UN SCANDALE A LONDRES
Le procès d'Oscar Wilde

Londres, 11 avril.

L'instruction du procès Oscar Wilde continue. On entend les témoins. Un prévenu est assis à côté de Wilde : Taylor, accusé d'avoir été le pourvoyeur du poète.

L’instruction du procès Oscar Wilde continue. On entend les témoins. Un prévenu est assis à côté de Wilde : Taylor, accusé d’avoir été le pourvoyeur du poète.

On introduit le témoin Parker.

C'est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Taylor. Il n'avait jamais commis aucun acte d'indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demande de l'accompagner au Savoy Hotel, en présence de Taylor.

C’est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Taylor. Il n’avait jamais commis aucun acte d’indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l’accompagner au Savoy Hôtel, en présence de Taylor.
C’est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Taylor. Il n’avait jamais commis aucun acte d’indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l’accompagner au Savoy-Hôtel, en présence de Taylor ; mais Parker ignore si Taylor entendit cette invitation. La seconde fois qu’il se rendit au Savoy-Hôtel, Taylor n’était pour rien dans l’affaire.
C'est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Taylor. Il n'avait jamais commis aucun acte d'indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l'accompagner au Savoy-Hôtel, en présence de Taylor; mais Parker ignore si Taylor entendit cette invitation. La seconde fois qu'il se rendit au Savoy-Hôtel, Taylor n'était pour rien dans l'affaire.
C’est dans une entrevue qui eut lieu au Saint-James-Restaurant que Parker vit Tay lor. Il n’avait jamais commis aucun acte d’indécence contre nature avant de connaître Oscar Wilde. Ce dernier lui demanda de l'accompagner au Savoy-Hotel, en présence de Taylor, mais Parker ignore si Taylor en tendit cette invitation. La seconde fois qu’il se rendit au Savoy-Hotel, Taylor n’était pour rien dans l’affaire.

Deuxième témoin: Atkins comédien, interrogé par M. Gill, répond ainsi:
- J'ai vingt-deux ans. Au mois de novembre 1892, je fus invité à dîner au restaurant de l'hôtel de Florence.

— J’ai vingt-deux ans. Au mois de novembre 1892, je fus invité à dîner au restaurant de l’hôtel de Florence.

Là, il rencontra Oscar Wilde, Taylor et deux autres personnes.

C'était la première fois qu'il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d'aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier.

C’était la première fois qu’il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d’aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier.
C'était la première fois qu'il voyait Oscar Wilde. Celui-ci lui demanda d'aller à Paris, avec lui en qualité de secrétaire particulier.
C’était la premiére fois qu’il voyait Oscar Wilde. Celui-ci loi demanda d’aller à Paris avec lui en qualité de secrétaire particulier.

Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où il prirent deux chambres contiguës.

Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines ou ils prirent deux chambres contiguës.
Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où ils prirent deux chambres contigues.
Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevord des Capucines, où ils prirent deux chambres contigues.
Affaire conclue. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où ils prirent deux chambres contiguës.
Affaire conclue. Ils partirent deux jours après, descendirent dans un hôtel du boulevard des Capucines où ils prirent deux chambres contiguës.

Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur, où il lui fit couper et friser les cheveux.

Le lendemain, après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur, où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain, après avoir dejeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux.
Le lendemain après avoir déjeuné dans un café, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupirent ensemble dans la soirée.
Le lendemain, après avoir déjeuné dans un calé, Wilde le conduisit chez un coiffeur où il lui fit couper et friser les cheveux. Ils soupèrent ensemble dans la soirée.

Ils soupèrent ensemble dans la soirée.

C'est le meilleur souper que j'aie fait de ma vie! s'écrit le témoin à ce souvenir.

