L’Événement - Saturday, April 13, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
CHRONIQUE DES TRIBUNAUX
L’AFFAIRE WILDE.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise hier devant le tribunal de Bow street, à Londres.
L'affaire Oscar Wilde a été reprise hier levant le tribunal de Bow street, à Londres.
L’affaire Oscar Wilde est reprisé devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal de Bow Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprise aujourd’hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow-Street.
L’affaire Oscar Wilde est reprisa aujourd'hui devant le tribunal do Bow Street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bow street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le tribunal de Bowstreet.
Londres, 11 avril. - L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'hui devant le Tribunal de Bow-Street.
Londres, 11 avril. -- L'affaire Oscar Wilde est reprise aujourd'nui devant le tribunal de Bow-Street.
Londres.-- Le procès Oscar Wilde a repris aujourd'hui devant le tribunal de Bow-street.
Quant à Oscar Wilde, il comparaîtra jeudi devant le tribunal de Bow-Street.
Le procès de M. Oscar Wilde a commencé, hier, devant le tribunal de police de Bow Street.
Le procès de M. Oscar Wilde a commencé hier devant le tribunal de police de Bow-Street.
Le procès du M. Oscar Wilde a commencé hier, devant le Tribunal de police de Bow-Street.
Le co-accusé, Alfred Taylord, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent. Public très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent., Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent… Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent. Le public est très nombreux.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, était présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi, pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Le co-accusé, Alfred Taylor, qui a été arrêté samedi pendant les débats, est présent.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé était pâle et très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L'accusé est pâle et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde L’accusé est pâle et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé est pâle et parait très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L'accusé est pale et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé est pâle et paraît très abattu.
Sir Edward Clarke défend Oscar Wilde. L’accusé est pale et parait très abattu.
Sir Edward Clarke déclare au début de l’audience qu’un nouvel interrogatoire des témoins déjà entendus samedi dernier ne peut être d’aucune utilité dans les débats.
Sir Edward Clarke explique que, suivant son opinion, un nouvel interrogatoire des témoins, déjà entendus samedi dernier, ne pourrait contribuer en quoi que ce soit à la défense d’Oscar Wilde.
Mais le défenseur de Taylor, M. Newton demande à poser quelques nouvelles questions à certains témoins, ce qui lui est accordé.
Les réponses sont absolument écrasantes pour Oscar Wilde. Les détails sont absolument répugnants.
Le témoin Shelly raconte qu’il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrèrent le lendemain de nouveau et visitèrent plusieurs restaurants et cafés.
Le témoin Shelly raconte qu’il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrèrent le lendemain de nouveau et visitèrent plusieurs restaurants et cafés.
Le témoin Shelly raconte qu'il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrèrent le lendemain de nouveau et visitèrent plusieurs restaurants et cafés.
Le témoin Shelly raconte qu'il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrèrent le lendemain de nouveau et visitèrent plusieurs restaurants et cafés.
Shelly raconte qu’il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrèrent le lendemain de nouveau et visitèrent plusieurs restaurants et cafés.
Shelly raconte qu'il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrérent le lendemain de nouveau et visitèrent plusieurs restaurants et cafés.
Wilde, en lui conduisant dans la chambre à coucher, l'embrassa à plusieurs reprises. Il passa toute la nuit avec Wilde, couché dans le même lit. Ils se rencontrèrent le lendemain de nouveau et vistèrent plusieurs restaurants et cafés.
Le témoin assure qu’il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites.
Le témoin assure qu’il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites.
Le témoin assure qu'il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites.
Le témoin assure qu’il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites.
Le témoin assure qu'il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites.
Le témoin assure qu'il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites. Quant à Taylor, c'est pour lui un étranger.
Le témoin assure qu’il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites. quant à Taylor, c’est pour lui un étranger.
Le témoin assure qu'il a détruit toutes les lettres que Wilde lui a écrites. Quant à Taylor, c'est pour lui un étranger.
Quant à Taylor, c’est pour lui un étranger.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent etracontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que les accusés déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que les accusés déposent et racontent leurs soupçons.
Plusieurs femmes ayant habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor déposent et racontent leurs soupçons. On demande à l’une d’elles :
Plusieurs femmes qui ont habité dans les mêmes maisons que Parker et Taylor, déclarent que ces deux hommes ne recevaient jamais de femmes.
On demande à l’une d’elles :
— Est-ce que Taylor ne recevait jamais de femmes ?
— Oh non ! répond-elle.
Dans ces dépositions reviennent constamment les noms de Taylor, de Parker et d’Oscar Wilde qui se visitaient et couchaient ensemble.
Dans ces dépositions reviennent constamment les noms de Taylor, de Parker et d’Oscar Wilde qui se visitaient et couchaient ensemble.
Dans ces dépositions reviennent constamment les noms de Taylor, de Parker et d'Oscar Wilde qui se visitaient et couchaient ensemble.
