A L'ETRANGER
Le Procès Wilde

Londres.-- Le procès Oscar Wilde a repris aujourd'hui devant le tribunal de Bow-street.

Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bowstreet.
Londres, 11 avril. - L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le Tribunal de Bow-Street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'nui devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow Street.
Londres.-- Le procès de M. Oscar Wilde a commencé, aujourd'hui, devant le tribunal de police de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal do Bow Street.
Londres, 7 avril. -- Le procès de M. Oscar Wilde a commencé aujourd'hui devant le tribunal de police de Bow-Street.
Le procès de M. Oscar Wilde a commencé aujourd’hui devant le tribunal de police de Bow-Street.
Le procès de M. Oscar Wilde a commencé aujourd'hui devant le tribunal de police de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisé devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow Street.
Quant à Oscar Wilde, il comparaîtra jeudi devant le tribunal de Bow-Street.

Oscar Wilde est défendu par sir Edward Clarke, et Taylor par M. Moton.

Oscar Wilde est défendu par sir Edward Clarke, et Taylor par M. Newton.
Oscar Wilde est défendu par sir Edward Clarke, et Taylor par M. Newton.
Oscar Wilde est défendu par sir Edward Clarke, et Taylor par M. Newton.
Oscar Wilde est défendu par M. Edward Clarke et Taylor par M. Newton.
Wilde est défendu par sir Edward Clarke et deux autres défenseurs.

Oscar Wilde est très abattu. Il n'a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle, amaigri, plein de langueur. Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.

Oscar Wilde est très abattu. Il n'a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle, amaigri, plein de langueur. Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.

Le premier témoin interrogé est Parker, un jeune homme de vingt-et-un ans. Il déclare qu'il n'avait jamais commis aucun acte d'indécence contre nature avant de connaitre Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l'accompagner au Savoy-Hôtel, en présence de Taykor; mais Parker ignore si Taylor entendit cette invitation. La seconde fois qu'il se rendit au Savoy-Hôtel, Taylor n'était pour rien dans l'affaire.

C’est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Taylor. Il n’avait jamais commis aucun acte d’indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l’accompagner au Savoy-Hôtel, en présence de Taylor ; mais Parker ignore si Taylor entendit cette invitation. La seconde fois qu’il se rendit au Savoy-Hôtel, Taylor n’était pour rien dans l’affaire.
C'est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Taylor. Il n'avait jamais commis aucun acte d'indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l'accompagner au Savoy-Hôtel, en présence de Taylor; mais Parker ignore si Taylor entendit cette invitation. La seconde fois qu'il se rendit au Savoy-Hôtel, Taylor n'était pour rien dans l'affaire.
C’est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Tay lor. Il n’avait jamais commis aucun acte d’indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l'accompagner au Savoy-Hotel, en présence de Taylor, mais Parker ignore si Taylor en tendit cette invitation. La seconde fois qu’il se rendit au Savoy-Hotel, Taylor n’était pour rien dans l’affaire.
C'est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant, que Parker vit Taylor. Il n'avait jamais commis aucun acte d'indécence avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l'accompagner au Savoy-Hôtel, en présence de Taylor; mais Parker ignore si Taylor entendit cette invitation. La seconde fois qu'il se rendit au Savoy-Hôtel, Taylor n'était pour rien dans l'affaire.

Pressé de questions, ce témoin avoue qu'il a encore commis des indécences avec une personne que deux de ses camarades ont fait ensuite chanter dans les grands prix. Il a recu pour prix de sa coopération une forte somme.

Pressé de questions, le témoin avoue qu'il avait commis des indécences avec une personne que deux de ses complices ont ensuite fait chanter dans les hauts prix. Il a reçu lui-même une forte somme.
Pressé de questions, il avoue qu’il avait commis des indécences avec une personne que deux de ses camarades ont fait ensuite chanter dans les grands prix.

Le second témoin entendu est Atkins, un garcon de vingt-deux ans.

Au mois de novembre 1892, il fut invité à diner an restaurant de l'hotel de Florence. Là, il rencontra Oscar Wilde, Taylor et deux autres personnes. C'était la première fois qu'il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d'aller à Paris, avec lui en qualité de secrétaire particulirr. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines, où ils prirent deux chambres contigues.