C’est le meilleur souper que j’aie fait de ma vie ! s’écrie le témoin à ce souvenir.
«C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie!» s'écrit le témoin à ce souvenir.
« C’est le meilleur souper que j’aie jamais fait de ma vie ! » s’écrie le témoin à ce souvenir.
« C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie! » s'écrie le témoin à ce souvenir.
« C’est le meilleur souper que j’aie jamais fait de ma vie ! » s'écrie le témoin à ce souvenir.
«C'est le meilleur souper que j'aie jamais fait de ma vie!» s'écrie le témoin à ce souvenir.
« C’est le meilleur souper que j’aie jamais fait de ma vie! » s’écrie le témoin à ce souvenir.

Ensuite Oscar Wilde lui donna un louis avec lequel Atkins alla s'amuser au Moulin-Rouge.

Ensuite Oscar Wilde lui donna un louis avec lequel Atkins alla s’amuser au Moulin-Rouge.
Ensuite Oscar Wilde lui donna un louis avec lequel Atkins alla s’amuser au Moulin-Rouge.
Ensuite, Oscar Wilde lui donna un louis, avec lequel Atkins alla s'amuser au Moulin-Rouge.
Ensuite Oscar Wilde lui donna un louis avec lequel Atkins alla s'amuser au Moulin Rouge.
Ensuite, Oscar Wilde lui donna un louis, avec lequel Atkins alla s’amuser au Moulin Rouge.

Quand il entra à l'hôtel, il trouva Wilde déjà couché avec quelqu'un.

Quand il entra à l’hôtel, il trouva Wilde déjà couché avec quelqu’un.
Quand il rentra à l’hôtel, il trouva Wilde déjà couché avec quelqu'un.
Quand il rentra â l'hôtel,il trouva Wilde déjà couché avec quelqu'un.
Quand il rentra à l'hôtel, il trouva Wilde en compagnie de quelqu'un. Il alla se coucher.
Quand il rentra à l’hôtel, il trouva Wilde en compagnie de quelqu’un. Il alla se coucher.

Il alla se coucher de son côté.

Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre et, après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit.

Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre et, après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre, et après un instant de conversation voulut entrer dans son lit.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre; et après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre; et après un instant de conversation, voulut entrer dans son lit. Mais Atkins l'emempecha.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre; la conversation languissant, Wilde se retira.
Plus avant dans la nuit, Wilde vint le trouver dans sa chambre ; la conversation languissant, Wilde se retira...

Mais Atkins l'en empêcha.

Wilde lui donne, à Paris, un porte-cigarettes en argent et, quand ils furent de retour à Londres, il lui fit don de trois livres sterling, en débarquant à la station de Victoria.

Wilde lui donna, à Paris, un porte-cigarettes en argent et, quand ils furent de retour à Londres, il lui fit don de trois livres sterling, en débarquant à la station de Victoria.
Wilde lui donna à Paris un porte-cigarettes en argent et quand ils furent de retour à Londres il lui fit don de trois livres, en débarquant à la station de Victoria.
Wilde lui donna à Paris un porte-cigarettes en argent, et quand ils furent de retour à Londres il lui fit don de trois livres eu débarquant à la station de Victoria.
Wilde lui donna à Paris un porte-cigares en argent, et quand ils furent de retour à Londres il lui fit don de trois livres, en débarquant à la station de Victoria.
Wilde lui donna à Paris un porte-cigare en argent, et quand il furent de retour à Londres il lui fit don de trois livres, en débarquant à la station de Victoria.
Wilde lui donna à Paris un porte-cigarettes en argent, et quand ils furent de retour à Londres, il lui fit don de trois livres en débarquant à la station de Victoria. Dans la suite, Wilde lui écrivit de venir le voir. Il y alla en effet.

Dans la suite, Wilde lui écrivit d'aller le voir. Il y alla en effet.

Dans la suite, Wilde lui écrivit d’aller le voir. Il y alla en effet.
Dans la suite, Wilde lui écrivit d'aller le voir. Il y alla en effet.
Dans la suite. Wilde lui écrivit d’aller le voir. Il y alla eu effet.
Dans la suite, Wilde lui écrivit de venir le voir. Il y alla en effet.

