L'AFFAIRE OSCAR WILDE

L'affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow street, à Londres.

L'affaire Oscar Wilde a été reprise hier levant le tribunal de Bow street, à Londres.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisé devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal do Bow Street.
L’affaire Wilde a été reprise hier, devant la Cour criminelle centrale de Londres.
L’affaire Oscar Wilde a recommencé hier devant la Cour centrale criminelle de Londres.

Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent.

Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi, pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylord, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent. Public très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent., Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent… Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.

Le public était très nombreux.

Sir Edward Clarke est chargé de la défense d'Oscar Wilde.

La petite salle de Bow-Street, qui sert ordinairement pour les affaires d'extradition, est trop petite pour contenir la foule des curieux qui occupent les abords de la cour; très peu peuvent entrer dans la salle qui est comble.

La petite salle de Bow-Street, qui sert ordinairement pour les affaires d'extradition, est trop petite pour contenir la foule des curieux qui occupent les abords de la Cour; très peu peuvent entrer dans la salle qui est comble.
La petite salle de Bow-Street, qui sert ordinairement pour les affaires d’extradition, est trop petite pour contenir la foule des curieux qui occupent les abords de la cour; très peu peuvent entrer dans la salle, qui est comble.
La petite salle de Bow Street, qui sert ordinairement pour les affaires d'extradition, est trop petite pour contenir la foule des curieux qui occupent les abords de la cour ; très peu peuvent entrer dans la salle qui est comble.
La petite salle de Bow-Street, qui sert ordinairement pour les affaires d'extradition, est trop petite pour contenir la foule des curieux qui occupent les abords de la cour; très peu peuvent entrer dans la salle qui ast comble.
LONDRES, 11 avril. Par fil spécial. La petite salle de Bow street, qui sert ordinairement aux affaires d'extradition, est trop petite pour contenir la foule des curieux qui occupent les abords de la cour; très peu peuvent entrer dans la salle, qui est comble.

Le magistrat est sir John Bridge.

On sait qu'ici il s'agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor, seront renvoyés ou non devant les assises criminelles.

On sait qu'ici il s'agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor, seront renvoyés ou non devant les assises criminelles.
On sait qu'ici il s'agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor, seront renvoyés ou non devant les assises criminelles.
On sait qu'ici il s'agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor, seront renvoyés ou non devant les assises criminelles.
On sait qu'ici il s'agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor, seront renvoyés ou non devant les assises criminelles.
On sait qu'ici il s'agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor,seront renvoyés ou non devant les assises criminelles.
On sait qu'il s’agit simplement de savoir si les deux inculpés, Oscar Wilde et Taylor, se ront renvoyés ou non devant les assises criminelles.

A l'audience de samedi dernier, le ministère public avait procédé à l'interrogatoire des témoins. C est maintenant le tour de la défense.

A l'audience de samedi dernier, le ministre public avait procédé à l'interrogatoire des témoins. C'est maintenant le tour de la défense.
A l'audience de samedi dernier, le ministère public avait procédé à l'interrogatoire des témoins. C'est aujourd'hui le tour de la défense.
A l'audience de samedi dernier, le ministère public avait procédé à l'interrogatoire des témoins. C'est aujourd'hui le tour de la défense.
A l'audience de samedi dernier, le ministère public avait procédé à son interrogatoire des témoins. C'est aujourd'hui le tour de la défense.
A l’audience de samedi dernier, le ministère public avait procédé à son interrogatoire des témoins. C’est aujourd’hui le tour de la défense.
A l'audience de samedi dernier, le ministère public avait procédé à son interrogatoire des témoins. C'est aujourd'hui le tour de la défense.

L'accusation qui pèse sur Taylor est de s'être entendu avec Wilde pour lui procurer des jeunes gens dans un but que la loi réprouve.