Au mois de novembre 1892, il fut invité à dîner au restaurant de l’hôtel de Florence. Là, il rencontra Oscar Wilde, Taylor et deux autres personnes. C’était la première fois qu’il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d’aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où ils prirent deux chambres contiguës. Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupèrent ensemble dans la soirée.
Au moi de novembre 1892, il fut invité à dîner au restaurant de l'hôtel de Florence. Là, il rencontra Oscar Wilde, Taylor et deux autres personnes. C'était la première fois qu'il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d'aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où ils prirent deux chambres contiguës. Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupèrent ensemble dans la soirée.
« J'ai vingt-deux ans, dit-il, et je suis artiste dramatique. Au mois de novembre 1892, je reçu une invitation --anonyme-- à dîner, au restaurant de l'hôtel de Florence. Je m'y rendis. Là, je rencontrai Oscar Wilde, Taylor et deux autres personnes. C'était la première fois que je voyais Oscar Wilde. Celui-ci, au dessert, me demanda si je voulais l'accompagner à Paris en qualité de secrétaire particulier. J'acceptai. Nous partîmes deux jours après; nous descendîmes à Paris, dans un hôtel du boulevard des Capucines et nous prîmes deux chambres contigues. »
C’était la première fois qu’il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d’aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où ils prirent deux chambres contiguës.
C'était la première fois qu'il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d'aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines, où ils prirent deux chambres contigues.
Il a vingt-deux ans. Au mois de novembre 1892, il fut invité à dîner au restaurant de l'hôtel de Florence. Là, il rencontra Oscar Wilde, Taylor et deux autres personnes. C'était la première fois qu'il voyait Oscar Wilde. Celui-ci, lui passant le bras autour de la taille, lui demanda d'aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier.

Le lendemain après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupirent ensemble dans la soirée.

Le lendemain, après avoir déjeuné dans un calé, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupèrent ensemble dans la soirée.
Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur, où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur, où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain, après avoir dejeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupèrent ensemble dans la soirée. «C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie!» s'écrie le témoin à ce souvenir.

«C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie!» s'écrie le témoin à ce souvenir.

« C’est le meilleur souper que j’aie jamais fait de ma vie ! » s’écrie le témoin à ce souvenir.
« C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie! » s'écrie le témoin à ce souvenir.
« C’est le meilleur souper que j’aie jamais fait de ma vie ! » s'écrie le témoin à ce souvenir.
« C’est le meilleur souper que j’aie jamais fait de ma vie! » s’écrie le témoin à ce souvenir.
«C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie!» s'écrit le témoin à ce souvenir.
C’est le meilleur souper que j’aie fait de ma vie ! s’écrie le témoin à ce souvenir.
C'est le meilleur souper que j'aie fait de ma vie! s'écrit le témoin à ce souvenir.

Ensuite Oscar Wilde lui donna un louis avec lequel Atkins alla s'amuser au Moulin Rouge. Quand il rentra â l'hôtel, il trouva Wilde déjà couché avec quelqu'un. Il alla se coucher de son côté.

Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre; et après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit. Mais Atkins l'emempecha.

Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre et, après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre et, après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre, et après un instant de conversation voulut entrer dans son lit.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre; et après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit.

Dans la suite, Wilde lui écrivit d'aller la voir. Il y alla en effet. Wilde alla le voir également chez lui. Il y rencontra un jeune homme qui lui fut aussitot présente. Atkins dit qu'il fut présenter à Taylor qui, ainsi que Wilde, l'appelait Fred, diminutif de son nom de baptême Frédéric.

Wilde alla le voir également chez lui. Il y rencontra un jeune homme qui lui fut aussi tôt présenté. Atkins dit qu’il fut présenté à Taylor qui, ainsi que Wilde, l'appelait Fred, diminutif de son nom de baptême Frédéric.
Wilde alla le voir également chez lui. Il y rencontra un jeune homme qui lui fut aussitôt présenté, ainsi qu'à Taylor qui, de même que Wilde, l'appelait Fred, diminutif de son nom de baptême Frédéric.
Il alla le voir également chez lui. Il y rencontra un jeune homme qui lui fut aussitôt présenté, ainsi qu’à Taylor qui, de même que Wilde, l'appelait Fred, diminutif de son nom de baptême Frédéric.