D. - Etait-ce une femme ou bien un homme qui était couché avec Wilde lorsque vous êtes rentré à l'hôtel?
R. - C'était un homme.

D. Etait-ce une femme ou bien un homme qui était couché avec Wilde lorsque vous êtes rentré à l'hôtel ?
R. C’était un homme.
D. -- Etait-ce une femme ou bien un homme qui était couché avec Wilde lors que vous êtes rentré à l'hôtel?
R. -- C'était un homme.
D. -- Etait-ce une femme ou bien un homme qui était couché avec Wilde lorsque vous être rentré à l'hôtel?
R. -- C'était un homme.
D. — Etait-ce une femme ou bien un homme qui était couché avec Wilde lorsque vous êtes rentré à l’hôtel ?
D. — Etait-ce une femme ou bien un homme qui était couché avec Wilde lorsque vous êtes rentré à l’hôtel ?
D. Etait-ce une femme ou un homme qui se trouvait avec Wilde, lorsque vous êtes rentré à l'hôtel?
R. C'était un homme, naturellement (sic).
D. Etait ce une femme ou un homme qui se trouvait avec Wilde lorsque vous être rentré à l’hôtel?

Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur, où il était employé.

Un autre témoin, Shelly, raconte qu’il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur, où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu’il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur, où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur ou il était employé.
Un autre témoin. Shelly, raconte qu’il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Un autre témoin, Shelly, raconte qu'il fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Ce témoin fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.
Ce témoin fit la connaissance de Wilde chez un éditeur où il était employé.

Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit.

Wilde lui écrivit d’aller le voir à l’hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le diner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly a venir se coucher ; ce qu’il fit.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le diner où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher: ce qu'il fit.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le diner où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit.
Wilde lui écrivit d’aller lo voir à l’hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly, à venir se coucher; ce qu'il fit.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble et, après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à aller se reposer, l'embrassant à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d’aller le voir à l’hôtel Albermale. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils buvent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier de Wilde qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu’il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d'aller le voir à l'hôtel Albemarle. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier. Wilde, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu'il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises.
Wilde lui écrivit d’aller le voir à l’hôtel Albermarle. Ils dînèrent ensemble, et après le dîner, où ils burent beaucoup, ils se rendirent dans le salon particulier qui, vers une heure du matin, invita Shelly à venir se coucher; ce qu’il fit. Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.

Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises.

Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.
Wilde, en le conduisant dans la chambre à coucher, l’embrassa à plusieurs reprises.
Wilde, en lui conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises. Il le voit le lendemain.

Shelly admirait beaucoup le poète Wilde, et il était très flatté que Wilde montrât tant d'affection pour lui.

Shelly admirait beaucoup le poète Wilde, et il était très flatté que Wilde montrât tant d’affection pour lui.
Shelly admirait beaucoup le poète Wilde et il était très flatté que Wilde montrât tant d’affection pour lui.
Shelly admirait beaucoup le poète Wilde et il était très flatté que Wilde montrât tant d’affection pour lui.
Shelly admirait beaucoup le poète Wilde et il était très flatté que Wilde montrât tant d’affection pour lui.
Shelly admirait beaucoup le poète Wilde et il était très flatté que Wilde montràt tant d'affection pour lui.
Shelly admirait beaucoup le poète Wilde et il était très flatté que Wilde montrât tant d'affection pour lui.
Shelly, d'ailleurs, déclare avec candeur qu'il admirait beaucoup le poète Wilde et qu'il était « très flatté que Wilde montrât tant d'affection pour lui ».

Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.

Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent etracontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que les accusés déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que les accusés déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons. On demande à l’une d’elles :
Plusieurs femmes qui ont habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor, déclarent que ces deux hommes ne recevaient jamais de femmes.

On demande à l'une d'elles:
- Est-ce que Taylor ne recevait jamais de femmes?
- Oh non! répond-elle.