L'accusation qui pèsé sur Taylor est de s'être entendu avec Wilde pour lui procurer des jeunes gens dans un but que la loi réprouvre.
L'accusation qui pèse sur ce dernier est de s'être entendu avec Wilde pour lui procurer des jeunes gens dans un but que la loi réprouve.
L’accusation qui pèse sur ce dernier est de s'être entendu avec Wilde pour lui procurer des jeunes gens dans un but que la loi réprouve.
L’accusation qui pèse sur ce dernierm c'est de s'être entendu avec Wilde pour lui procurer des jeunes gens dans un but que la loi réprouve.
Oscar Wilde est défendu par sir Edward Clarke, et Taylor par M. Newton. L'accusation qui pèse sur Taylor est de s'être entendu avec Wilde pour lui procurer des jeunes gens dans un but que la loi réprouve.

Oscar Wilde est très abattu. Il n'a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle, amaigri, plein de langueur.

Oscar Wilde est très abattu. Il n'a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle, amaigri, plein de langueur.
Oscar Wilde est très abattu. Il n'a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle, amaigri, plein de langueur.
Oscar Wilde est très abattu. Il n’a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle, amaigri, plein de langueur.
Oscar Wilde est très abattu. Il n'a plus cette assurance indifférente des premiers jours. Son visage est pâle et amaigri.

Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.

Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.
Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.
Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse, qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.
Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.
Taylor, au contraire, a conservé sa bonne humeur dédaigneuse qui dénote une absence absolue de toute conscience et de toute dignité.

Sir Edward Clarkc prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d'Oscar Wilde.

Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d’Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d'Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d’Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvl interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d'Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que,suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoique ce soit à la défense d'Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins, déjà entendus samedi dernier, ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d’Oscar Wilde.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d'Oscar Wilde. En conséquence, il déclare qu'il ne procèdera pas à un nouvel interrogatoire.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d’Oscar Wilde. En conséquence, il déclare qu’il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.
Sir Edward Clarke prend la parole et explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d'Oscar Wilde. En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.

En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.

En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.
En conséquence, il déclare qu’il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.
En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.
En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.
En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.
En conséquence, il déclare qu'il ne procédera pas à un nouvel interrogatoire.

LES TEMOINS

Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi.

Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi.
Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi.
Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi.
Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi.
Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi.
Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques-uns des témoins de samedi et notamment à deux jeunes gens, Parker et Atkins.
Mais M. Newton, avocat de Taylor, demande à poser un certain nombre de questions à quelques uns des témoins de samedi, et notamment à deux jeunes gens, Parkes et Atkins.

On introduit alors James Parker, garçon de restaurant, Atkins, comédien, qui servit de secrétaire à Oscar Wilde et qui fit avec lui un voyage à Paris, Shelly, etc. Nous sommes obligés d'avouer que le courage nous manque pour reproduire les détails répugnants que les télégrammes nous apportent au sujet de ces dépositions. La pudique Albion eût peut-être agi sagement en cachant sous le huis clos de pareilles horreurs.

On introduit alors James Parker, garçon de restaurant, Atkins, comédien, qui servit de secrétaire à Oscar Wilde et qui fit avec lui un voyage à Paris, Shelly, etc. Nous sommes obligés d'avouer que le courage nous manque pour reproduire les détails répugnants que les télégrammes nous apportent au sujet de ces dépositions. La pudique Albion eût peut-être agi sagement en cachant sous le huis clos de pareilles horreurs.

Il paraît qu'à Londres on s'arrache les feuilles qui rendent un compte détaillé de ce genre d'audiences, mais le lecteur français veut être respecté, et nous nous contenterons de dire que les témoins apportent une lumière cruelle sur les moeurs d'une partie de la grande cité anglaise.

Il paraît qu'à Londres on s'arrache les feuilles qui rendent un compte détaillé de ce genre d'audiences, mais le lecteur français peut être respecté, et nous nous contenterons de dire que les témoins apportent une lumière cruelle sur les moeurs d'une partie le la grande cité anglaise.

On va, sans que nous nous expliquions davantage, avoir une idée de ce qu'étaient les accusés:

On va, sans que nous nous expliquions davantage, avoir une idée de ce qu'étaient des accusés:

Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que les accusés déposent et racontent leurs soupçons.

Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que les accusés déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent etracontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons. On demande à l’une d’elles :

On demande à l'une d'elles:
-- Est-ce que Taylor ne recevait jamais de femmes ?
-- Oh non ! répond-elle.