Dans ces dépositions reviennent constamment les noms de Taylor, de Parker et d’Oscar Wilde qui se visitaient et couchaient en semble.
Le garçon d’un petit hôtel de Saint-James Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d’un petit hôtel de Saint-Jame’s Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d'un petit hôtel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d’un petit hôtel do Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, raconte les mêmes faits.
Le garçon d'un petit hotel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habite quelques temps, raconte les memes faits.
Le garçon d'un petit hôtel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, donne le même renseignement.
Le garçon d'un petit hôtel de Saint-Jame's Palace, où Wilde habita quelque temps, donne le même renseignement.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son solicitor pour une cote restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l’hôtel Albermale. après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son solliciter pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçuns et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarasser de lui en le faisant poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôlel Albermale, près plusieurs séjours de Wiide ehex lui, eut des soupçuns et chercha à se débarrasser de lui en le faisant, poursuivre par son sollicitor pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre pour une note restée en souffrance.
Le propriétaire de l'hôtel Albermale, après plusieurs séjours de Wilde chez lui, eut des soupçons et chercha à se débarrasser de lui en le faisant poursuivre pour une note restée en souffrance.
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opèrent l’arrestation de Wilde, à l’hotel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mahor, un des témoins de samedi dernier ; cette lettre est ainsi conçue :
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mavor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opérèrent l’arrestation de Wilde, à l’hôtel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier ; cette lettre est ainsi conçue :
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collèques racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opérèrent l’arrestation de Wilde, à l’hôtel Cadogan, dans Sloan-Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue :
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s'opérèrent l'arrestation de Wilde, à l'hôtel Cadogan, dans Sloan-Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva, entre autres choses, une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:
L’inspecteur de police Charles Richard et un de ses collègues racontent comment s’opérèrent l’arrestation de Wilde à l’hôtel Cadogan, dans Sloon-Street, et celle de Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouva entre autres choses une lettre adressée à Mabor, un des témoins de samedi dernier.
L'inspecteur de police Charles Richard et un de ses collèques racontent s'opérèrent l'arrestation de Wilde et Taylor. Ces faits sont connus, sauf que chez Taylor on trouve entre autres choses, une lettre adressée à Mavor, un des témoins de samedi dernier; cette lettre est ainsi conçue:
« Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
« Cher Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
« Cher Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
« Cher Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
« Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
Chez Sidi, impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea.
« Cher Soti impossible d'attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. 11 est à sa maison de Chelsea.
Cette lettre est ainsi conçue : « Cher Sidi, impossible d’attendre plus longtemps. Viens tout de suite voir Oscar. Il est à sa maison de Chelsea. »
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor : les poches de sept de ses pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces pantalons étaient complètement décousses.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches da sept de ces pantalons étaient complètement décousses.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces panlons étaient complètement décousues.
Les détectives trouvèrent huit paires de pantalons chez Taylor ; les poches de sept de ces panions étaient complètement décousues.
Les deux detectives trouvèrent huit pantalons chez Taylor; les poches de sept de ces inexpressibles étaient décousues.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d’ailleurs, des faits déjà révêlés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins, de peu d’importance, donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins de peu d’importance dorment quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.
Les réponses des témoins n'aioutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.
Quelques autres témoins donnent des explications qui n'ajoutent rien à la clarté suffisante des faits.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les déux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers eu liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisoniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd'hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Le juge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.
Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les inculpés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l’affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.
* * *
On me rappelle que, parmi les révélations édifiantes du procès Queensberry-Wilde, il y eut surtout un incident qui donna lieu à beaucoup de commentaires.
On se rappelle que parmi les révélations édifiantes du procès de Queensberry-Wilde il y eut un incident qui donna lieu à beaucoup de commentaires.
LONDRES, 11 avril.—On se rappelle que, parmi les révélations édifiantes du procès Queensberrv-Wilde, il y eut surtout un incident qui donna lieu à beaucoup de commentaires.
On sait que parmi les révélations qu'amena le procès Queensberry-Wilde,il y eut surtout un incident qui donna lien à beaucoup de commentaires.
Il s’agit de l’omission, et cela du consentement mutuel de la personne qui, non seulement mit Taylor en rapport avec Wilde, Taylor est l’individu qui fournissait à Wilde les « sujets » que celui-ci demandait, mais qui fut aussi me2lé à d’autres aventures de Wilde.
Il s’agit de l’omission, et cela du consentement mutuel des avocats des deux parties, du nom de la personne qui non seulement mit Taylor en rapport avec Wilde (Taylor est l’individu qui fournissait à Wilde les « sujets » que celui-ci demandait), mais qui fut aussi mêlé à d’autres aventures de Wilde.
Il fut constaté à l’audience que ce personnage mystérieux, que sir Edward Clarke désignait par la lettre B… était un homme de certain rang et occupant une haute position, qui ne se trouvait pas pour le quart d’heure en Angleterre.
