A L’ÉTRANGER
LES SCANDALES DE LONDRES
Continuation du procès Oscar Wilde. — L’interrogatoire de l’accusé
(par dépêche)

Londres, 24 mai.— Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.

Londres, 24 mai. -- Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la Cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d'Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises.
Londres, 22 mai. -- L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris, hier matin, devant la cour d’assises.
LONDRES, 23 mai. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la cour d'assises.
LONDRES, 27 avril. -- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Londres.-- L'affaire Oscar Wilde et Taylor est reprise ce matin devant la cour d'assises.
Le procès d’Oscar Wilde a repris ce matin devant la cour d’assises de Londres.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la Cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
L'affaire Oscar Wilde a commencé ce matin devant la cour d'assises.
LONDRES, 23 mai. -- Par fil spécial. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise devant la cour d'assises.

L’audience a été consacrée à la défense de l’accusé présentée par l’avocat sir Edward Clarke.

L’audience a été consacrée à la défense de l’accusé, présentée par l'avocat sir Edward Clarke.

Après le plaidoyer de son avocat, Oscar Wilde a été appelé suivant l’usage anglais à témoigner. Dans son interrogatoire, Oscar Wilde a nié très énergiquement toutes les accusations portées contre lui.

Après le plaidoyer de son avocat, Oscar Wilde a été appelé, suivant l'usage anglais, à témoigner. Dans son interrogatoire, Oscar Wilde a nié très énergiquement toutes les accusations portées contre lui.

Les lettres adressées par Oscar Wilde à lord Alfred Douglas ont été l’objet de plusieurs questions. Le ministère public relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers » demande à l’accusé si c’est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.

Le ministère public, relevant dans une de ces lettres la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et la folie des baisers», demande à l’accusé si c’est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, en y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère come un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c'était là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », demande à Wilde si c’est là une manière délecte d’écrire à un jeune homme.
Par exemple : Le ministère public prend eu main la fameuse lettre que Wilde considère comme un poème eu prose, en y relevant la phrase suivante : « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers; » il demande à Wilde si c'est là une manière décente d’écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considers comme un poème en prose, et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des bêtises », demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public prend en main la fameuse lettre que Wilde considère comme un «poème en prose» et y relevant la phrase suivante: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers, » demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un homme.
Le ministère public lit la fameuse lettre à lord Douglas dans laquelle Wilde s'exprime ainsi: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers. » Il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.
Le ministère public parle de la correspondance que Wilde entretenait avec lord Alfred Douglas, et, citant en particulier une lettre où l'on remarque cette phrase: « Vos lèvres purpurines sont faites pour la musique des chants et pour la folie des baisers », il demande à Wilde si c'est là une manière décente d'écrire à un jeune homme.

— C’est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.

-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
« C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction. »
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
—C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste, c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C’est comme un sonnet de Shakespeare ; c’est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
— C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare : c'est une façon fantasque et extravagante d’écrire à un jeune homme. La question n’est pas de savoir si une chose est convenable ou juste : c’est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s’adresser à un jeune homme d’esprit cultivé, pleind de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeun homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante d'écrire à un jeune homme. La question n'est pas de savoir si une chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière magnifique de s'adresser à un jeune tomme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.
-- C'est une chose littéraire, répond Wilde. C'est comme un sonnet de Shakespeare; c'est une façon fantasque et extravagante, je le veux bien, d'écrire à un jeune homme. Mais la question n'est pas de savoir ici si cette chose est convenable ou juste: c'est une expression littéraire, rien de plus. Je considère cette phrase, pour un artiste, comme une manière de s'adresser à un jeune homme d'esprit cultivé, plein de charme, de distinction.

Au sujet de ses relations avec Taylor, l’accusé explique qu’il considérait ce dernier comme un gai compagnon et que c’est pour cela qu’il le fréquentait.

Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.

Pendant toute la durée de cet interrogatoire, le marquis de Queensberry se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
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Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclaration de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cette interrogatoire, se tenait débout, bien en vue de tous, écoutant avec attention les déclarations de Wilde.
Le marquis de Queensberry, pendant toute la durée de cet interrogatoire, se tenait debout, bien en vue de tous, écoutant avec intention les déclarations de Wilde.

Après la déposition de l’accusé, son défenseur a repris la parole, puis le solicitor général a commencé sa réplique dont la fin a été renvoyée à demain.

Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d’Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le sollicitor général commence sa répliqua dont 1a fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déclaration d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Après la déposition de Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le soliciter général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain. Service spéc.
Après la déposition d'Oscar Wilde, son défenseur reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à aujourd'hui.
Après cette déposition, l'avocat de l'accusé reprend la parole; puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
Le défenseur d'Oscar Wilde reprend alors la parole, puis le solicitor général commence sa réplique, dont la fin est renvoyée à demain.
Après quelques questions posées par le ministère public, le défenseur d'Oscar Wilde reprend la parole, puis le solicitor général commence sa réplique dont la fin est renvoyée à demain.
On a entendu, hier, le défenseur de M. Oscar Wilde, et le solicitor général a commencé la réplique dont la fin a été renvoyée à aujourd'hui.

ABROAD
THE LONDON SCANDALS
Continuation of the Oscar Wilde trial. - The interrogation of the accused
(by dispatch)

London, May 24. — The trial of Oscar Wilde resumed this morning before the Assize Court.

The hearing was devoted to the defense of the accused presented by the barrister Sir Edward Clarke.

After the plea of his lawyer, Oscar Wilde was called according to the English practice to testify. In his interrogation, Oscar Wilde strongly denied all the charges against him.

The letters addressed by Oscar Wilde to Lord Alfred Douglas have been the subject of several questions. The public prosecutor, noting in one of these letters the following sentence: "Your purple lips are made for the music of songs and for the madness of kisses" asks the accused if this is a decent way of writing to a young male.

"It's a literary thing," replies Wilde. It's like a Shakespearean sonnet; it is a whimsical and extravagant way of writing to a young man. The question is not whether something is proper or right: it is a literary expression. I consider this sentence, for an artist, as a magnificent way of addressing a young man of cultured spirit, full of charm, of distinction.

Regarding his relationship with Taylor, the accused explains that he considered the latter to be a gay companion and that is why he frequented him.

Throughout this interrogation, the Marquess of Queensberry stood in plain view, listening intently to Wilde's statements.

After the statement of the defendant, his defender took the floor again, then the solicitor general began his reply, the end of which was postponed until tomorrow.

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