M. Newton, défenseur de Taylor, procède au contre interrogatoire d'Atkins et lui dit:

M. Newton, défenseur de Taylor, procède au contre-interrogatoire d'Atkins et lui dit :
M. Newton, défenseur de Taylor, procède au contre-interrogatoire d'Atkins et lui dit:
M. Newton, défenseur de Taylor, procède au contre-interrogatoire d'Atkins et lui dit:
M. Newton, défenseur de Taylor, procède au contre-interrogatoire d'Atkins et lui dit :
M. Newton, d’censeur de Taylor, procède au contre-interrogatoire d’Atkins et lui dit :

« Mais vous ne prononcez aucun nom. N'avez-vous donc pas été présenté à Taylor par un monsieur à Parîs? »
Atkins répond: Oui.
-- Et cette meme personne ne vous a-t-elle pas également présenté à Wilde?
-- Oui, répond le témoin qui raconte ensuite avoir vécu avec un nommé Burton.

« Mais vous ne prononcez aucun nom. N'avez-vous donc pas été présenté à Taylor par un monsieur à Paris? »
Atkins répond : Oui.
— Et cette même personne ne vous a-t-elle pas également présenté à Wilde ?
— Oui, répond le témoin, qui raconte en suite avoir vécu avec un nommé Burton.
«Mais vous ne prononcez aucun nom. N'avez-vous donc pas été présenté à Taylor par un monsieur à Paris?»
Atkins répond: Oui.
-- Et cette même personne ne vous a-t-elle pas également présenté à Wilde?
-- Oui, répond le témoin, qui raconte ensuite avoir connu un nommé Burton.
M. Newton, défenseur de Taylor, procède au contre-interrogatoire d'Atkins et lui dit:
-- Mais vous ne prononcez aucun nom. N'avez-vous donc pas été présenté à Taylor par un monsieur à Paris?
Atkins répond: Oui.
-- Et cette même personne ne vous a-t-elle pas également présenté à Wilde?
-- Oui, répond le témoin qui raconte ensuite avoir vécu avec un nommé Burton.
Atkins répond: Oui.
-- Et cette meme personne ne vous a t-elle pas également présenté à Wilde?
-- Oui répond le témoin qui raconte ensuite avoir vécu avec un nommé Burton.

Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.

Un autre témoin, Shelly, raconte qu’il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur, où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur, où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu’il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur, où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur ou il était employé.
Un autre témoin. Shelly, raconte qu’il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Ce témoin fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Ce témoin fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.

Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le diner où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit.

Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit.
Wilde lui écrivit d’aller le voir à l’hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le diner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly a venir se coucher ; ce qu’il fit.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le diner où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher: ce qu'il fit.
Wilde lui écrivit d’aller lo voir à l’hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly, à venir se coucher; ce qu'il fit.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble et, après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à aller se reposer, l'embrassant à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d’aller le voir à l’hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils buvent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu’il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albemarle. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier. Wilde, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d’aller le voir à l’hôtel Albermarle. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu’il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.

Wilde, en lui conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises. Il le voit le lendemain.

Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.
Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises.
Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.

Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçuns et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.

Le propriétaire de l’hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale. après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son solliciter pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son solicitor pour une cote restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôlel Albermale, près plusieurs séjours de Wiide ehex lui, eut des soupçuns et chercha à se débarrasser de lui en le faisant, poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre pour une note restée en souffrance.

L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collèques racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:

L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opérèrent l’arrestation de Wilde, à l’hôtel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier ; cette lettre est ainsi conçue :
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mavor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opérèrent l’arrestation de Wilde, à l’hôtel Cadogan, dans Sloan-Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue :
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan-Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opèrent l’arrestation de Wilde, à l’hotel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mahor, un des témoins de samedi dernier ; cette lettre est ainsi conçue :
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opérèrent l’arrestation de Wilde à l’hôtel Cadogan, dans Sloon-Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva entre autres choses une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier.
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collèques racontent s'opérèrent l'arrestation de Wilde et Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouve entre autres choses, une lettre adressée à Mavor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:

« Cher Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »

« Cher Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
« Cher Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
« Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
Chez Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea.
« Cher Soti impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. 11 est à sa maison de Chelsea.
« Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
Cette lettre est ainsi conçue : « Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »

Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousses.

Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches da sept de ces pantalons étaient complètement décousses.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor : les poches de sept de ses pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces panlons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces panions étaient complètement décousues.
Les deux detectives trouvèrent huit pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces inexpressibles étaient décousues.

Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.

Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins, de peu d’importance, donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d’ailleurs, des faits déjà révêlés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance dorment quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n'aioutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins donnent des explications qui n'ajoutent rien à la clarté suffisante des faits.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
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Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les déux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers eu liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisoniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd'hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Le juge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les inculpés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l’affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

ABROAD
The Wilde Trial

London.-- The Oscar Wilde trial resumed at Bow-street Court today.

Oscar Wilde is defended by Sir Edward Clarke, and Taylor by Mr. Moton.

Oscar Wilde is very dejected. He no longer has that indifferent assurance of the first days. His face is pale, emaciated, full of languor. Taylor, on the contrary, has retained his dismissive good humor which denotes an absolute absence of all conscience and all dignity.

The first witness to be interviewed is Parker, a young man of twenty-one. He states that he had never committed any act of unnatural indecency before knowing Oscar Wilde. The latter asked him to accompany him to the Savoy-Hotel, in the presence of Taykor; but Parker does not know if Taylor heard this invitation. The second time he went to the Savoy-Hotel, Taylor had nothing to do with it.

Pressed with questions, this witness admits that he again committed indecency with a person whom two of his comrades then blackmailed in the grand prix. He received a large sum for his cooperation.

The second witness heard is Atkins, a twenty-two-year-old boy.

In November 1892, he was invited to dine in the restaurant of the hotel in Florence. There he met Oscar Wilde, Taylor and two other people. It was the first time he had seen Oscar Wilde. The latter asked him to go to Paris with him as private secretary. They left two days later, stayed at a hotel on the Boulevard des Capucines, where they took two adjoining rooms.

The next day after having lunch in a café, Wilde drove him to a hairdresser where he had his hair cut and curled. They sigh together in the evening.

"This is the best dinner I've ever had in my life!" exclaims the witness at this memory.

Then Oscar Wilde gave him a louis with which Atkins went to play at the Moulin Rouge. When he returned to the hotel, he found Wilde already in bed with someone. He went to sleep on his side.

Later in the night, Wilde came to find him in his room; and after a moment's conversation, wanted to get into bed. But Atkins stopped him.

Afterwards, Wilde wrote to her to go and see her. He actually went there. Wilde also went to see him at home. There he met a young man who was immediately present to him. Atkins says he was introduced to Taylor who, like Wilde, called him Fred, short for his Christian name Frederic.

Mr. Newton, counsel for Taylor, cross-examines Atkins and tells him:

“But you don't mention any names. Weren't you introduced to Taylor by a gentleman in Paris? »
Atkins responds: Yes.
-- And didn't this same person also introduce you to Wilde?
-- Yes, answers the witness who then tells of having lived with a man named Burton.

Another witness, Shelly, relates that he met Wilde at a publisher where he was employed.

Wilde wrote to him to go and see him at the Hotel Albermale. They dined together, and after dinner, where they drank a great deal, they went to Wilde's private salon, who, about one o'clock in the morning, invited Shelly to come to bed; what he did.

Wilde, leading her into the bedroom, kissed her several times. He sees him the next day.

The owner of the Albermale hotel, after several stays of Wilde at his place, had suspicions and sought to get rid of him by having him prosecuted by his solicitor for a bill that remained outstanding.

Police Inspector Charles Richard and one of his colleagues tell how the arrest of Wilde took place, at the Cadogan Hotel, in Sloan Street, and that of Taylor. These facts are known, except that at Taylor's was found, among other things, a letter addressed to Mabor, one of the witnesses last Saturday; this letter runs as follows:

“Dear Sidi, we can't wait any longer. Come see Oscar now. He is at his home in Chelsea. »

Detectives found eight pairs of pants at Taylor's; the pockets of seven of these pants were completely undone.

Some other witnesses of little importance give some explanations which add nothing to the sad clarity, sufficiently complete moreover, of the facts already revealed.

Sir John Bridge adjourns the case until tomorrow in eight and refuses to let the two prisoners out on bail.

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