Il fut constaté alors à l’audience que ce personnage mystérieux, que sir Edward Clarke désignait par la lettre B... était un homme de certain rang et occupant une haute position, qui ne se trouvait pas pour le quart d’heure en Angleterre.
J’entends dire, à présent, que ce B… est un membre de la Chambre de lords, qui quitte l’Angleterre, il y a quelques semaines, pour faire un voyage d’agrément.
J’entends dire à présent que ce B... est un membre de la Chambre des lords, qui quitta l’Angleterre il y a quelques semaines, pour faire un voyage d’agrément.
Le bruit court même qu’un mandat d’arrestation aura déjà été lancé contre ce personnage ; mais je puis affirmer, de bonne autorité, que cette nouvelle est prématurée.
Le bruit court même qu’un mandat d’arrestation aurait déjà été lancé contre ce personnage, mais je puis affirmer de bonne autorité que cette nouvelle est prématurée.
Jusqu’à une heure avancée de la sodrée d’hier, aucun nouveau mandat d’arrestation n’a été lancé contre une personne mêlée à l’affaire Wilde ; mais , ce que je puis affirmer aussi, c’est qu’au moins, une personne appartenant au plus grand monde, en ce moment à Londres, est étroitement surveillée par la police, et j’ajouterai même que son arrestation sera probablement opérée cette semaine.
Jusqu’à une heure avancée de la soirée d’hier, aucun nouveau mandat d’arrestation n’a été lancé contre une personne mêlée à l’affaire Wilde ; mais ce que je puis affirmer aussi, c’est qu’au moins une personne appartenant au plus grand monde en ce moment à Londres, est étroitement surveillée par la police, et j’ajouterai même que son arrestation sera probablement opérée cette semaine.
Laroche.
CHRONICLE OF THE COURTS
THE WILDE CASE.
The Oscar Wilde case was resumed in Bow Street Court yesterday.
The co-accused, Alfred Taylord, who was arrested on Saturday during the proceedings, was present. Very large audience.
Sir Edward Clarke defends Oscar Wilde. The accused was pale and very dejected.
Sir Edward Clarke declares at the beginning of the hearing that a new examination of the witnesses already heard last Saturday cannot be of any use in the proceedings.
But the defender of Taylor, Mr. Newton asks to pose some new questions to certain witnesses, which is granted to him.
The answers are absolutely overwhelming for Oscar Wilde. The details are absolutely repulsive.
The witness Shelly relates that he spent the whole night with Wilde, lying in the same bed. They met the next day again and visited several restaurants and cafes.
The witness assures that he destroyed all the letters that Wilde wrote to him.
As for Taylor, he is a stranger to him.
Several women who have lived in the same houses as Parker and Taylor testify and tell their suspicions.
One of them is asked:
"Did Taylor never have women?"
- Oh no ! she answers.
In these depositions the names of Taylor, Parker and Oscar Wilde constantly come up, who visited each other and slept together.
The waiter in a small hotel in Saint-James Palace, where Wilde lived for some time, relates the same facts.
The owner of the Albermale hotel, after several stays of Wilde at his place, had suspicions and sought to get rid of him by having him prosecuted by his solicitor for a rating that remained outstanding.
Police Inspector Charles Richard and one of his colleagues tell how the arrest of Wilde, at the Cadogan Hotel, in Sloan Street, and that of Taylor take place. These facts are known, except that at Taylor's was found, among other things, a letter addressed to Mahor, one of the witnesses last Saturday; this letter reads as follows:
“Dear Sidi, we can't wait any longer. Come see Oscar now. He is at his home in Chelsea. »
Detectives found eight pairs of pants at Taylor's: the pockets of seven of his pants were completely unstitched.
Some other witnesses of little importance give some explanations which add nothing to the sad clarity, sufficiently complete, moreover, of the facts already revealed.
Sir John Bridge adjourns the case until tomorrow in eight and refuses to let the two prisoners out on bail.
* * *
I am reminded that, among the edifying revelations of the Queensberry-Wilde trial, there was above all an incident which gave rise to much commentary.
It is the omission, and this by the mutual consent of the person who not only put Taylor in touch with Wilde, Taylor is the individual who supplied Wilde with the "subjects" that Wilde requested, but who also mixed with other adventures of Wilde.
It was noted at the hearing that this mysterious personage, whom Sir Edward Clarke designated by the letter B… was a man of certain rank and occupying a high position, who was not in England for the quarter of an hour.
I hear now that this B— is a member of the House of Lords, who left England a few weeks ago on a pleasure trip.
There is even a rumor that an arrest warrant has already been issued against this character; but I can affirm, with good authority, that this news is premature.
Until late yesterday, no new arrest warrant had been issued for anyone involved in the Wilde case; but, what I can also affirm, is that at least one person belonging to the greatest world, at this moment in London, is closely watched by the police, and I will even add that his arrest will probably be made this week.
The rock.