Le Radical - Saturday, April 13, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
CHRONIQUE JUDICIAIRE
Le procès Oscar Wilde
On télégraphie de Londres, 11 avril:
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal do Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisé devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow Street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bowstreet.
Londres, 11 avril. - L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le Tribunal de Bow-Street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'nui devant le tribunal de Bow-Street.
Londres.-- Le procès Oscar Wilde a repris aujourd'hui devant le tribunal de Bow-street.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow street, à Londres.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise hier levant le tribunal de Bow street, à Londres.
Quant à Oscar Wilde, il comparaîtra jeudi devant le tribunal de Bow-Street.
Le procès de M. Oscar Wilde a commencé aujourd'hui devant le tribunal de police de Bow Street.
Le procès de M. Oscar Wilde a commencé aujourd’hui devant le tribunal de police de Bow-Street.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent., Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent… Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylord, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent. Public très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi, pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L'accusé est pâle et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde L’accusé est pâle et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé est pâle et parait très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L'accusé est pale et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé est pâle et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé est pale et parait très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé était pâle et très abattu.
Nous apprenons, à l'audience, que les bibliothécaires du British Muséum ont interdit de livrer désormais au public les ouvrages de M. Oscar Wilde; le comité directeur de la Free Library de Paddington a pris une décision analogue, et que les comités directeurs des bibliotheqnes publiques de Saint Louis et de Newark (Amérique), ont ordonné la destruction de tous les ouvrages signés Oscar Wilde.
MM. Newton, avocat de Taylor, et Gill, ministère public, interrogent tour à tour les témoins Parker et Atkins.
Le premier des deux jeunes gens avoue avoir commis des indécences; le second, âgé de vingt-deux ans, raconte qu'Oscar Wilde l'a emmenée Paris en qualité de secrétaire particulier. Ils descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines et, pendant leur séjour, le prévenu le conduisit chez un coiffeur pour lui faire couper et friser les cheveux.
Ils occupaient deux chambres contiguës, et le secrétaire particulier fut l'objet, un soir, de 1a part de son maître de propositions inavouables. D'autre part, en rentrant une nuit à l'hôtel, il vit un individu qui tenait compagnie à Oscar Wilde.
Un autre témoin, Shelly, qui avait fait la connaissance de Wilde chez un éditeur, rappelle certaines preuves d'affection qui lui ont été témoignées.
Plusieurs femmes qui ont habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor, déclarent que ces deux hommes ne recevaient jamais de femmes.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons. On demande à l’une d’elles :
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent etracontent leurs soupçons.
D'autres témoignages affirment les rapporta intimes qui existaient entre Taylor, Parker et Oscar Wilde.
Le juge, sir John Bridge, après ces auditions
JUDICIAL CHRONICLE
The Oscar Wilde Trial
A telegraph from London, April 11:
The Oscar Wilde case is being resumed today in Bow street court.
The co-defendant, Alfred Taylor, who was arrested on Saturday during the proceedings, is present. The audience is very large.
Sir Edward Clarke defends Oscar Wilde. The accused is pale and looks very dejected.
We learn, at the hearing, that the librarians of the British Museum have prohibited from delivering to the public henceforth the works of Mr. Oscar Wilde; the board of directors of the Free Library of Paddington took a similar decision, and that the boards of directors of the public libraries of Saint Louis and Newark (America), ordered the destruction of all the works signed Oscar Wilde.
MM. Newton, counsel for Taylor, and Gill, the Crown, alternately question witnesses Parker and Atkins.
The first of the two young people admits having committed indecency; the second, aged twenty-two, says that Oscar Wilde took her to Paris as private secretary. They stayed at a hotel on the Boulevard des Capucines and, during their stay, the defendant took him to a hairdresser to have his hair cut and curled.
They occupied two adjoining rooms, and the private secretary was the object, one evening, on the part of his master of unmentionable proposals. On the other hand, on returning one night to the hotel, he saw an individual who was keeping Oscar Wilde company.
Another witness, Shelly, who had met Wilde at a publisher's, recalls certain proofs of affection shown to him.
Several women who lived in the same houses as Parker and Taylor, declare that these two men never received women.
Other testimonies affirm the intimate relationships that existed between Taylor, Parker and Oscar Wilde.
The judge, Sir John Bridge, after these hearings