l'accusé, devenu témoin, de questions relatives aux dépositions des personnes qui ont parlé de l'hôtel Savoy.

Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelly. Ce dernier avait l’habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.

Wilde nie tout. Il nie egalement les déclarations de Charles Parker et celles de Shelly. Ce dernier avait l’habitude de lui écrire dès lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.
Wilde nie tout. II nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses.

Atteins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.

Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse de circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu’il est allé à Paris avec Atkins et Schwobe ; mais le récit qu’Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe ; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Atkins, celui qui était allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.
Wilde nie tout. Il nie également les déclarations de Charles Parker et celles de Shelley. Celui-ci avait l'habitude de lui écrire des lettres à tendances religieuses. Atkins, celui qui est allé avec lui à Paris, a donné une idée fausse des circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés. Il est vrai qu'il est allé à Paris avec Atkins et Schwabe; mais le récit qu'Atkins a donné de ce voyage est faux, grotesque et monstrueux.

Wilde allait dans l’appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C’était pour fumer, causer et passer le temps.

Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l’appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C’était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps.
Wilde allait dans l'appartement de Taylor dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.
Wide allait dans l'appartement de Taylor, dans le quartier de Westminster. C'était pour fumer, causer et passer le temps. Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.

Des acteurs venaient souvent. Taylor était un pianiste accompli.

Mavor était un jeune homme amusant et agréable. Il a été comme invité d’ailleurs au Savoy-Hotel.

Mavor était un jeune homme amusant et agréable. Il a été comme invité d’ailleurs au Savoy-Hôtel.

OSCAR WILDE IN ASSES

London, April 30.

The proceedings in the Oscar Wilde and Taylor case were resumed this morning before the Central Criminal Court. The defendants' lawyers had many conversations with each other and with their respective clients.

Mr. Gill, one of the members of the Crown, declares, at the beginning of the hearing, that he withdraws the accusation of having acted in concert with a view to procuring persons for the commission of immoral acts.

Sir Edward Clarke, Wilde's lawyer, then said that if he had known that this charge would be withdrawn, he would have requested that the defendants be tried separately. He seeks a verdict of acquittal on the withdrawn count.

Mr. Gill replies that he withdrew this count to give the defendants complete freedom to be heard as witnesses.

The judge accepts this withdrawal of the charge, but rejects the request of Oscar Wilde's lawyer.

Defense

Sir Edward Clarke begins his client's defense. He has, from the start, rejected all the accusations against him.

He complains bitterly of the press whose comments have brought great harm to Oscar Wilde.

This is the author of Dorian Grey; but this book does not mention any character having committed the abominable crime reproached to its author.

Wilde wrote in the Chameleon, and when that magazine published The Priest and His Servant, Wilde wrote to the publisher to decline further collaboration on his part.

The defender strives to show that literary controversies, of whatever nature, have no place here.

As for Oscar Wilde's relationship with the Queensberry family, he explains that Wilde is still friends with Lady Queensberry, who is divorced from her husband.

Mr. Gill opposes any attack on Lord Queensberry who is not represented by counsel.

Sir Edward Clarke continues his defence. If Oscar Wilde had been guilty, would he have sued Lord Queensberry for libel?

Wilde's appearance

Oscar Wilde is then called as a witness and admitted to take the oath.

The accused answers the questions put to him in a very low tone of voice.

It is first on his passage to the schools of Dublin and Oxford and then on his career as a playwright that Wilde is questioned by his defender; then we come to the questions relating to the present case.

'In your case against Lord Queensberry,' asks Sir Edwark Clarke, 'you denied all the charges brought against you. Was your testimony absolutely consistent with the truth?

"Absolutely in accordance with the truth," replies Wilde.

The defender continues:

"Is there any truth to the allegations that you committed acts of indecency?"

The accused responds that there is absolutely no truth to any of these allegations.

story of a sonnet

Mr. Gill, Crown, cross-examines Wilde. Speaking of a sonnet of Lord Alfred Douglas in which love is spoken of, Mr. Gill asks: "What kind of love was in that piece of verse?" »

Wilde regains his composure and responds warmly to this question:

“It is a love that is not understood in this century! It's David's love for Jonathan. It is love that Plato, in his philosophy, describes as the beginning of wisdom. It is a spiritual and deep affection, as pure as it is perfect. It is she who gives birth to the greatest masterpieces of art.

“Such a love is very misunderstood today! It is an intellectual affection between two men, one older, the other younger, the older possessing experience of the world, the younger containing within him joy, hope, the charm of life. . This is something, I repeat, that our era does not understand. She is the butt of laughing stock and leads her followers to the pillory! »

An incident

No sooner had Wilde finished this long response than applause broke out in the gallery where the audience was.

The magistrate declares that he will have the room evacuated by all strangers, at the first manifestation of the public.

Mr. Gill continues his questioning. He urges the accused, who has become a witness, to ask questions relating to the depositions of the people who spoke of the Savoy hotel.

Wilde denies everything. He also denies the statements of Charles Parker and those of Shelly. The latter used to write her letters with religious tendencies.

Attains, the one who went with him to Paris, gave a false idea of the circumstances in which they met. It is true that he went to Paris with Atkins and Schwobe; but Atkins' account of this trip is false, grotesque, and monstrous.

Wilde was going to Taylor's flat in Westminster. It was to smoke, chat and pass the time.

Actors came often. Taylor was an accomplished pianist.

Mavor was a fun and pleasant young man. He was also a guest at the Savoy-Hotel.