On demande à l'une d'elles:
- Est-ce que Taylor ne recevait jamais de femmes?
- Oh non! répond-elle.
On demande à l'une d'elles:
- Est-ce que Taylor ne recevait jamais le femmes?
- Oh non! répond-elle.
On demande à l'une delle:
-- Est-ce que Taylor ne recevait jamais des femmes?
-- Oh non! répond-elle.

Le garçon d'un petit hôtel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, donne le même renseignement.

Le garçon d'un petit hôtel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, donne le même renseignement.
Le garçon d’un petit hôtel de Saint-Jame’s Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d’un petit hôtel de Saint-James Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d'un petit hôtel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d’un petit hôtel do Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d'un petit hotel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habite quelques temps, raconte les memes faits.

Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre pour une note restée en souffrance.

Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale. après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son solliciter pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son solicitor pour une cote restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçuns et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôlel Albermale, près plusieurs séjours de Wiide ehex lui, eut des soupçuns et chercha à se débarrasser de lui en le faisant, poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.

L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan-Street et celle de Taylor.

L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan-Street et celle de Taylor.

Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.

Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor : les poches de sept de ses pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousses.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches da sept de ces pantalons étaient complètement décousses.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces panlons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces panions étaient complètement décousues.
Les deux detectives trouvèrent huit pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces inexpressibles étaient décousues.

Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les déux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers eu liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisoniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd'hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Le juge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les inculpés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l’affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

THE OSCAR WILDE AFFAIR

The Oscar Wilde case was resumed yesterday in Bow Street Court, London.

The co-defendant, Alfred Taylor, who was arrested Saturday during the proceedings, was present.

The audience was very large.

Sir Edward Clarke is in charge of the defense of Oscar Wilde.

The little room in Bow Street, which is usually used for extradition cases, is too small to contain the crowd of curious people who occupy the approaches to the court; very few can enter the room which is full.

The magistrate is Sir John Bridge.

We know that here it is simply a question of knowing whether the two accused, Oscar Wilde and Taylor, will be returned or not to the criminal assizes.

At last Saturday's hearing, the public prosecutor questioned the witnesses. It is now the defense's turn.

The accusation which weighs on Taylor is of having agreed with Wilde to provide him with young men for a purpose which the law condemns.

Oscar Wilde is very dejected. He no longer has that indifferent assurance of the first days. His face is pale, emaciated, full of languor.

Taylor, on the contrary, has retained his dismissive good humor which denotes an absolute absence of all conscience and all dignity.

Sir Edward Clarkc takes the floor and explains that, according to his opinion, a new examination of the witnesses already heard last Saturday could not contribute anything whatsoever to the defense of Oscar Wilde.

Consequently, he declares that he will not proceed to a new interrogation.

WITNESSES

But Mr. Newton, Taylor's lawyer, asks to ask a number of questions of some of Saturday's witnesses.

We then introduce James Parker, waiter, Atkins, actor, who served as secretary to Oscar Wilde and who traveled with him to Paris, Shelly, etc. We are compelled to confess that we lack the courage to reproduce the repugnant details which the telegrams bring us concerning these depositions. The modest Albion would perhaps have acted wisely in hiding such horrors behind closed doors.

It seems that in London they pull out the sheets that give a detailed account of this kind of hearings, but the French reader wants to be respected, and we will content ourselves with saying that the witnesses shed a cruel light on the mores of part of the great English city.

We will, without explaining ourselves further, have an idea of who the accused were:

Several women who had lived in the same houses as the accused testified and recounted their suspicions.

One of them is asked:
-- Did Taylor ever receive women?
-- Oh no ! she answers.

The waiter at a small hotel in Saint-Jame's Palace, where Wilde lived for some time, gives the same information.

The owner of the Albermale hotel, after Wilde's stays with him several times, became suspicious and tried to get rid of him by having him prosecuted for a bill that remained outstanding.

The police inspector Charles Richard and one of his colleagues tell how the arrest of Wilde took place, at the Cadogan hotel, in Sloan-Street and that of Taylor.

Detectives found eight pairs of pants at Taylor's; the pockets of seven of these pants were completely unstitched.

Sir John Bridge adjourned the case until tomorrow in eight and refused to let the two prisoners out on bail.