On demande à l'une d'elles:
-- Est-ce que Taylor ne recevait jamais de femmes ?
-- Oh non ! répond-elle.
On demande à l'une d'elles:
- Est-ce que Taylor ne recevait jamais le femmes?
- Oh non! répond-elle.
On demande à l'une delle:
-- Est-ce que Taylor ne recevait jamais des femmes?
-- Oh non! répond-elle.

Les détectives entendus ensuite racontent l'arrestation des prévenus. Ils trouvèrent huit pantalons chez Taylor.

Les détectives entendus ensuite racontent l’arrestation des prévenus. Ils trouvèrent huit pantalons chez Taylor.

Les détails qu'ils donnent sont tellement immondes que je renonce à vous les télégraphier, par respect pour les lecteurs de l'Intransigeant.

Les détails qu’ils donnent sont tellement immondes que je renonce à vous les télégraphier, par respect pour les lecteurs de la France.

Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.

Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins, de peu d’importance, donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d’ailleurs, des faits déjà révêlés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance dorment quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n'aioutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins donnent des explications qui n'ajoutent rien à la clarté suffisante des faits.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les déux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers eu liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisoniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd'hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Le juge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les inculpés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l’affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

A SCANDAL IN LONDON
Oscar Wilde's Trial

London, April 11.

The Oscar Wilde trial continues. We hear the witnesses. A defendant is seated next to Wilde: Taylor, accused of having been the poet's purveyor.

Witness Parker is brought in.

It was in an interview which took place at the Saint-James-Restaurant that Parker saw Taylor. He had never committed any act of unnatural indecency before he knew Oscar Wilde. The latter asks him to accompany him to the Savoy Hotel, in the presence of Taylor.

Second witness: Comedian Atkins, questioned by Mr. Gill, answers thus:
- I'm twenty-two years old. In November 1892, I was invited to dine at the restaurant of the Hotel de Florence.

There he met Oscar Wilde, Taylor and two other people.

It was the first time he had seen Oscar Wilde. He asked her to go to Paris with him as private secretary.

They left two days later, stayed at a hotel on the Boulevard des Capucines, where they took two adjoining rooms.

The next day, after having lunch in a cafe, Wilde drove him to a hairdresser, where he had his hair cut and curled.

They have supper together in the evening.

This is the best dinner I've had in my life! writes the witness to this memory.

Then Oscar Wilde gave him a louis with which Atkins went to play at the Moulin-Rouge.

When he entered the hotel, he found Wilde already sleeping with someone.

He went to sleep on his side.

Later in the night, Wilde came to find him in his room and, after a moment of conversation, wanted to get into his bed.

But Atkins stopped him.

Wilde gives her, in Paris, a silver cigarette case and, when they were back in London, he gave her three pounds sterling, disembarking at Victoria station.

Afterwards, Wilde wrote to him to go and see him. He actually went there.

D. - Was it a woman or a man who slept with Wilde when you returned to the hotel?
A. - He was a man.

Another witness, Shelly, relates that he met Wilde at a publisher, where he was employed.

Wilde wrote to him to go and see him at the Hotel Albermale. They dined together, and after dinner, where they drank a great deal, they went to Wilde's private drawing-room, who, about one o'clock in the morning, invited Shelly to come to bed; what he did.

Wilde, leading him into the bedroom, kissed him several times.

Shelly greatly admired the poet Wilde, and he was very flattered that Wilde showed so much affection for him.

Several women who lived in the same houses as Parker and Taylor testify and tell their suspicions.

One of them is asked:
- Did Taylor never see women?
- Oh no! she answers.

The detectives heard afterwards recount the arrest of the defendants. They found eight pants at Taylor's.

The details they give are so filthy that I give up telegraphing them to you, out of respect for the readers of the Intransigeant.

Some other witnesses of little importance give some explanations which add nothing to the sad clarity, sufficiently complete moreover, of the facts already revealed.

Sir John Bridge adjourns the case until tomorrow in eight and refuses to let the two prisoners out on bail.